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Les 1ES du lycée de nouveau été accueillis au Lycée Aliénor d’Aquitaine

Publié par srousseau le 15 Avr 2016 dans Le coin des 1ES, Non classé

 

Les 1ES du lycée ont de nouveau été accueillis au Lycée Aliénor d’Aquitaine afin de s’informer sur la classe préparatoire économique et commerciale. Dans le cadre de l’organisation pass en sup, nos élèves ont ainsi été pris en charge par des enseignants de cette classe préparatoire aux grandes écoles ainsi que par des élèves de première année et d’anciens élèves.
4 de nos élèves de TES, scolarisés depuis septembre 2015, ont par ailleurs présenté avec enthousiasme les attentes de la prépa en fin de matinée à leurs cadets de Guy Chauvet.

Voici l’organisation de la journée :

Accueil : 10h30-11h30
- Présentation de la CPGE
- Exemples d’anciens étudiants aujourd’hui dans la vie active

Rencontres : 11h00-11h30
Rencontre avec Mathilde Brandy, Adrien Marsault, François Vivier et Antonin Rohard (anciens TES du lycée Guy Chauvet qui sont en 1ère année de CPGE)
- Le travail est progressif donc ce n’est pas insurmontable.
- Il y a un cadre ici et c’est une voie généraliste.
- Il faut bien organiser son temps et son travail pour éviter les nuits blanches
- L’internat permet aussi à développer des liens entre les élèves tout comme le sport.
- L’encadrement permet à tous de se remettre à niveau.
- Le samedi matin est consacré au sport, aux associations
- Cadre convivial pour travailler, il n’y a pas de compétition mais ce n’est pas le cas dans toutes les écoles prépa.

11h30-12h30 : déjeuner

12h30-13h15 : témoignages d’anciens élèves de la prépa.
- Leur parcours après la prépa.
- Les disciplines en classe de commerce : beaucoup moins de théorie qu’en prépa, en revanche beaucoup de travail de groupes, travaux pratiques.

13h15-14h00 : Découverte des spécificités d’enseignement.
- Simulation d’un entretien de personnalité.
- Simulation Colle d’Espagnol.

14h15-15h00 : Visite du forum des écoles : nos élèves ont circulé entre les différents stands tenus par des écoles de commerce diverses.

15h00-15h30 : Visite du lycée.

15h30-16h00 : échange avec des étudiants de CPGE et temps de questions.

16h15 : Retour sur Loudun.

 

 
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Les travaux des 1ES et des TES sur la laïcité

Publié par srousseau le 14 Déc 2015 dans Le coin des 1ES, Le coin des TES

Les élèves de 1ES et de TES du lycée ont participé, du 3 au 13 décembre 2015, à la création de petites synthèses sur la laïcité. Voici les principales contributions qui s’appuient sur des notions majeures dans les sciences sociales.

 

La loi du 9 décembre 1905 et la laïcité en France : quelques éléments d’analyse proposés par les 1ES et les TES

Le cadre général de la contribution des élèves

L’objectif est de s’interroger sur la portée de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des églises et de l’Etat, promulguée il y a maintenant 110 ans, et qui occupe une place essentielle dans notre histoire et notre culture.

Les interrogations soulevées nécessitent d’être mises en perspective au regard d’événements dramatiques survenus dans notre société française, notamment ceux de janvier et de novembre 2015.

  • ces événements témoignent d’une opposition farouche de certaines idéologies aux principes de la République et à notre pacte social

  • ils supposent, plus que jamais, d’amener chacun à prendre conscience de la nécessité, malgré les différences et les oppositions, de comprendre en quoi consiste le statut de citoyen en France et l’intérêt de le défendre au quotidien de manière raisonnée.

Les élèves de 1ES et de TES du lycée Guy Chauvet sont d’autant plus disposés à s’interroger sur le principe de laïcité qu’ils étudient en sciences économiques et sociales de multiples phénomènes sociaux et politiques s’appuyant sur des notions, mécanismes et théories permettant d’éclairer les analyses.

