4 élèves de l’option, ninon, zélie, angélique et lilian, ont eu l’honneur de participer à la cérémonie du 8 Mai en présence de Mme la préfète, Mr le député, Mr le général, Mr le maire et Mr l’inspecteur d’académie….

Leur mission était de lire des extraits de textes écrits par des femmes et des hommes engagés lors de la seconde guerre mondiale.

Pas simple de lire devant autant de monde, mais nos élèves l’ont fait de façon remarquable.

Bravo à eux !

Les 8 avril et 6 Mai , les élèves de l’option sont allés au centre de commandement du groupement de gendarmerie des deux-sèvres.

Lors de la 1ère visite ils y  ont rencontré une des équipes du PSIG (peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie ). Le matériel d’interventions fût présenté (Bouclier, taser, gilet par balle….). Essayer ce matériel nous montra à quel point la dimension physique est importante.

Dans un second temps, il nous a été permis de visiter le centre d’appel de la gendarmerie. Tout ce fait en direct total avec un écran gigantesque qui montre toutes les interventions qui ont lieu sur les deux-sèvres…impressionnant.

Le 6 Mai , les thématiques étaient différentes : Nous avons rencontré les militaires responsables de l’unité scientifique et technique : analyses d’empreintes, analyses chimiques au labo, prélèvement, pilotage de drône, la panoplie est large et variée….

Ensuite nous avons pu échanger sur les problématiques liées à la  sécurité routière avec l’un des motards du peloton…cela nous a permis de faire un “brain storming” complet et de préparer au mieux notre ASSR 2 ;-))

Encore merci au groupement et à tous les intervenants et en particulier au lieutenant-colonnel Valois pour sa bienveillance à notre égard.

    Réalisation du portrait robot de l’un des professeurs

Après midi riche pour nos élèves de l’option….immersion totale au sein de la caserne.

Présentation du centre, des véhicules, activités sportives et manoeuvres….

Des photos sont parfois plus efficaces que de longs discours mais force est de constater que les élèves avaient le sourire….de quoi susciter de nouvelles vocations?

Nous Allons vous présenter, successivement quelques métiers…ou le maitre mot est le “service aux autres”…

Sapeur Pompier Alpin

Un pisteur-secouriste, ou pisteur alpin, est un professionnel qui participe activement à la sécurité hivernale en montagne dans les stations de sports d’hiver, notamment en assurant le secours aux personnes et le déclenchement préventif d’avalanches sur son domaine skiable.

        Le pisteur alpin est le premier à glisser sur la piste  le matin et il vérifie les éventuels dommages, place et contrôle les filets et les matelas de protection sur les pistes.

Pour devenir secouriste alpin il faut avoir un brevet national de pisteur secouriste après la 3éme et savoir skier….plutôt….très très bien.

Les pisteurs secouristes travaillent en équipe, au sein d’un domaine skiable, sur tous les itinéraires accessibles depuis les remontées mécaniques, c’est-à-dire sur piste et hors piste

Mathéo ,Léna

La ration de combat

Nous sommes allés à l’Ensoa. Là bas ils nous ont dit que nous allions manger sur place,….un peu d’inquiétude….puisque nous ne savions pas ce qu’on allait bien pouvoir nous faire déguster. C’est un peu comme si c’était une surprise ou le repas festif de noël! Le commandant Fresse nous a alors donné des grandes boîtes sans savoir ce que c’était et au final, en ouvrant, on a découvert une ration de combat que mangent les militaires en opérations extérieures par exemple. Il nous a alors donné un petit cours de Chimie sous l’oeil attentif de Mr VERRIER…comment allumer notre mini-rechaud?

A l’intérieur, nous avons découvert:

– des céréales
-cacao,café,thé
-confiture
-sucre
-sardines
-du pâté de fois de volaille
-des boîtes de conserve:lasagne,couscous…
-fromages
-yaourt caramel
-mousse chocolat
-riz au lait
-barres de céréales,gâteau,nougat
-soupe

… En bref un vrai festin ! Le moral des troupes passe en effet par le repas. Celui-ci est hyper-calorique car il faut un maximum d’énergie pour le militaire qui est sur le terrain.

Inès et Anaïs

Ce 4 décembre, nous avons eu le plaisir de rencontrer  le Lieutenant-colonel Olivier Valois
Officier Adjoint Commandement des deux sèvres ainsi que l’un de ses hommes qui est responsable de la cellule recrutement mais aussi motard à l’escadron autoroutier.

Nous avons passé 2 heures riches en échanges et partages. Nous avons découvert les missions du gendarme. Nous pensons parfois, que ceux-ci ne sont là que pour verbaliser mais c’est trop réducteur. Ils sont au service du citoyen et sont bien là pour nous sécuriser, nous aider et nous assister ,voir aussi pour encadrer des évènements sportifs et festifs.

