Efficacité énergétique et impact environnemental – La voiture électrique Mia

Problématique

Quelles sont les solutions retenues par le constructeurs pour que le système soit compétitif sur le plan de son efficacité énergétique ? Ces solutions vous paraissent-elles optimums quand à l’impact de ce système sur l’environnement ?

Travail demandé

Apporter des éléments de réponse à la problématique en étudiant le cas d’un système réel, choisi parmi ceux proposés. Travailler en équipes de 2 à 4 élèves pour chaque système.

Système proposés

Voiture électrique Mia

Hélicoptère AR Drone
Alimentation solaire et éclairage
Système audio (alim+ampli+HP)
Système d’arrosage automatique Gardena (pompe, électrovannes, programmateurs).
Télévision à écran plat Robot aspirateur _________________________________________________________________________
Moi et mon groupe, nous avons choisi de prendre le système de la voiture électrique Mia. Avec l’aide des documents que nous a mis à disposition notre professeur, nous avons pu comprendre et voir les composants de cette voiture électrique. Tout d’abord, nous avons compris que le but des constructeurs maintenant était de réduire les consommations d’énergies de leur véhicule. Pour cela ils se sont aider des nouvelles technologies. Mais ils rencontrent un problème majeur : les usagers demandent de plus en plus de confort et de technologies embarquées, ce qui engendre une sur-consommation. En effet, l’embarquement de ces nouvelles technologies de confort génère un sur-poids qui est l’ennemis de la baisse de la consommation d’énergie. La question du poids peut être résolu en se débarrassant de gadgets ou de systèmes qui ne sont pas toujours utiles et primordiaux (climatisation, vitres électriques, et autres accessoires).

Source LP2I

Source LP2I

Cette réalité peut être caricaturée par plusieurs images.

Source d'un document PDF donné par notre professeur.

Source d’un document PDF donné par notre professeur.

On peut modéliser l’interaction entre l’économie apportée (dû à la masse de la voiture, etc…) et l’énergie nécessaire au déplacement de la voiture. Nous pouvons calculer l’énergie qui est consommée par cette formule : 

Ec = Eu / rv

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur. Eu = énergie utile nécessaire Ec = énergie consommée rv = rendement de la voiture

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur.
Eu = énergie utile nécessaire
Ec = énergie consommée
rv = rendement de la voiture

C’est avec ce type de calcul que les constructeurs essayent de faire des voitures qui polluent le moins possible pour avoir un impact environnemental faible. Nous avons ensuite compris que les constructeurs recherchaient l’énergie utile. L’énergie utile est une analyse qui permet d’identifier les causes qui entraînent une consommation d’énergie. Les constructeurs peuvent ensuite modifier les causes de ces consommations d’énergie. Mais cette énergie utile est difficile à trouver, car elle dépend de beaucoup de facteurs et change en fonction des voitures : les accélérations, la vitesse… En plus de cela, elle varie en fonction de l’usager et de la route. L’énergie utile est calculée de la façon suivante:

Eu= Eua + Eur + Eug + Eum

Avec : Eua = énergie utile arérodynamique (dépend de la surface et du coefficient d’efficacité aérodynamique)
Eua = énergie utile de roulement (dépend de la masse et du coefficient de résistance au roulement)
Eug = Energie utile accélérateur (dépend de la masse)
Eum = énergie utile montée (dépend du cycle urbain)

 

Il faut savoir que le rendement d’une voiture dépend également du type d’énergie consommé. Si on a affaire à un moteur thermique le rendement est d’environ 15.5 % et si le moteur est électrique le rendement est de 72 %. Le rendement d’un véhicule électrique est très supérieur au moteur thermique  Le bilan CO2 pour de l’essence, du diesel et du GPL : environ 18 kg de CO2 au 100 km. Pour les véhicules électriques, on est au alentour de 8.5 kg de CO2 au 100 kg. On préserve donc plus la planète en roulant avec des voitures électriques. Avec un moteur électrique on peut récupérer l’énergie cinétique lors des phases de ralentissement ce qui permet d’améliorer le rendement. Pour l’instant nous avons vu que l’aspect mécanique et technique était une garantie sur l’impact environnemental des voitures.

