Quand la littérature nous sauve, par Aline et Clhoé

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Dimanche 20 novembre, nous avons assisté à la Salamandre, dans le cadre du festival des Littératures Européennes de Cognac, à une conversation intitulée « Chemin d’écriture, chemin de vie » à laquelle participait l’auteur espagnol Ricardo Menéndez Salmón, auteur de Enfants dans le temps. Son ouvrage nous présente l’histoire d’un couple détruit par la mort prématurée de leur enfant. Les deux protagonistes vont se réfugier l’un dans le langage, grâce à son métier d’écrivain, l’autre dans le silence, ce qui le mènera à sa perte. Pour l’auteur, ce livre montre comment l’amour peut passer d’un refuge réconfortant à une cause de douleur supplémentaire dans une épreuve déjà traumatisante qu’est la perte d’un être cher. Il voit donc la littérature Continuer la lecture de « Quand la littérature nous sauve, par Aline et Clhoé »

Le festival Littératures européennes : l’œil de Clémentine

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Une question se pose : pourquoi irions-nous découvrir le festival des Littératures Européennes ?

Comme chaque année, la ville de Cognac organise le festival des Littératures Européennes dont le thème, en cette année 2016, est intitulé « Délier les langues ». Un thème important, en vue des nombreux événements qui ont marqué tous nos pays. Du 17 au 20 novembre 2016, La Salamandre accueillait modérateurs, éditeurs, libraires, traducteurs, interprètes et surtout des auteurs des pays à l’honneur : Espagne, Allemagne, Écosse, Slovaquie et France, en lien avec la célébration des 1000 ans de la cité de Cognac, afin de donner vie à ce festival. Mais il y avait également l’intervention de la radio, de photographes, de journalistes (français, espagnols, allemands), de représentants en uniforme pour alimenter, interroger ou compléter les différents cafés littéraires.

Mon œil, caché derrière l’objectif, a su percevoir de nombreux aspects positifs de ce festival. Un instant bref, étendu sur quatre jours. Une bulle, tout un monde dans lequel, échanges, cultures et littératures se mêlent pour former une expérience incroyable. Continuer la lecture de « Le festival Littératures européennes : l’œil de Clémentine »

Coupable d’un parricide… de fiction (le point de vue d’Alexina)

revolteevaVendredi 18, à 14H, nous avons assisté au débat nommé ‘Entre le droit et la fiction, où est la vérité ?» animé par Sophie Quetteville. Les invitées étaient Élise Fontenaille avec son livre La révolte d’Eva, Lenka Hornakova-Civade avec Giboulées de soleil, ainsi que l’avocate Cécile Barbera-Geral et Nathalie Hugonenc, chargée de mission aux droits des femmes et à l’égalité au sein de la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations pour la Charente. Au commencement du débat, elles ont principalement présenté leurs livres. Par la suite, le débat s’est fait particulièrement sur le livre d’Élise Fontenaille. En effet, le fait qu’Eva commette un parricide a enclenché un réel débat Continuer la lecture de « Coupable d’un parricide… de fiction (le point de vue d’Alexina) »

Prix Jean Monnet des jeunes européens 2016

Vendredi matin, le jury des lycéens a attribué le Prix Jean Monnet des jeunes européens à… Astrid Rosenfeld pour son roman Le Legs d’Adam. L’auteure, retenue aux USA, était représentée par son éditrice, Margaux de Weck, qui a accueilli chaleureusement cette récompense et évoqué les choix d’écriture d’Astrid Rosenfeld pour ce roman et ses projets d’écriture.

 

Femmes de fiction, vues par Swann R. et LJM Photo

Vendredi 18, à 14h, dans la salle Marguerite d’Angoulême, les écrivains Élise Fontenaille et Lenka Horňáková-Civade participent au débat intitulé “Entre le droit et la fiction, où est la vérité ?”

Point de vue de Swann R. , élève de Terminale L : “Deux romancières échangent avec deux professionnelles du monde juridique sur la question du droit des femmes. Le feu et la glace, la voix de la raison, la voix de la déraison. Comment la fiction et la réalité s’opposent-elles ?  Un débat vivant qui met en avant l’opposition, l’omniprésence du surréalisme d’une romancière et l’omnipotence des écrivains face à la rigueur juridique. »
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Élise Fontenaille et Lenka Horňáková-Civade

A l’issue de la rencontre, Lenka Horňáková-Civade Continuer la lecture de « Femmes de fiction, vues par Swann R. et LJM Photo »

«J’aurais voulu être un bateau que l’on rend à la mer»

Jeudi 1er décembre, à 14h, Catherine Poulain viendra rencontrer les élèves de Terminale Pro GA au cours d’un café littéraire pour échanger avec eux au sujet de son roman, Le Grand marin, paru en février 2016 aux Éditions de l’Olivier, à qui nous empruntons la biographie et la brève présentation du roman. Cette rencontre aura lieu dans le cadre du projet ‘Écrivains en partage’, en partenariat avec la librairie Le Texte Libre où l’auteur sera présente à 18h pour une rencontre avec le public.

Photo prise lors de la rencontre

Biographie

Catherine Poulain commence à voyager très jeune. Elle a été, au gré de ses voyages, employée dans une conserverie de poissons en Islande et sur les chantiers navals aux U.S.A., travailleuse agricole au Canada, barmaid à Hong-Kong, et a pêché pendant dix ans en Alaska. Elle vit aujourd’hui Continuer la lecture de « «J’aurais voulu être un bateau que l’on rend à la mer» »

Wanderer : lecture en contrepoint

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Quelques notes : « Récit bien écrit. – Lecteur bercé par la mélodie. – La saison d’hiver représente bien les retrouvailles des personnages, froides et maladroites. – Récit qui oppose le passé et le présent, récit qui rythme les oppositions.- Une amitié remplie de non-dits et de secrets inavoués. »

Lenny voyage jusqu’à retrouver son ami perdu il y a de cela dix ans. Réunis devant l’âtre de la maison du Pommier Chenin, l’hiver extérieur glace leur ancienne amitié Continuer la lecture de « Wanderer : lecture en contrepoint »

Le legs d’Adam : histoire double

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Roman intéressant d’Astrid Rosenfeld, grâce au contexte historique dans la deuxième partie, mais aussi grâce aux personnages assez originaux d’Adam et Edward. L’ambiance reste assez dérangeante et morne. Cependant, malgré une fin assez prévisible, le récit reste très prenant et les personnages attachants.

Un groupe d’élèves de 1ère L2