Un prix pour encrer les bulles
Un porte -plume unique au monde, avec le logo de la Ville de Saintes, le logo du Lycée Bellevue, et le premier logo du prix, un personnage qui bondit de joie sous l’arc de Germanicus, symbole de Saintes, un personnage sac à bandoulière qui traverse espaces et temps,par la plume et la bulle !
On en parle !
La presse, la radio, internet, les réseaux… tout le monde en parle ! Première interview ce matin avec la sympathique Emilia Cassagne de la radio Demoiselle FM, à propos du prix et de l’exposition – lien à venir. Quelles belles réactivité et attention de la radio, qui mérite d’être écoutée !
Sur twitter, en attendant un compte spécial pour le prix, on peut suivre les réactions et les nouvelles sur @michaelpiat !
Autres nouvelles à suivre ! N’oubliez pas l’expo dès le 17 juin à la Médiathèque et la cérémonie du prix le 26 juin à 14h, même lieu !
Merci !
Ce projet un peu fou, appelé à s’installer dans la longue durée, fut une aventure humaine et collective, avec les élèves, bien sûr, mais aussi avec des collègues et des bibliothécaires.
Alors, chères et chers ami.es, merci d’être monté.es sur la galère et d’avoir vogué tant bien que mal jusqu’à aujourd’hui, et même de repartir à l’assaut de l’horizon pour une prochaine édition, en 2020 !
Vivement le 26 juin !
Enfin ! Après un an de galère et de vents parfois contraires, l’exposition liée au prix se tiendra à la Médiathèque de Saintes (17) à compter du 17 juin, pour deux semaines, avec une remise de prix et un vernissage le 26 juin, en présence de M. Allioux, proviseur du Lycée Bellevue, et président de notre prix.
Un mail existe désormais pour le prix: bdbellevue@gmail.com
Présentation du projet: BDintro
En route pour la remise du prix BD 1ère édition !
Nous arrivons au terme de cette première édition 2019:
L’exposition à la Médiathèque de Saintes est en cours de réalisation et sera proposée au public les semaines du 17 et du 24 juin..
Un premier bilan de cette première aventure a été dressé..
Et surtout…
Les élèves ont choisi leur BD et proposé un coup de coeur manga…
Remise du Prix BD
Si tout se passe bien, des élèves des classes de Secondes et Premières générales du Lycée Bellevue de Saintes (17) remettront un prix, le premier ! à la Médiathèque de la Ville de Saintes, le jeudi 20 juin après midi, en présence, nous l’espérons, de l’auteur ou de son éditeur.
Informations à venir !
Prix BD édition 2019
Parce qu’au commencement était l’histoire… des élèves de Secondes et de Premières de séries générales du Lycée Bellevue de Saintes (17) ont lu, étudié, débattu autour d’un certain nombre de Bandes dessinées historiques, en anglais et en espagnol, parmi lesquelles:
La Nueve (version française) – Los Surcos del azar (version espagnole)
Jeanne d’Arc : de feu et de sang
L’Or des fous (+ exposition)
Capa, l’étoile filante (+ exposition)
Les esclaves oubliés de Tromelin
Marco Polo : la route de la soie
Le Nouveau Monde (+ exposition)
Spirou, le journal d’un ingénu
Marie curie : la scientifique aux deux Prix Nobel (exposition)
Einstein : une biographie dessinée (exposition)
Jamais je n’aurai 20 ans – Jaime Martin
Jamais je n’aurai 20 ans
Isabel a 20 ans quand la guerre éclate, cette « guerre fratricide qui a détruit l’Espagne », selon les mots de l’auteur. Républicaine, anarchiste et analphabète, elle engage dans ces années terribles trois combats : pour la démocratie et la république, pour être une femme libre et digne, pour être une femme mariée et une mère de famille. L’absurdité, l’arbitraire et l’horreur de cette guerre et de ses morts ne sont pas épargnés aux lecteurs, qui peuvent suivre Isabel et Jaime dans les premières années de l’Espagne franquiste, dictature sans pitié où tous les stratagèmes valent, même au péril de la vie, pour nourrir et entretenir une famille. Survivre, même avec des bouts de verres, sans oublier d’aimer et de s’aimer. Sourire, même s’il faut en crever, aurait pu ajouter Albert Cohen. Une belle et longue histoire, rythmée et qui sait prendre son temps, dans un dessin souple et cohérent, qui ne donne pas envie de baisser le poing.
Un homme est mort – Kris et Davodeau
Un homme est mort… à Brest, le 17 avril 1950. La ville, couverte de chantiers pour la relever de ses ruines, est déchirée entre ouvriers en grève et patrons qui répriment avec les forces de l’ordre. Une manifestation et… un homme est mort. Contacté par la CGT locale, René Vautier, tout jeune cinéaste, vient tourner un film pour rendre compte des événements et montrer à ces femmes et à ces hommes en lutte combien ils sont forts, vaillants et beaux. Dans son trait inimitable qui saisit l’intimité de l’individu, avec les couleurs des combats sociaux et des jours et des nuits bretonnes, Etienne Davodeau restitue une atmosphère de tensions et de crises. Kris et Davodeau ont entrepris un double chemin, dans le passé, avec un monumental travail de documentation, et dans la reconstitution d’une société qui ne demande qu’à vivre avec dignité. En 61 planches, ils nous racontent 12 minutes de pellicule, une pellicule qui s’effrite à la dernière projection tant elle a illuminé les murs et les nuits de Brest, 12 minutes à jamais gravées dans les mémoires des contemporains, des derniers témoins et des nouveaux lecteurs…