Selon lepoint.fr, la France est, depuis mercredi 05/03, étroitement surveillée par la Commission européenne. Trois raisons sont évoquées : un manque de compétitivité, un coût du travail trop élevé et une dette publique en constante augmentation. D’après la Commission, « Le déficit commercial qui ne cesse de se creuser reflète la perte continue des parts de marché à l’exportation. ». Elle précise que malgré des mesures prises dans le but d’améliorer la compétitivité, cela n’a été, jusqu’à présent, d’aucun secours, et que « le coût du travail […] pèse sur les marges de l’entreprise ». Enfin, elle ajoute que le niveau de la dette française risque de l’exposer « à des turbulences sur les marchés financiers, qui auraient des retombées sur l’économie réelle ». En réponse, donc, à ses nombreux déséquilibres macroéconomiques, la France subira la  même observation, accompagnée d’un plan d’aide, qu’ont subit l’Espagne et l’Irlande.

Selon lefigaro.fr, depuis dimanche 10/11, des appels sur les réseaux sociaux à manifester le 11/11 pour perturber la cérémonie, circulaient. Initiative qu’avait condamnée le porte-parole du collectif “Vivre, travailler et décider en Bretagne” qui est aussi à l’origine des “bonnets rouges”.

Ce sont ces “bonnets rouges” qui sont à l’origine de cette perturbation. En effet, alors que le Président François Hollande descendait les Champs-Elysées dans le but de commémorer nos morts de la guerre de 1914-1918, un grand nombre de manifestants dont une dizaine portait le bonnet rouge (symbole des opposants bretons à l’écotaxe) ont hué le Président tout en criant des slogans tels que “Hollande, ta loi on n’en veut pas” ou “Hollande démission”.

Environ 70 d’entre eux ont été interpellés par la police. Selon la Préfecture de Paris, ces protestataires se sont rassemblés à l’appel du “Printemps français et de groupes d’extrême droite, dont le Renouveau français”. Ils ont été interpellés pour cause de “manifestation non déclarée”.

Le calme est ensuite revenu avec le départ du cortège de François Hollande.

En Grande-Bretagne,  même si le chômage ne touche plus que 7,7% de la population active, il y avait en juillet dernier 27 000 chômeurs de longue durée de plus que l’année précédente, soit 469 000 personnes sans emploi.

D’après lefigaro.fr, un dispositif appelé Help to work a été proposé par le congrès du Parti conservateur à Manchester en la personne du ministre de l’Economie, George Osborne. Il entrerait en vigueur dès avril prochain. Cette mesure concerne tous les chômeurs de longue durée (soit plus de 2 ans sans emploi). Ceux-ci, afin de conserver leurs allocations, vont devoir accomplir plusieurs Travaux d’Intérêt Général comme ramasser les poubelles, nettoyer les graffitis ou encore préparer des repas pour les personnes âgées… Lire la suite →

Selon lexpress.fr , la Finlande, qui fait partie de la zone euro toujours en récession, a annoncé le 16/09/2013, qu’elle allait enfreindre l’un des critères de Maastricht en 2014. Alors que le traité stipule que les dettes publiques d’un pays ne doivent pas dépasser 60% de son PIB, le gouvernement de la Finlande prévoit un ratio de 60.7% en 2014 et de 62% en 2015. En effet, et pour la deuxième année consécutive, celui-ci observe une diminution de son PIB de 0.5%.