UKRAINE-FRANCE : des enjeux économiques

Selon bfm, le football reste le sport le plus populaire en France que ce soit en termes de pratiquants, ou en tant que suivi dans les médias, cette popularité engendre un marché économique de plus en plus important. Les droits TV ont été acquis par TF1 pour un montant de 130 millions d’euros mais elle recherche à revendre une partie des matchs de la Coupe du Monde à une autre chaîne de télévision puisque si l’équipe de France n’est pas au Mondial 2014, l’audience va être en forte baisse. Mais les partenaires majeurs de la fédération ne vont sans doute pas laisser tomber le football en vue du principal événement qui est l’Euro 2016.

De plus, la fédération française a imaginé un système de bonus-malus avec ses partenaires. C’est à dire que ce système est à la fois basé sur des résultats sportifs et sur l’image positive ou négative des Bleus. Cela va impliquer des malus financiers.

La non-qualification des Bleus au Mondial du Brésil peut aussi impliquer une baisse des ventes de plasmas, d’écrans télé, de produits high tech et aussi une baisse de la vente de pizzas, bières lors d’un soir de match. On voit qu’il y a une économie parallèle qui se met en place. Il y a aussi une note de satisfaction de la population française qui attend de bons résultats de l’Equipe de France. Tout cela a un impact sur l’économie de la nation et sur le moral des ménages.

Les joueurs, économiquement, cherchent à multiplier leurs revenus au delà de leur salaire dans les clubs et leur image, en se faisant remarquer pour se vendre par la suite auprès des partenaires.