The mask, notre pire défaut

Commençons. Qui serait contre l’interdiction du port du masque ? Personne, vous vous dîtes mais cette question peut faire polémique.

Avec la pandémie de covid-19 à cause des gestes barrières et de ses distanciations sociale, la distance entre les individus s’est normalisée la preuve, dans le Science & Vie on a même parlé de la disparition de la bise en France. Mais ces obligations n’ont pas que impacté les relations physiques mais aussi sociale, l’obligation la plus marquante dans ce problème fut le port du masque.

Le masque est une contradiction en lui-même: il bloque les microparticules et les microorganismes nous protégeant de certaines maladies se transmettant par voie orale qui peuvent être grave, donc ses effets positifs ne sont pas à débattre; mais il gène la respiration, mets de la buée sur les lunettes (nous compatissons avec les personnes victimes de ce problème), nous empêche de manger et des théories complotistes disent qu’il donne le cancer. Mais le plus important, le masque cache le bas de notre visage et les émotions que transmette notre bouche.

Car c’est bel et bien la question possédant le plus d’importance, est-ce une bonne chose de restreindre nos expressions aux yeux et de cacher une partie de nous même ?

La nouvelle génération a été très touchée. On parle souvent de l’adolescence comme de la période où l’on complexe le plus et si on apprenait à s’accepter soi-même pour se débarrasser des dits complexes ?