Les élèves de 1ES ont travaillé sur :

  • le statut de citoyen en France

  • l’intérêt de l’attachement de chacun aux grands principes fondateurs de notre République pour l’intégration et la régulation sociale (rôle de la reconnaissance à travers les symboles)

  • le rôle essentiel de la socialisation primaire et secondaire afin d’assurer le lien social

Les élèves de TES ont travaillé sur :

  • la spécificité de notre Etat-nation et son évolution à travers l’histoire

  • les risques liés à un défaut de socialisation et d’intégration (apport de sociologues)

  • des éléments de comparaison entre pays concernant le rapport à la laïcité

Éléments de comparaison entre certains pays concernant le rapport à la laïcité

La laïcité est une conception de l’organisation en société visant une certaine neutralité au sein d’institutions publiques comme l’éducation ou la justice. Le but de la laïcité est de respecter la liberté de culte de chacun tout en s’assurant d’une indépendance entre le pouvoir politique et les valeurs religieuses. Malgré tout, le rapport à la laïcité n’est pas identique dans chaque pays.

Allemagne :  Il n’existe aucune religion officielle, mais une loi impose un crucifix (symbole de la religion chrétienne) dans chaque classe, sauf si les parents des élèves protestent et refusent ce signe ostentatoire.


France : Depuis la loi de 1905 de séparation de l’Église et de l’État, la laïcité a pour but de promouvoir une liberté de culte dans la sphère privée, mais en insistant sur la nécessaire neutralité dans la sphère publique. La France est le pays où le principe de laïcité est le plus strict.

États-Unis : D’après la  Constitution de 1787, la religion et l’État sont distincts et séparés. Il n’y a donc pas de religion d’État, même si de nombreux exemples prouvent que la religion est omniprésente dans ce pays

  • par exemple, quand des hommes ou des femmes sont élus à la présidence ou au Congrés, ils doivent prêter serment sur un livre religieux, comme Barack Obama en 2008 lors de son élection avec la Bible ou Keith Ellison, un américain musulman qui a prêté serment sur le Coran lors de son élection à la Chambre des représentants en 2006.

  • De plus, sur les dollars américains  est écrit « In God we trust » référence explicite à la religion chrétienne.

Japon  : Il y a deux principales religions au Japon, le shintoïsme et le bouddhisme, malgré d’autres religions minoritaires comme le christianisme et l’Islam. Les japonais ont « un esprit assez ouvert et tolérant » face aux nombreuses religions présentes sur ce territoire et il n’y a pas de religion d’État.

Irak :  La communauté musulmane est majoritaire, mais des courants spécifiques cohabitent : par exemple, le premier ministre est chiite et le président du parlement est sunnite. Il y a environ 1 million de chrétiens persécutés, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent exercer leur culte librement, d’où une absence de respect du principe de laïcité. 
Groupe autour de Tom Rohard

Le statut de citoyen en France

Qu’est-ce qu’un statut en sociologie ? : c’est la position sociale attendue d’un individu dans un cadre social donné.

  • être un père responsable dans le cadre familial

  • être un enseignant faisant preuve de neutralité dans sa classe…

Le statut de citoyen est donc une position attendue de la part de ceux qui ont la nationalité française : elle suppose de profiter de droits et de respecter des devoirs ainsi que les grandes valeurs au fondement de notre République.

Le respect de ce statut de citoyen est necessaire au vivre-ensemble.

Quelques devoirs :

  • respecter les lois, dont celle sur la laïcité (ne pas imposer sa religion à autrui, ne pas interdire à un citoyen de pratiquer son culte « en privé »…)

  • participer à la défense de la France

  • participer à la dépense publique en payant ses impôts.

Droits civils et libertés

Droits politiques

Droits sociaux

Droits :

  • de se marier
  • d’être propriétaire
  • à la sûreté
  • à l’égalité devant la loi, devant la justice et à l’accès dans les emplois publics.

