A vos plumes

Dans une forêt enchantée, un gnome ne voulait prêter de l’argent qu’à une seule condition : les personnes devaient le rembourser sous trois jours sinon elles seraient transformées en ogre.  Un lutin demanda de l’argent et s’engagea dans une dette de trois jours.

Au bout de trois jours, le lutin ne put pas rembourser le gnome, il eut très peur, il appela sa mère et il lui parla de ce prêt mais elle ne pouvait rien faire.  Le lutin alla voir le gnome et lui expliqua. Le gnome lui répondit qu’il devait l’avoir rembourser sous trois jours,  sinon il serait projeté dans un trou. Le lutin attendit les trois jours. Il pleura,  il cria,  il ne sortit plus de sa maison : un jour passa,  deux jours passèrent,  sa mère se demanda où il était.  Elle s’inquiéta. Au bout du troisième jour,  le lutin se décida à affronter le danger.

Il prit une hache  et il alla voir le gnome à côté du trou.  Le gnome lui parla et il  fit se rapprocher  le lutin du trou. Ce dernier donna un coup de hache dans la tête de l’affreuse créature.  Il recula et chuta dans le trou et il se fit accrocher par des ronces et il saigna jusqu’à en mourir. Le lutin vécut heureux mais avec un regret dans le cœur,  il pleura longtemps. Il pleurait régulièrement, de temps en temps à cause de ce moment tragique.  Il alla déposer l’argent de sa dette sur la tombe du gnome.  Il se pendit deux ans après son meurtre.

  Un farfadet préparait sa potion du soir. Il vit, à la fenêtre, haut dans le ciel, un oiseau en flammes : le phénix. Il tombait du ciel. Comme le farfadet n’en avait jamais vu, il alla l’examiner. Quand il arriva, il le vit en très bonne forme.
  Le phénix se réveilla et étonné de se trouver devant cet être vivant qu’il ne connaissait point,  il voulut vérifier s’il était comestible .
     Il cracha du feu sur le petit homme. Le sorcier avait pris soin d’amener  sa potion de défense. Il la lança. Le feu de l’oiseau flamboyant fut contré. Il recracha encore et encore mais en vain. Le farfadet lança une nouvelle potion sur le phénix. L’oiseau légendaire mourut et le malicieux farfadet se dit que ressembler à cette bête-là ne servirait à rien.          Mais nous savons que le phénix renaît de ses cendre et sa vengeance allait sonner. L’homme fier de lui rentra finir sa potion.

Un jour, un chevalier se promenait. Tout à coup, un dragon sortit de nulle part ! Le chevalier sortit son épée pour le prendre par derrière mais le dragon s’envola. Il était 19h30. L’homme rentra chez lui.

Le lendemain, le chevalier retourna à cet endroit-là. Il y avait un château et à côté une grotte. Le chevalier qui habitait en face du château avança tout doucement. Il vit une queue noire, son cheval se cabra et la monstrueuse bête sortit. L’homme armé par réflexe sortit son épée. Le dragon, lui, ne l’avait pas remarqué mais seulement entendu ! Le chevalier respira très fort, son coeur allait à toute vitesse. Le dragon regarda partout , mais le chevalier et son compagnon ( le cheval) étaient cachés derrière un buisson. Ils étaient fatigués, vidés et rentrèrent au château pour se reposer.

Une fois reposés, le chevalier et son cheval prirent un bon repas. Ayant repris des forces, ils repartirent vers l’endroit où se trouvait la cruelle bête pour en découdre.

Quelle idée proposez-vous pour la suite?

      Un prince était dans son royaume avec sa princesse, il faisait beau, les  oiseaux 

chantaient, il y avait beaucoup de fleurs.

       Ils entendirent un bruit étrange,  le prince partit voir l’ horrible créature

qui s’ était posée. Quand il arriva, il vit un grand dragon qui était en train de détruire

le château, le prince sortit sa potion magique pour la calmer, cette étrange créature.

Il essaya de la lui donner. Le dragon but aussitôt la potion qui l’apaisa à ce moment- là

la princesse se demanda se qu’il se passait. Le prince fut content d’avoir pu

apprivoiser ce gigantesque dragon,  la grosse bête s’adoucit. L ‘homme donna à

manger à la bête, ce jour-là… et à partir de cet instant,  la bête fut dressée …

       Le jour suivant, le dragon sembla gentil, même la princesse l’ aima bien, ils étaient

tous heureux .