Mais d’autres facteurs doivent être pris en compte comme : l’éco-design. L’éco-design est réfléchi de façon à s’attaquer directement aux causes premières de la consommation d’énergie : c’est à dire de réduire les masses et les traînées aérodynamiques (en travaillant sur les formes du véhicule de manière à diminuer la résistance à la pénétration dans l’air..)

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur

Une recherche a été faîte sur la conception de la matière pour la voiture. Les voitures en ce moment sont principalement faîtes avec de l’acier, mais les constructeurs ont découvert que l’alu était beaucoup plus léger tout en restant très résistant.

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur

Les designers et les constructeurs de voiture ont donc conclu que pour réduire les masses et améliorer l’aérodynamisme, il faut agir sur les formes et la matière des voitures. Néanmoins, ils continuent à dire qu’il faut toujours privilégier le vélo ou la marche à pied pour des petits déplacements.

Une autre recherche a été faîte sur les voitures électriques, avec des questions comme : Est-ce que la voiture électrique est vraiment bien pour réduire les émissions de CO2 ? En ville les phases d’accélération (très gourmande en énergie) sont fréquentes ainsi que les phases de freinage (dissipation de l’énergie sous forme de chaleur). Avoir un véhicule électrique avec un grand rendement à tout son sens : la perte d’énergie durant les phases d’accélération est nettement plus faible que dans le cas d’un moteur thermique et durant les phases de freinages la récupération de l’énergie est possible et permet de recharger les batteries. Par contre, les voitures électriques ont une faible autonomie ce qui limite les déplacements en usage extra-urbains.

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur

Les voitures hybrides (thermique-électrique) semble être le meilleur compromis : durant les phases d’accélérations très énergivore on utilise le moteur électrique, en vitesse stabilisée on utilise le moteur thermique, durant les phases de ralentissement on récupère une partie de l’énergie pour recharger les batteries.

Après l’éco-design, vient l’éco-conception. L’éco-conception est la prise en compte, dès la conception de la voiture, de l’impact environnemental. C’est une démarche qui se caractérise par une approche globale : l’impact environnemental est évalué lors de toutes les phases de la vie du produit (depuis l’extraction des matières premières à la fin de la vie de la voiture = son recyclage). Il faut chercher d’autres matériaux qui ne sont pas utilisés en ce moment, mais le remplacement d’un matériau nécessite de connaître toutes ses caractéristiques : la nature du matériau, le lieu d’extraction, l’origine géographique (en terme de distance), les transformations nécessaires, le stockage, sa résistance (notamment la résistance à la fatigue) et enfin la tenue aux agressions chimiques et climatologiques, mais aussi son recyclage.

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur

 

Source tirée d'un document PDF donné par notre professeur

Source tirée d’un document PDF donné par notre professeur

Ces deux images nous permettent de revenir tout le temps sur le même point : pour avoir une voiture avec peu d’émission de CO2  il faut qu’elle soit légère avec des composants plus petits.

CONCERNANT LA VOITURE MIA

Nous pouvons travaillé sur la Mia car c’est une voiture qui a été offerte par la région. Elle est produite à Heuliez (ville de la région). Elle existe en version 3 ou 4 places.

Concernant la Mia 3 places : Moteur électrique : 18 kW (24,5 ch) Vitesse Max : 110 km/h Batterie : Lithium Phosphate de fer de 8 kWh (autonomie 80 km) ou 12 kWh (autonomie 130 km). Temps de recharge : 3h sur 230V 16A en version 12 kWh (2h30 version 8 kWh). Masse à vide : 750 kg Longueur/Largeur/Hauteur : 2,87 m x 1,84 m x 1,55m Volume du Coffre : 200 litres.