Libertés :

  • de penser
  • d’opinion
  • d’expression
  • de religion
  • de circulation
  • de réunion
  • d’association
  • de manifestation
  • de voter
  • de se présenter à une élection
  • de concourir à la formation de la loi par la voie des députés
  • droit au travail
  • droit à la Sécurité sociale
  • droit à l’éducation
  • droit de grève

Groupe autour d’Alice Herbault

La spécificité de l’État nation en France et son évolution à travers l’histoire

Le philosophe Ernest Renan énonce à la fin du 19ème siècle son idée de la nation qui deviendra la conception française de la nation.

L’État-nation est un territoire aux frontières délimitées où s’exerce la violence physique légitime (au sens du sociologue Max Weber) sur des citoyens qui partagent des valeurs communes et qui ont le désir de vivre ensemble.

Selon lui, une nation se caractérise par :

– le partage de valeurs communes (démocratie)

– la reconnaissance d’un passé commun (révolution 1789)

– le désir de continuer à vivre ensemble

– la reconnaissance à travers des symboles matériels et immatériels (drapeau, Marseillaise, fête nationale, devise, monuments aux morts…)

– la reconnaissance à travers les institutions (mairie, école, armée…)

La vision de l’État-nation selon Renan n’a pas toujours été observée au cours de l’histoire

    • Au Moyen-Age le territoire est caractérisé par une multitude de seigneuries. Les individus n’ont pas le sentiment d’appartenance à la Nation mais seulement à leurs seigneurs respectifs, ne partagent pas un passé commun et n’ont pas le désir de continuer à vivre ensemble dû aux nombreuses conflictualités entre seigneurs. Il y a une absence de reconnaissance à travers les symboles et institutions car elles sont absentes de la société. De plus les frontières sont floues et évoluent au rythme des conflits durant le Moyen-Age.

    • Pendant la III République l’État-nation se renforce autour de l’école avec les lois de Jules Ferry. Dans chaque école, les symboles de la république sont représentés (Marianne,drapeau), ce qui favorise le sentiment d’appartenance à la République et à la Nation. De plus, l’école renforce la reconnaissance d’un passé commun avec des matières jugées essentielles (histoire, français, morale) et le désir de vivre ensemble avec la valorisation des grandes valeurs de l’État-nation : Liberté, Égalité, Fraternité.

    • Depuis la loi du 9 décembre 1905, la Religion n’est plus reconnue comme une institution influente politiquement.

    • Les caractéristiques de l’État-nation de Renan s’observent encore aujourd’hui dans notre société avec diverses institutions qui valorisent toujours le désir de continuer à vivre ensemble, le partage de valeurs communes (Sécurité sociale, Marseillaise, recueillement suite aux attentats) : les attentats de 2015 ont prouvé qu’une majorité de français se reconnaissent d’ailleurs encore aujourd’hui à travers certains symboles matériels et immatériels de l’Etat-Nation.

Groupe de TES autour de Julie Marchand

L’intérêt de la socialisation, en accord avec le principe de laïcité, afin d’assurer l’intégration et la régulation sociale

Il est important que chacun des citoyens français saisissent et prennent conscience des principes fondamentaux de notre république. Il est de la responsabilité de chacun de les respecter et de les transmettre aux générations à venir. Ces principes construisent l’individu dès son plus jeune âge dans la cadre de la socialisation primaire. Il va donc intérioriser certaines valeurs garantes du bon fonctionnement de la société.

Ces grands principes se retrouvent dans notre devise « liberté, égalité, fraternité » (1er article de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen).
Dans le cadre de la laïcité, chacun est LIBRE de toutes croyances et convictions, LIBRE de penser, LIBRE de s’exprimer, LIBRE de croire ou de ne pas croire sans enfreindre la liberté de l’autre : « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres », tel est le proverbe inspiré de Stuart Mill dans son ouvrage
De La Liberté.


La notion d’égalité est également importante : chacun est l’égal de l’autre quant aux droits, devoirs et lois à respecter. Le premier article de la constitution française présente : « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. »

Enfin, la fraternité repose sur la psychologie de chacun, sur les relations, sur la solidarité des citoyens puis sur le respect afin de vivre dans une certaine harmonie.

