Aujourd’hui, c’est le grand jour

Dans six mois, je lui dirai bonjour,

Je compte bien profiter de cette journée

J’espère que les mois passeront vite

Je me lève donc pour aller au lycée

Il faudra quand même que j’en profite,

Aujourd’hui, c’est le grand jour

Dans quatre mois, je lui dirai bonjour,

Ma journée est bien je commence par latin

C’est enfin le week-end de cette longue semaine

Il est l’heure de notre contrôle quotidien

Ce week-end je ne fais rien j’enfile mon pull de laine,

Aujourd’hui, c’est le grand jour

Dans deux mois, je lui dirai bonjour,

Il est temps de manger ça tombe bien j’avais faim

Les mois passent je me languis

Les heures passent je ne tiens plus en place

Je vois enfin ce jour arriver,

Maintenant c’est le grand moment

Ca y est enfin c’est maintenant

Ca y est c’est arrivé

Je vais enfin pouvoir le toucher,

Mon jouet.

Joséphine  & Diane

Vous savez, on a tous cette chose, cette chose qui compte beaucoup.

Ce truc-là, on ne le laisse jamais seul on le garde toujours avec nous.

Etant petit, il nous fait tellement rêver!

La première fois qu’on le voit on admire ses fines courbes, ses boutons

Jusqu’à ses petits défauts mais qui comptent peu.

Les premiers jours passés avec sont les meilleurs, ils sont inoubliables.

On le protège, on en prend soin, on le chouchoute

Et on lui chante quelques berceuses pour qu’il s’endorme.

Et puis un jour, arrive l’étape tant redoutée.

Cette étape nous devons la franchir ensemble.

La première fois où il chute. Avec un manque de chance, il chute dans l’eau.

Dans ce cas il faut lui donner un peu de riz.

Vous, vous voyez ? Ce truc-là ?

C’est mon portable.

Couplet 1:

Lors d’un jour d’été, à Hawaï

De bon matin je me lève… aaaah…

Je mis mon beau et grand chandail

Je pris un crabe dans mes bras

Refrain:

La mer si belle et si profonde

Où se trouvent des multitudes d’ondes

Mais qu’est-ce donc  que cette blague?

Je marche sur les vagues!

Couplet 2:

Ô moi le tout puissant

Je n’en perds pas une goutte de sang

J’offre du pain aux habitants

Aux sirènes peu de temps

Refrain:

La mer si belle et si profonde

Où se trouvent des multitudes d’ondes

Mais qu’est-ce donc que cette blague?

Je marche sur les vagues!

C’est le 14 au matin

Affamé de pains

Les Parisiens au matin

Se lèvent du mauvais pied

C’est le 14 à midi

La vague de Parisiens

Se lève et se rebelle

Pour du gros pains

C’est le 14 après midi

Énervés les parisiens

S’attaque à la Bastille

Pour la poudre et des armes

C’est le 14 au soir

Les Parisiens sans pain

Marchent vers la liberté

Et l’histoire du 14 se crée

Lors d’un jour d’été à HawaÏ

De bon matin je me leve, ah…

Je mis mon beau et grand chandail

Je pris un crabe dans mes bras.

Dans la mer si belle si profonde,

Où se trouvent une multitude d’ondes,

Mais qu’est donc cette blague?…

Je marche sur les vagues!

Ô moi le tout puissant

Je n’en perds pas une goutte de sang

J’offre du pain aux habitants

Aux sirènes, peu de temps.

Dans la mer si belle si profonde,

Où se trouvent une multitude d’ondes,

Mais qu’est donc cette blague?…

Je marche sur les vagues!

Les poissons, les nuages, les bateaux

Transforment l’eau,

Les marins, les requisn, les dauphins, rendent belle l’eau.

J’aperçois plein de vagues

Qui frappent dans vos mails,

Pour emporter vos ressources

Dans ce lieu plein de source.

Dans la mer si belle si profonde,

Où se trouvent une multitude d’ondes,

Mais qu’est donc cette blague?…

Je marche sur les vagues!

Le téléphone portable permet d’appeler , de rappeler , de raccrocher et de décrocher .

Plus les jours passent , plus je m’y attache , et plus jamais je m’en lasse.

Grâce à lui! Il m’éblouit toute la nuit et me permet de faire du riz.

Des que je pense à lui,  il est prés de moi, et, dès que je le vois, je le prends dans mes bras.

Le téléphone potable permet de surfer sur le net, car il voit très net, permet de faire la fête avec ses milliards de sonnettes .

Plus les jours passent plus je prends des selfies, plus les autres m’envient ma vie .

Grâce à lui je rends fous les mecs, ils me payent des grecs (kebabs) et ça m’affecte.

Dès que je pense à lui,  il est prés de moi, et, dès que je le vois je le prends dans mes bras.

Il est toute ma vie, et je l’aime ainsi, l’amour que je donne à ce portable  remplit ma vie insupportable.

Dès que je pense à lui,  il est prés de moi, et, dès que je le vois, je le prends dans mes bras.

C’est fini .

C’est un hiver banal

Sur un champ de bataille de Stalingrad

Mon camarade allongé sur son sac

Transpirant de peur et de larmes.

Notre commandant profanait  ses mensonges

Il essayait de nous faire avancer

Vers cet abattoir rempli de bêtes enragées

Qui n’abandonneraient pour rien au monde

Me voilà enfin en enfer

Devant ces maisons détruites et des corps sans vie

Me voilà enfin en enfer

En me demandant ce que je fais “ici”.

Je vis mon camarade allongé sur son sac,

Les yeux fermés, la bouche fermés

Puis je sentis une fraîcheur impossible à contrôler

Il neigeait, oui, il neigeait des balles.

  Loïc et Maxime.

(Absamat et Matthias)

Pendant mon voyage à Paris

Trop de filles demandent mon numéro

J’ai dit oui à la plus jolie

Elle m’a répondu tu “es mon héros”.

Je reviens d’Ibiza

Cet hiver, je suis impatient

De pouvoir m’amuser dans la neige

De découvrir ce qui m’attend

Et de porter mon bonnet beige.

Le soir du 24

Nous serons tous réunis

Autour de l’hâtre

A manger des sucreries.

Toute la famille sera là

Et Jean-Michel montrera

Sa belle collection de pyjamas.

Le lendemain j’ouvrirai mes cadeaux

En mangeant mes Kinder Bueno

J’aurais mes shoes Adidas

Et je me sentirais class.

Toute la famille sera là

Et tante Patricia montrera

sa belle collection de chocolats.

Le pêcheur à pêché de quoi marchander

Venu s’amarrer dans le port de sa belle ville

Il descendit du bateau pour la retrouver

pour retrouver celle qu’il aime , charmante fille

D’un pas majestueux, pris le chemin Lebeau ,

flânant rêvant de sa pauvre et bleu cabane .

l’on pouvait voir tomber la falaise, beau tableau !

Au loin on voyait passer un vielle caravane.

il tournait la tête et vit une svelte silhouette:

C’etait sa fille .

Elle le regardait et lui dit “Papa ! Tu es rentré ! Mais où est maman ? “Il lui répondit qu’elle était partie pendant une tempête. Sa fille pleura à grosse gouttes .Il cueillit des fleurs sauvages et les jeta dans l’océan. Il prit dans les bras sa fille et s’en alla.