Module Inter Disciplinaire CAA-SVT 2012-2013 Lycée Pilote Innovant International du Futuroscope

Mis en avant

L’écosystème urbain de la Technopole : Une niche écologique viable ?

« L’écosystème urbain est bien un système vivant organisé, au même titre qu’une forêt ou un marais, avec ses composantes minérales, végétales, animales, fongiques, bactériennes, (…), mais aussi ses propres stocks et flux et ses boucles de régulation. Jusqu’à quel point cet écosystème urbain est-il un écosystème comme les autres ? »

E.Liedermann in http://urbanites.rts.ch/laboratoire-de-la-ville-du-futur/de-la-%C2%AB-nature-en-ville-%C2%BB-a-lecosysteme-urbain/

Dans ce Blog une classe est invitée à se projeter en 2030 et à imaginer le cadre de vie de divers habitants dans la futuropole en respectant quelques contraintes.

 

 

 

 

 

 

Opinions

We shared our opinions, we’ve concluded that the bus is good but the problems are there aren’t enough buses in small towns and they are too slow, it’s too expensive (France isn’t concerned by the price).

http://poitiers.transbus.org/dossier_gnv.html
We’ve also said that the train is a good means of transport in  big cities and it’s the most ecological solution if it’s full.

http://www.applicationiphone.com/2010/03/app-iphone-tbc-bordeaux/
The French says that the bus is the best in Poitiers because there are many people who take it.
The italian prefers the car.

http://www.city-car.fr/

Etape n°1 : la construction d’une piscine naturelle

23 janvier 2032

Bonjour !

Si vous lisez cet article, c’est certainement que vous suivez la progression de notre projet au sein de la technopole, et cela nous fait très plaisir. Aujourd’hui, nous avons décidé de parler dans notre article de la construction de notre piscine naturelle. Elle n’est pas toujours la première chose réalisé dans la construction de la maison, mais cela est conseillé car l’écosystème de la piscine doit se faire le plus naturellement possible et met un certain temps à se mettre en place.

Tout d’abord, il faut savoir qu’une piscine naturelle reproduit le cycle de vie des étangs et se compose de trois zones essentielle (il est préférable qu’elles ne soient pas directement séparés, car sinon cela oblige à installer un système de pompe) : *

-La zone de filtration (ou lagune) : elle doit être un peut moins profonde que la zone de régénération. On y installe des plantes épuratrices sur un matelas de pouzzolane (pierre de lave). Elles vont filtrer les nutriments présents dans la piscine (car en trop grand nombre de nutriments, on est sûr de voir les algues prendre le dessus. Des bactéries présentent dans ce bassin permettront de transformer les déchet organique en nutriment pour les plantes épuratrices.

-La zone de régénération (ou zone de végétation) : elle doit être assez profonde (minimum 1 mètre de profondeur), pour pouvoir y installer des nénuphars et des plantes oxygénantes. Ces plantes vont aussi contribuer à la filtration des nutriments,et en oxygénant l’eau vont faire vivre de nombreuses bactéries et de petits animaux qui contribueront à l’entretient naturel de la piscine.

-Et enfin la zone de baignade.

Une fois ces trois zones installées, l’écosystème se met en place.

Et maintenant vous connaissez à présent la construction d’une piscine naturelle et son fonctionnement ! J’espère que ces informations vous seront utiles pour vos futures constructions !

La famille Firat

Performance énergétique Bâtiment : de nouvelles normes de réglementation thermique en 2020

En passant

Publié le 20.11.2018-

Agence communautaire du développement durable 

Premier ministre de l’Europe Atlantique-

Afin de généraliser les bâtiments basse consommation, une nouvelle réglementation thermique, dite « RT 2025 », s’appliquant aux bâtiments neufs, fixe un nouveau plafond de consommation d’énergie à 25 kilowatts/heure par m² et par an (contre 50 kWh/m²/an auparavant), appelé coefficient d’énergie primaire (CEP).

La nouvelle norme, qui remplace l’actuelle RT 2012, s’appliquera aux permis de construire, ou déclarations préalables, déposés pour les bâtiments neufs ou les parties nouvelles de bâtiments existants :

  • à partir du 28 octobre 2020 pour les bâtiments de bureaux, d’enseignement et d’accueil de la petite enfance,
  • à partir du 28 octobre 2020 pour les bâtiments d’habitation construits en zones relevant de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) ou les logements sociaux à usage locatif,
  • et à partir du 1er janvier 2023 pour tous les logements neufs.

Les logements collectifs bénéficient d’une dérogation provisoire : le CEP est fixé à 32  kWh/m²/an, jusqu’au 1er janvier 2025.

La performance énergétique des bâtiments dépend à la fois de la consommation primaire (chauffage, eau chaude, éclairage, climatisation, ventilation) et de l’inertie thermique liée à la conception des bâtiments (matériaux, parois vitrées, énergies renouvelables, etc.).

Le CEP est modulé selon la localisation géographique, l’altitude, le type d’usage du bâtiment, la surface moyenne des logements et les émissions de gaz à effet de serre pour le bois énergie et les réseaux de chaleur les moins émetteurs de CO2.

Ces nouvelles exigences énergétiques ne s’appliquent pas aux bâtiments :

  • provisoires, prévus pour être utilisés moins de 1 an,
  • dont la température normale d’utilisation est inférieure à 10°C,
  • ouverts sur l’extérieur,
  • industriels, dont l’usage nécessite des conditions de température, d’hygrométrie ou de qualité de l’air particulières,
  • agricoles ou d’élevage,
  • situés dans les départements d’outre-mer.