Inspiré de l’hymne à Vénus, de Lucrèce.
Ô très grand Dieu pas de l’amour mais de l’humour
Aux blagues tombant dans les oreilles des sourds
C’est par ta puissance que pousse le boulgour
Ô grand Dieu, tout en finesse tu n’es point lourd
O grand Dieu, aux pieds courts qui courent dans la cour
Tu es de retour pour nous jouer un mauvais tour
Pas de longs discours ni du pot tourner autour
Tu viens à notre secours pour de meilleurs jours
Au rire non pas de vautour mais de velours
Qui dit “bonjour” aux alentours des feux de fours
En dernier recours nous implorons ton concours
Ô grand dieu si justement nommé Abatjour.