Le lieutenant colonel Valois nous a expliqué l’organigramme et le fonctionnement de la gendarmerie dans les deux-sèvres et les différents services qu’on peut y trouver.

2 visites sont désormais planifiées au mois de janvier au centre de commandement de la gendarmerie.

Cérémonie et  rencontre de la Légion Étrangère

Lorsque nous sommes arrivés à  la cérémonie, nous nous sommes installés dans les gradins.  La consigne nous a alors été donnée de ne pas nous asseoir. Nous nous sommes installés dans la quatrième et cinquième rangée. Sur la place du Chevron, tout à gauche il y avait les musiciens avec différentes sortes d’instruments. En face de nous il y avait cinq bataillons de sous-officier non-armés (mis à part les chefs de bataillon qui avaient des sabres). Les plus éloignés, à droite,  représentaient la légion étrangère qui elle, était armée. Les plus près à droite étaient les commandants non-armés. Ceux au centre étaient  les hommes les plus haut gradés .
Le général Chatelus a alors fait un discours sur le soldat Totti (ancien héros de plusieurs guerres). Ce-dernier donne en effet son nom à la nouvelle promotion de sous officiers, la 352ème.

La fanfare et tous les autres bataillons ont chanté la Marseillaise ,ce fût très émouvant, puis la famille du  soldat Totti a remis les médailles aux nouveaux sous-officiers. Enfin nous sommes allés voir la légion étrangère.
Cette dernière portait un képi blanc, des épaulettes rouges et pour le commandant des sifflets multicolores puis ils partirent à petit pas vers leur bus.

COLLEGE FRANCOIS RABELAIS
ecrit par Lyam Izambert
Paul Renaud
Eliot Drillon

Dans l’après-midi nous sommes allés voir la simulation d’une séance de tir.

Les jeunes tireurs utilisaient des FAMAS (Fusil d’Assaut Manufacture d’Armes de Saint Etienne), ce n’était pas des vraies balles mais des lasers aux bouts de leurs armes et ils tiraient sur un grand écran .

L’adjudant chef avait des ordinateurs ce qui lui permettait d’analyser leurs tirs et  de les corriger si il y avait des erreurs . On a appris que la respiration était très importante et la communication obligatoire car sinon il y a moins de pourcentage de chance que la mission soit reussie . Il y a eu une séance de tir sur des cibles immobiles ensuite il y en a eu une sur des cibles mobiles et là ,la communication était extrêmement importante A la fin de la mission ils devaient rapporter a leur chef d’équipe combien de chargeur ils avaient utilisés et le nombre d’ennemis qu’ils avaient abattus. Ces simulations permettent aux soldats de s’entrainer pour les situations réelles futures en opération.Le SITTAL (simulateur de tir technique à l’armement léger) est le nom de la simulation de tir, peut-être remplacée par   le SINETIC (système d’instruction et d’entrainement au tir de combat) dans un futur proche.

Elizio et Félix

Pour commencer notre visite à l’ENSOA, nous avons visité le musée des sous-officiers situé à Saint Maixent l’école. Nous avons ainsi appris l’histoire de l’équipement de guerre et de quelle façon elle a évolué.

La première tenue était de couleur crème avec quelques touches de rose (elle datait du 18ème siècle). L’aspect esthétique était déjà bien plus mis en avant que les protections. Car oui,  la couleur crème, étant très claire, aidait les adversaires des soldats à les repérer. Cet équipement était utilisé durant la Révolution Française, au XVIIIᵉ siècle .

Les années passant, cette tenue a radicalement changé ! Pendant la Première Guerre Mondiale (ou Grande Guerre), au XXe siècle donc, l’équipement est devenu bleu foncé pour la vestes et le pantalon et rouge pour le « casque » et chaussures. Malgré le fait que les couleurs de la France soient présentes, leurs emplacements ont été fatals pour certains soldats. En plaçant la couleur rouge en haut et en bas de la tenue, il suffisait ainsi à l’ennemi de viser entre les deux ! Encore une fois, l’équipement donne des facilités à l’adversaire. Preuve que la composition de la tenue joue beaucoup elle aussi dans une bataille.
L’équipement suivant est celui d’aujourd’hui. Il est de couleur verte, marron et noir pour pouvoir ainsi se camoufler facilement dans la nature et est doté de nombreuses protections !

Par la suite de la visite, nous avons aussi appris quels étaient les différents « grades » des sous-officiers. Le grade est le rang du soldat dans la hiérarchie militaire.

Voici donc les différents grades des sous-officiers :
→le sergent
→le sergent-chef
→l’adjudant
→l’adjudant chef
→le major

Voici donc ce que nous avons appris au musée des sous-officiers !

Inès et Rosa