Un jour,un chasseur alla à la chasse dans la forêt sous un soleil éclatant et les oiseaux chantaient.
Soudain, un ogre surgit à cinq cent mètres, il n’avait pas mangé depuis une semaine. Le chasseur fuit dans son village pour annoncer la nouvelle.Mais personne ne le crut car les ogres étaient morts il y avait plus de deux siècles.Il décida de se battre seul! Il fabriqua un arc, et alla rencontrer la bête cruelle pour la défier.Mais l’ogre n’était pas là.Il chercha.Au bout de trois jours où il errait dans la forêt, il trouva un château.Il rentra avec son arc , il arriva dans une grande salle où il y avait deux ogres. Le premier ogre ordonna au chasseur de s’agenouiller devant le roi des ogres qui était l’ogre qu’il avait rencontré dans les bois.
Il tira une première flèche sur le premier ogre qui périt,tira une deuxième flèche sur le roi des ogres qui mourut.

Il faisait chaud ce jour là. Une princesse sublime était enfermée en haut d’une tour. Elle criait au secours mais personne ne venait;  elle désespérait mais un jour un chevalier l’entendit. Il courait dans la direction de la tour quand tout à coup…

Un dragon le fit virevolter dans les airs et le chevalier retomba lourdement sur le sol. Il s’empressa de se relever et entendit la belle princesse le prévenant de faire attention a une nouvelle attaque du dragon. Le chevalier évita de justesse l’attaque de ce dernier. Alors il sauta sur l’ennemi et lui asséna un puissant coup d’épée dans le cou, d’un coup le dragon mourut puis le chevalier ouvrit la porte où la princesse se trouvait enfermée.

Elle lui sauta dans les bras et l’embrassa. Ils repartirent au soleil couchant et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants.

Dans une forêt lointaine, vivait un chevalier ruiné. Il portait toujours sur lui son armure, car il pensait que son visage était très laid alors que sa tête était très très belle.
Un jour, décidant de visiter le monde, il sortit de sa forêt. il traversa des lacs, des montagnes et des forêts lugubres. Après dix jours de marche, il rencontra un dragon, sanguinaire, sans pitié et énorme. Le dragon lui demanda où il allait. Le chevalier lui répondit que lui même ne savait pas. Le dragon lui expliqua méchamment qu’il était sur ses terres et, qu’à partir de cet instant, il était son serviteur. Le soldat lui répondit qu’il ne serait jamais le serviteur de personne. S’ensuivit alors le plus grand combat de tous les temps, le chevalier combattait avec son épée et le dragon avec ses flammes et ses énormes griffes.
Le fantassin gagna cette bataille, et s’aventura dans le château (car il en avait un) puis trouva une princesse détenue par l’énorme reptile. Il la trouva tellement belle qu’il lui demanda sa main, oubliant que son visage était pour lui le plus laid du monde.la princesse lui demanda d’enlever son casque.Le soldat se rappelant ce qu’il pensait de son visage, accepta quand même. A son grand étonnement, la fille du roi accepta le mariage avec grand plaisir. Et ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours.

Un roi étant assez âgé était dépourvu d’ héritier, et ne sachant que faire, il

décida d’ organiser un concours afin de départager tous les enfants du pays : le

gagnant deviendrait donc le nouveau roi. Le but était que le roi donne à chaque

enfant une graine et qu’à la fin du mois la plus belle plante gagnerait. Aussitôt dit

aussitôt fait.Tout le pays fut au courent.

Dans un lieu très lointain, un petit garçon orphelin s’ appelait Nakal. Quand il apprit l’ existence de ce concours il voulut tout de suite gagner ; dès qu’ il

reçut sa graine, il s’ en occupa avec beaucoup d’ attention. Au bout d’ une semaine, sa

plante ne poussait guère alors il commença à s’ inquiéter.

A la fin du mois, il n’ y avait toujours rien, alors voyant que le pot des autres

enfants était rempli de magnifiques plantes magiques, il ne voulut plus participer au

concours. Mais il se dit que s’ il avait commencé quelque chose, il devait le finir.