Source LP2I

Source LP2I

Concernant la Mia 4 places : C’est semblablement la même chose à deux exceptions prêt : Masse à vide 784 kg Longueur/Largeur/Hauteur: 3,19m x 1,64m x 1,55m

Source LP2I

Source LP2I

Pour résumer :
– petite voiture => limitation du poids
– voiture étroite => améliore la pénétration dans l’air => aérodynamisme
– pas de climatisation, pas de lèves vitres électroniques, pas de radio, pas d’ordinateur de bord => pas de consommation énergétique superflus => amélioration du poids

Source LP2I

Source LP2I

EN RÉPONSE A LA PROBLÉMATIQUE

Les solutions retenues :

– Améliorer le rendement des moteurs. Ec soit proche de l’énergie Eu.
Ec = Ev / rv
– Abaisser le poids des véhicules = éco-conception
– Choisir des matériaux permettant d’avoir un impact minimum pour l’environnement.
De l’extraction ————————————————– Au recyclage
– Améliorer l’aérodynamisme des véhicules. – Recherche du meilleur compromis entre les besoins et la puissance des véhicules.

Après toutes nos recherches sur les voitures en générale, nous nous sommes interessés aux composants de la voiture MIA.
Pour pouvoir déterminé les matériaux présents sur la voiture, nous avons prit un émant et nous l’avons testé sur la voiture. Si l’émant resté collé a la voiture, cela voulait dire que c’était de l’acier et dans le cas contraire c’était donc soit de l’alu ou du plastique.

Source LP2I

Source LP2I

Nous avons donc pu en conclure que :
– la carosserie est composé entièrement de plastique.
– le chassis et les rails pour ouvrir les portes latérals sont en asier.
– le moteur est lui en alu.

Nous nous sommes ensuite intéresser a voiture en général. Nous avons utilisé le logiciel SinusPhy, qui nous permet de voir la variation de la puissance et du couple moteur en fonction du vent, de la vitesse de la voiture, pente et l’aérodynamisme.

Source tirée du logiciel SinusPhy.

Source tirée du logiciel SinusPhy

C’est grâce a cette analyse que nous nous rendons compte que la puissance de la voiture dépend bien du vent, si on est dans une pente et l’aérodynamisme joue à partir d’une certaine vitesse : a faible allure l’aérodynamisme ne joue pas sur la puissance.

Automate Programmable Industriel (API) et Grafcet

Un Automate Programmable Industriel est un dispositif électronique programmable destiné à la commande de processus industriel pour un traitement séquentiel. Il envoie des ordres vers des préactionneurs (partie opérative) à partir de données d’entrée tels que des capteurs.

Problématique : Comment mettre en oeuvre un automate programmable industriel ?
Objectifs pédagogiques : Analyser le système
Identifier et caractériser les grandeurs agissant sur un système
Justifier le choix d’un protocole expérimental
Mettre en oeuvre un protocole expérimental
Le fonctionnement souhaité : L’objet doit se déplacer automatiquement entre deux positions en effectuant des aller-retours de manière cyclique tant que le bouton dcy (départ cycle) est activé.
Si le bouton dcy est désactivé, alors le cycle en cours peut se terminer normalement, mais un nouveau cycle ne commencera que lorsque dcy sera à nouveau activé.

Pour réaliser le Grafcet, il faut que je détermine les capteurs. Nous faisons l’hypothèse que chaque position A et B est détectée par un capteur A et B. Je peux décrire sous forme de Grafcet le fonctionnement souhaité.

Source LP2I
Avec le logiciel Automgen

Nous avons choisi des capteurs de position de type poussoir qui permettent de détecter l’objet quand il est au point A et respectivement au point B. Nous pouvions aussi choisir un capteur de type reflex, mais nous trouvions qu’un capteur de position de type poussoir était plus facile à mettre en oeuvre.

Capteur à bouton poussoir
Source LP2I

Une fois notre grafcet établit à l’écrit, nous devions le créer par ordinateur via le logiciel Automgen.

Explication de notre Grafcet : Quand nous appuyons sur le bouton dcy et que le CaptA est actif, l’objet se déplace vers le point B. Le CaptB devient actif et c’est après cela que l’objet peut revenir au point A. Le captA redevient actif.
Avant de tester notre Grafcet sur l’Automate nous avons d’abord effectué une simulation via l’ordinateur.

