Ô! Ô toi, comment oses-tu te contempler,
Dans le miroir, toi qui es en forme de poire,
Car seule ta toge mérite un éloge,
Tu penses éblouir, pourtant tu ne fais que pourrir,
Tu souhaites que tout le monde te voit,
Pourtant personne n’a voulu de toi,
Ô toi, ta louange ayant été faite,
J’espère à présent que tes sesterces sont prêtes.
Pauline, Camille, Diane, Adèle, 1ère latiniste