Nakal partit donc avec tous les enfants du village. Au bout de quelques heures de marche ils arrivèrent enfin au palais du roi. Tous les enfants étaient attendus dans la cour. Une fois à l’intérieur, ils devaient lever leur pot en l’air. Aussitôt un groupe de gardiens virent le pot sans plantes, ces gardiens allèrent voir Nakal pour lui demander s’ il se moquait du roi en apportant un pot vide, c’est alors qu’il répondit inquiet qu’il avait fait tout son possible

mais que…

Soudain, une voix rauque intervint disant qu’il fallait laisser cet enfant tranquille.

C’était le roi qui parlait. Alors il expliqua que toutes les graines qu’il avait données étaient stériles et que seul son jardinier et lui-même étaient au courant. Puis il dit que tous les enfants qui avaient quelque chose dans leur pot avaient triché. Quelque semaines plus tard, le roi mourut et Nakal devint dont le nouveau roi.

a Il y avait jadis, dans une forêt mystérieuse, des centaines de créatures. Il faisait toujours beau, les tempêtes et la sécheresse n’existaient pas. Les occupants de cet endroit s’y plaisaient beaucoup, même si certains monstres terrorisaient les créatures.

a Un jour ordinaire, deux étrangers vinrent dans ces bois : un dragon rouge comme le sang, avec des yeux fauve et des écailles rugueuses comme un cauchemar ! Et une chimère avec trois têtes de loup noires comme la nuit ! Elle possédait aussi des ailes de chauve-souris. Ces deux monstres voulaient tuer une licorne qui leur avait pris un œuf de phénix. Dès qu’ils virent la pauvre créature, ils se lancèrent a sa poursuite. Mais la licorne se cacha dans une grotte et boucha l’entrée avec des ronces et des branches de rosiers. Les deux monstres retrouvèrent bien vite l’unicorne* et voulurent détruire les branches bouchant l’entrée du trou, mais ils se blessèrent à mort et moururent.

a Une fois le dragon et la chimère morts, la forêt redevint calme et les créatures ne furent plus jamais dérangées.

* licorne

        Romélia la sorcière se sentait exclue par ses confrères : sorciers , sorcières .

Son rêve était de faire partie de l’association “Comment être pire que le diable ?“ mais pour cela , il fallait qu’elle commette quelque chose que personne n’aurait

pensé   à faire . Hélas , même avec ses quarante ans d’expérience , elle n’avait

aucune idée pour faire pire que l’impossible .

  Un soir ,bien ténébreux, juste comme Romélia aime, une idée, pire que toutes  les autres idée , lui vint à l’esprit . Elle allait voler la place du Père-noël. Aussitôt dit , aussitôt fait. Romélia prit son balai et partit chez elle pour tout préparer. Elle fit sa valise, mit cinq pulls (il fait très froid là où habite le Père-noël) et prépara une potion pour empoisonner les lutins. Elle prit quelque heures pour terminer son poison et une  fois que ce fut fait, elle partit en balai. Comme le voyage durait longtemps! Et qu’elle s’ennuyait ! Puis, elle vît de la neige, ce qui signifiait que le Père-noël n’était pas loin . Plus elle avançait, plus elle avait froid.

 L’homme rouge avait de quoi se défendre ! Tant pis , il était trop tard pour

reculer . Elle frappa à la géante porte d’or. Une vielle femme un peu enrobée

lui ouvrit le sourire aux lèvres.

Elle ne se doutait sûrement pas que Romélia était une sorcière . Elle en profita

et inventa qu’elle venait pour un stage. La dame la fit entrer et, l’espiègle mit

  son plan à exécution . Elle mit de son poison dans les verres de chacun des lutins

(car le déjeuner n’avait pas commencé) et elle alla dans le bureau du

Père-noël  mais , il n’était pas là .  Alors elle partit dans l’usine de jeux.  Elle

s’apprêteait à tout casser quand, soudain, deux sorcières ( de l’association :

“Comment être pire que le diable ? ” ) lui dirent de s’arrêter.

        Romélia ne comprenait pas. Elle demanda des explications. C’est alors que

les deux sorcières lui expliquèrent que, depuis la nuit des temps, les sorcières

et le Père-noël s’entraident. Alors , très gênée , Romélia voulut ôter son poison

des verres des lutins mais  il était trop tard. Elle se fit bannir de son village

et envoyée dans le  village des fées pour un séjour interminable.