Source LP2I
Avec le logiciel Automgen

C’est grâce à cette bille bleu que nous pouvons voir si notre programme fonctionne correctement. Au fur et à mesure que les transitions deviennent vraies, la bille bleu progresse.
Une fois cette simulation effectuée et réussie, nous avons pu transférer le programme à l’Automate (après compilation). Nous avons donc fait nos branchements et nous avons pu le tester réellement.

Source LP2I

Source LP2I

Nous avons donc branché et relié l’Automate avec le PC pour nous permettre de compiler notre Grafet. Nous avons ensuite branché nos capteurs sur l’Automate. Nous lançons le programme depuis l’ordinateur et nous pouvons voir si avec l’action de nos capteurs, l’action s’effectue correctement.

J’ai représenté mon Grafcet par ce chronogramme ci-dessous.

 

Source LP2I

Source LP2I

 

 

Pour télécharger Automgen : http://www.irai.com/index_fichiers/irai_grafcet_simulationapi_virtual_commissionning_telechargement.htm
Pour avoir plus d’information : http://fr.wikipedia.org/wiki/Automate_programmable_industriel
http://alain.canduro.free.fr/API.htm
Pour un tutoriel sur Automgen : http://catice.ac-besancon.fr/sti/didacticiel/siteAII/

Les capteurs de type reflex

Un capteur est un composant qui prélève une information sur la partie opérative et la convertit en une information exploitable par la partie commande.
Il existe différents types de capteurs : logique, analogique et numérique. J’ai étudié pour ce TP un capteur logique.

LES CAPTEURS PHOTOÉLECTRIQUES :
Ce capteur est également appelé capteur TOR (Tout Ou Rien). En effet, sa sortie peut prendre que deux valeurs de tensions possibles. On peut ainsi associer à chacune des valeurs possibles un niveau logique. Soit 0, soit 1.

Sur notre capteur, une LED permet de visualiser l’état du capteur (présence ou pas de l’objet).
Le type de détection de notre capteur est une détection sans contact puisque le capteur détecte le phénomène à proximité de celui-ci.
Ce capteur fait partie des capteurs de proximité ou appelé également détecteurs de présence.

Trois technologies sont utilisées :
– les détecteurs photoélectrique de type barrage

Cliquez sur l’image pour lancer l’animation

– les détecteurs photoélectrique de type reflex

Cliquez sur l’image pour lancer l’animation

– les détecteurs photoélectrique de type proximité (l’objet devra être réfléchissant)

Cliquez sur l’image pour lancer l’animation

J’ai donc pour ma part utilisé et étudié un capteur reflex. Pour visualiser sa tension de sortie nous avons dû mettre sous tension (24V) le capteur et brancher sur la borne de sortie un oscilloscope. J’ai résumé mon branchement par un schéma assez simple (voir schéma en dessous).

Un oscilloscope
http://www.electrome.fr/produits/produits/mesure/oscillo/images/HM5072.gif

Source LP2I

En passant ou pas un objet devant le capteur, j’ai observé que le signal de sortie varié et que l’on pouvait associer la tension de sortie à la présence ou pas de l’objet.
Sur l’oscilloscope, cela nous donnait quelques chose semblable à ceci…

Source LP2I

Source LP2I

Source LP2I

Nous pouvons associer la valeur 0v au niveau logique 0.

Nous pouvons associer la valeur 24V au niveau logique 1.

Des applications de ce capteur:

Ce capteur peut être utilisé sur des portails électriques : détection de la présence ou pas du véhicule, pour savoir si le portail peut se refermer.

Il peut être aussi utilisé pour la détection des objets dans des chaînes de production. Également aussi comme capteur de sécurité (capteur qui va arrêter le fonctionnement d’une machine s’il détecte une présence humaine).

La voiture à Hydrogène

Ces derniers temps, on trouve de plus en plus de voitures électriques pour favoriser l’écologie et arrêter de polluer l’atmosphère. Nous voyons également en ce moment de plus en plus de voitures Hybrides. Mais un autre procédé est actuellement envisagé, c’est la voiture à l’Hydrogène.

PRINCIPE :

Imaginez une voiture 100 % électrique qui aurait une autonomie de 500 km et que vous pourriez recharger complètement en moins de 5 minutes.. Cela est maintenant possible grâce aux voitures à Hydrogène.

