Un rapport américain récemment publié accuse la Chine de ne pas respecter les règles du commerce international imposées par l’OMC.

Bien que la Chine soit membre de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis 2001, elle favorise tout de même considérablement ses entreprises nationales en protégeant son marché intérieur. En effet importer en Chine est très complexe, avec des réglementations lourdes, des taxes, et des contrôles douaniers fréquents.

Même le yuan, monnaie nationale, est maintenu au plus bas pour favoriser au mieux l’exportation chinoise.

Et enfin, la contrefaçon et le piratage sont pointés du doigt. Même l’administration chinoise utilise illégalement des logiciels !

Malgré toutes ces entraves aux réglementations, provoquant certaines tensions, les États Unis aimeraient tout de même bien profiter de ce marché chinois, très convoité. En effet l’enjeu est de taille, 1.5 milliard de personnes et un pouvoir d’achat en pleine expansion, la Chine possède tous les atouts pour dominer économiquement le monde.

De façon générale, la population Française souhaiterait que la France se distingue des autres pays, en ayant un niveau d’inégalités le plus faible. En réalité, on se rend vite compte en regardant les données disponibles des pays de l’OCDE, que la situation française n’est pas si glorieuse.

Selon LesEchos, les études menées en 2010 parmi les pays de l’OCDE définiraient la France comme moyenne, c’est à dire que son niveau d’inégalités reste  plus faible que les pays anglo-saxons (États-Unis, Irlande, Australie et Nouvelle-Zélande) mais demeure supérieur aux pays scandinaves et à certains pays d’Europe de l’Est (République tchèque, Slovénie et République slovaque) et de voisins géographiques (Allemagne et Pays-Bas).

Mais pourquoi?

Les pays anglo-saxons possèdent des sociétés individualistes, qui traduisent des fortes disparités de revenu. Au contraire, dans les pays scandinaves, leur peu d’inégalités sont favorisées par une volonté de politique de redistribution des revenus. La France, elle, se trouve à mi chemin entre ces deux modèles en matière d’inégalités. De plus, selon le coefficient de Gini ou l’indicateur (100-S80)/S20, le niveau des inégalités de niveau de vie est resté stable entre 1996 et le milieu des années 2000. À partir de 2005 et jusqu’en 2011, les inégalités n’ont fait qu’augmenter. D’après l’indicateur interdécile, la hausse serait plus récente et débuterait entre 2009 et 2010. Lire la suite →

Les représentants d’enseignants et de parents élus, ont proposé de façon unanime d’officialiser et créer ainsi des “petites vacances” lors du troisième trimestre, lors de l’élaboration des trois calendriers scolaires à venir.

Mais pourquoi?

Le pont de l’Ascension permettrait donc aux élèves d’alléger leur troisième trimestre, où avec les zonages A, B,C, certains ont droit à une dernière période plutôt lourde.  En effet, selon lefigaro.fr on est loin du fameux «7-2» (7 semaines de cours pour deux semaines de vacances), aménagement idéal pour le bien-être des élèves, puisqu’en  2014, la zone C enchaîne 10 semaines de cours avant les vacances d’été.

«Le calendrier scolaire est le résultat de compromis dépassant largement le simple cadre de l’Éducation nationale, observe Joël Bonenfant, secrétaire national au Sgen. Le fait de mettre en place des petites vacances à l’Ascension n’est qu’une réponse transitoire». Ce changement impliquerait de rallonger par ailleurs l’année et la remise en cause du zonage au raccourcissement des vacances d’été, seul réel moyen d’alléger l’année scolaire en France.

Selon le Figaro.fr, le président de la République, François Hollande, lors de son entretien dans le journal de 20h, a voulu rassurer les Français sur les impôts et mieux faire passer l’idée de “pause fiscale”.

Il promet donc que “les deux seules hausses d’impôts pour les ménages” seront la baisse du quotient familial et l’augmentation de la TVA, le 1er janvier 2014. De plus, il s’engage à redonner un peu plus de pouvoir d’achat aux foyers modestes et annonce qu’il n’y aura pas de taxe sur le diesel en 2014.

Quant à l’opposition des Verts à ce nouveau budget 2014, il les ramène à la raison et déclare : “chacun doit se déterminer non pas par rapport à un parti dans une majorité, même si ça compte, même s’il y a des congrès ou d’autres rendez-vous, mais par rapport à l’intérêt de la France, pas en 2014 mais à moyen et long terme”.