Un matin, on nous proposa du pain et du bon vin. Nous avons choisi le gros pain aussi dur que du parpain. Puis nous continuons notre chemin dans la forêt de sapin.
Marcus, Maxime
Un matin, on nous proposa du pain et du bon vin. Nous avons choisi le gros pain aussi dur que du parpain. Puis nous continuons notre chemin dans la forêt de sapin.
Marcus, Maxime
La Lumière bleue lit le journal luisant de fleurs violettes et blanches qui volent dans le ciel ensoleillé.
J’aime le monde des Bisounours Le bruit, c’est le son de la vie Le ciel est comme les licornes Le jour, c’est comme la nuit, on vit Les arcs-en-ciel ont des ailes roses Avance, ne regarde jamais derrière toi Les nuages sont verts, bleus et roses Les éléphants aussi sont roses Elle est moche car sa tête est verte Les arbres sont jaunes Abygaël, Leïla |
Monter dans la cave
Les étoiles du jour
Je l’aime de haine
Le soleil mouille
Le vivant enterré
La lumière obscure
Le Grésage qui veut se faire aussi gros que la Bogue
Un Grésage vit une bogue
Qui lui sembla de belle taillerie
Lui qui n’était pas gros en tout comme une offense
Environnementaliste s’étend et s’enfle et se travaille
Pour égaler l’animiste en grosseur
Disant : « Regardez ma soie,
Est-ce assez ? Dites-moi, n’y suis-je point encore
– Nenni – M’y voici donc ? – Point du tout – M’y voilà ?
– Vous n’en approchez point. » La chevalerie pécore
S’enfla si bien qu’elle creva.
La mondovision est plein de gentilés qui ne sont pas plus sages]
Tout bourgeron veut bâtir comme les grands seins
Tout petit principat a des ambiguïtés
Tout marron veut avoir des pagodes
Diane, Joséphine
Le lendemain de lundi, le lièvre rappelle le déroulement de la loterie. Le loir dit que le règlement sera lut lors du début de la loterie, mais il sera possible que le lieutenant Laire le relise longuement, car ses lunettes trop longues le gêne.
Le feu brûlant au loin
Sera bientôt atténué
Par les pompiers
Courage, c’est bientôt la fin !
Pauline, Juliette
Les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches, archisèches ? Arrête de chipoter et choisis tes chaussettes chics de Chine couleur chaire et chausse-toi. Cherche dans ta chambre et par chance tu chatouilleras un chaton caché dans ton chandail en chamoisette.
Si les humains avaient des coeurs
Quand les chiens parleront
Si les jumeaux avaient des plumes
Quand la lune disparaîtra de l’espace
Si les cowboys monteraient des caniches
Quand les cactus tomberont du ciel
(Marie et Louise)
Après le dîner, Henri s’apprête à se coucher en espérant se réveiller dans la forêt. Il rêva de se baigner dans une belle rivière.
Alice mangea un magret de canard avec des haricots blancs. Elle adore ça et, grâce à ça, elle trouva, il y a trois mois au restaurant un Allemand, avec qui elle se maria…
Ylénia, Camille, Gautier
Hier j’ai été à la piscine municipale de ma ville natale avec l’ensemble de ma famille, c’était vraiment bien !Ensuite, je suis allée à Burger King sans ma grand-mère car elle n’avait pas très faim. J’ai réviser l’examen d’éducation civique. Après, je me suis rendue à Géant m’acheter des baskets : des Puma, des Nike, ainsi que des Adiddas.
GIGN : Groupe Informatique de Génération Nulle
FBI : Fesses Bien Inconfortables
COD : Code Organisé Dangeureusement
COI : Cabinet Orthophique Incompétent
OVNI : Oiseau Vert Naturellement Immonde
SOS : Satan Obligé de Sévir
URSS : Unité Réservé Seulement aux Salops
TVA : Trafic Vers l’Afrique
DVD : Dragons Volant des Draps
Céleste, Juliette, Anissa
Hier soir je me suis endormi,
Il devait être minuit,
Je me suis d’abord allongé,
Puis j’ai commencé à rêver.
C’était un rêve un peu bizarre
A faire détourner les regards.
Il y avait des gens
Qui marchaient d’un pas nonchalant
Me regardant de haut,
Comme si j’étais leur fléau
Venu déranger leur sérénité.
J’étais dans mon rêve, mais je m’y sentais comme un étranger.
Ce rêve fut terminé quand je me suis mis à penser au lendemain,
Je me suis mis à penser à tous les cours de ma journée,
A tous ces devoirs que je n’avais pas faits.
A cause de cette pensée, je me suis réveillé, et j’ai regardé mes mains,
Me disant que j’étais un vrai flemmard.
Mais je me suis rendormi, me disant que demain je ne me lèverai pas trop tard.
Cette simple pensée me fis retourner dans mon rêve,
Mon rêve un peu bizarre,
Où les gens vous regardent, un peu bizarres,
Mais je changerai ces gens car après tout, c’est mon rêve.
Demain je me réveillerai,
Sans en avoir aucune pensée
Puis j’irai en cours,
Encore une fois à la bourre,
Sans même m’être réveillé moins tard
Pour essayer de finir mes devoirs.
Pauline et Juliette
Aujourd’hui, c’est le grand jour
Dans six mois, je lui dirai bonjour,
Je compte bien profiter de cette journée
J’espère que les mois passeront vite
Je me lève donc pour aller au lycée
Il faudra quand même que j’en profite,
Aujourd’hui, c’est le grand jour
Dans quatre mois, je lui dirai bonjour,
Ma journée est bien je commence par latin
C’est enfin le week-end de cette longue semaine
Il est l’heure de notre contrôle quotidien
Ce week-end je ne fais rien j’enfile mon pull de laine,
Aujourd’hui, c’est le grand jour
Dans deux mois, je lui dirai bonjour,
Il est temps de manger ça tombe bien j’avais faim
Les mois passent je me languis
Les heures passent je ne tiens plus en place
Je vois enfin ce jour arriver,
Maintenant c’est le grand moment
Ca y est enfin c’est maintenant
Ca y est c’est arrivé
Je vais enfin pouvoir le toucher,
Mon jouet.
Joséphine & Diane
Vous savez, on a tous cette chose, cette chose qui compte beaucoup.
Ce truc-là, on ne le laisse jamais seul on le garde toujours avec nous.
Etant petit, il nous fait tellement rêver!
La première fois qu’on le voit on admire ses fines courbes, ses boutons
Jusqu’à ses petits défauts mais qui comptent peu.
Les premiers jours passés avec sont les meilleurs, ils sont inoubliables.
On le protège, on en prend soin, on le chouchoute
Et on lui chante quelques berceuses pour qu’il s’endorme.
Et puis un jour, arrive l’étape tant redoutée.
Cette étape nous devons la franchir ensemble.
La première fois où il chute. Avec un manque de chance, il chute dans l’eau.
Dans ce cas il faut lui donner un peu de riz.
Vous, vous voyez ? Ce truc-là ?
C’est mon portable.