Le véhicule utilise de l’Hydrogène issu de l’eau qui est mélangé avec l’oxygène de l’air, dans une Pile à Combustible. On appelle cela la PAC. Cette Pile à Combustible est généralement couplée avec une batterie au lithium qui alimente un moteur électrique. Pour faire le plein d’Hydrogène, il vous suffit de trouver une borne d’Hydrogène, cela ne vous prend que 5 min pour faire un plein pour 500 km en fonction des modèles. Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas beaucoup de bornes à Hydrogène, il n’y en a environ que 100 en France. Sinon, il n’y a pas de différence en terme de performance entre une voiture à Hydrogène et une voiture thermique. On ne peut pas en dire autant des véhicules électriques qui roulent uniquement avec des batteries au lithium.

Exemple d'une borne à HydrogèneExemple de borne à Hydrogène                        Source :automobile-propre.com

Mais malheureusement, les voitures à Hydrogène ne seront pas accessibles avant longtemps, d’après Dan Akerson, le PDG de General Motors qui précise : “Elle est encore trop chère et ne sera pas compétitive avant 2020 ou plus”. Le marché n’est donc pas encore lancé pour ce type de voiture. Par exemple, Honda a commercialisé auprès de particuliers la FCX Clarity dans la région de Los Angeles depuis 2008. Etant donné que ce n’est, pour l’instant, que de la location, cela revient à 600$ par mois. La voiture a une autonomie de 385 km et a une vitesse de pointe de 160 km/h et un moteur de 100 kW. En 2010, Honda a réussi à en vendre 10, alors que, pour l’instant en 2012, la marque en a vendu 0.

FCX Clarity de chez HondaFCX Clarity de chez Honda                     Source :automobile-propre.com

Le prix de ces voitures est encore très élevé puisque les constructeurs n’en produisent pas encore en série, ce sont des modèles uniques. Par exemple, l’Ingénieur responsable des motorisations du futur chez Toyota, Justin Ward, a indiqué que le coût de fabrication d’une Voiture à Hydrogène était passé de 1million de dollars, il y a quelques années, à 129 000$ aujourd’hui. Et quand on l’interroge sur le prix probable de ces voitures en 2015, il a refusé de confirmer le prix de 50 000$ annoncé.

Problème : L’idée de la voiture à Hydrogène ne date pas d’Hier, mais elle avais été arrêté à cause des normes de sécurité. En effet, quand on faisait le plein d’Hydrogène, le risque était permanent, car si de l’air rentre en même temps que l’Hydrogène, cela peut provoquer des explosions. Maintenant, les constructeurs ont considérablement travaillés ce problème et le risque n’est plus trop constaté.

Pour l’instant les différences de coût freinent ce marché, mais nous pouvons espérer beaucoup de ces voitures.

Pour mieux comprendre le système utilisé dans les Voitures à Hydrogène, je vous invite à regarder cette vidéo explicative.

Mes sources : automobile-propre.com

 

 

Etude du Mixeur Electrique – Les contraintes

Les contraintes environnementales :

Il faut limiter l’impact environnemental du mixeur : de sa fabrication, de son utilisation jusqu’à son recyclage quand il arrive en fin de vie.

Donc il faut concevoir le mixeur avec des matériaux qui soient recyclables.

Les contraintes sociales :

Il faut s’adapter aux besoins des consommateurs : le mixeur doit être pratique à utiliser (le poids doit être faible) et le mode d’emploi compréhensible par tout le monde.

Il faut limiter le coût d’achat pour les consommateurs donc il faut limiter le coût de production.

Les contraintes fonctionnelles :

Il ne doit pas peser trop lourd mais il faut quand même qu’il soit solide.

Il doit respecter des normes de fabrication : des systèmes de sécurité pour éviter les accidents domestiques (lorsque la personne enlève le couvercle pendant son fonctionnement, le mixeur se coupe automatiquement pour éviter des coupures).

Le mixeur doit pouvoir mixer des aliments plus ou moins solides et il doit fonctionner sur des prises de 220 V.  

Mes sources : LP2I.