Par ailleurs, « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale » (Article premier de la constitution de 1958)

  • En effet, l’indivisibilité de la république repose sur l’idée d’un peuple uni avec ses représentants.

  • La laïcité justement, est appliquée avec la séparation de l’Église et de l’État (loi du 9 décembre 1905). Chacun est libre de pratiquer sa propre religion dans la sphère privée.

  • La démocratie quand à elle prend place dans le cadre du respect des lois pour chacun mais aussi avec le suffrage universel, tous les citoyens majeurs peuvent voter de façon égalitaire et secrète.

Il est nécessaire que chacun intériorise les grands principes de la république, cela favorise l’idée d’unité et de bon fonctionnement de la société. La laïcité est un principe devant être transmis par l’intermédiaire d’institutions aptes à rester neutres, essentiellement l’école. Elle doit être transmise, comprise et intérioriser, sachant que la construction de l’individu par la socialisation dépend de ce que l’on enseigne et de ce que l’on transmet. Il est donc nécessaire de pouvoir transmettre ces valeurs.

Une interrogation sur le lien entre exclusion sociale et violence

L’exclusion sociale peut se définir comme une rupture des liens sociaux, d’où un isolement des individus concernés.

  • Mis à l’écart, n’ayant plus de soutiens, ils perdent peu à peu les repères sociaux qui les maintenaient insérés dans le tissu social.

  • C’est un processus aux multiples facettes, dont la plus courante conduit au chômage durable ou à la destruction du tissu familial et à la perte de logement (théories des sociologues Robert Castel et Serge Paugam)

  • Le chômage, la pauvreté, l’âge, l’absence de diplôme …. constituent des facteurs de précarité qui peuvent conduire à l’exclusion sociale.

Mais l’exclusion sociale ne provoque heureusement pas nécessairement une réaction forte et violente des exclus envers la société. D’ailleurs, les terroristes ne sont pas nécessairement des exclus, il sont avant tout des individus préférant s’attacher à des valeurs reniant la République (marginalisation culturelle) : en témoignent les attentats sanglants de 2015.

  • Ils peuvent être les auteurs d’actes kamikazes en raison d’une lecture détournée de la religion, niant ainsi les fondements de notre République.

  • Ils vont s’inscrire dans ce que le sociologue Emile Durkheim appelle le suicide altruiste : ce suicide s’explique en raison de l’attachement à des règles collectives qui structurent totalement la personnalité.

Groupe autour de Marine Fichet (1ES) et Jeudy Adélaide (TES)

Une approche des symboles et valeurs au fondement de notre République

→ Ces symboles et valeurs ont pour objectif de permettre :

– l’intégration sociale : chacun peut se sentir citoyen et reconnaître les autres eux-mêmes comme citoyens, appartenant à la même nation

– la régulation sociale : chacun va être amené à adopter les comportements attendus par la société, ce qui suppose un attachement aux droits et devoirs valorisés par celle-ci.

Les grands principes fondateurs de notre République favorables à l’intégration et à la régulation sociale sont reconnaissables à travers divers symboles et emblèmes qui se développent notamment à partir d’ une date clé : la Révolution française de 1789.

Voici quelques illustrations :

Le drapeau tricolore (bleu, blanc, rouge): le bleu et le rouge représentent les couleurs de la capitale, Paris. Et le blanc est associé à la royauté.  Il est conforme à l’article 2 de la Constitution de 1958. Il a été dessiné par Jacques-Louis David en 1794 à la demande de la Convention. Aujourd’hui, nous pouvons le voir flotter sur le fronton des institutions comme les mairies, l’Assemblée Nationale, le Sénat, etc.

L’hymne national: il a été écrit et composé par Claude-Joseph Rouget De Lisle en 1792, le titre original de ce chant guerrier est “Chant  de guerre pour l’armée du Rhin”. Sous la troisième république, il prit le nom “La Marseillaise”. Aujourd’hui, la Marseillaise est chantée lors d’hommages, de compétitions sportives, de célébrations, etc.

La devise “Liberté, Egalité, Fraternité”: la notion de liberté s’oppose au pouvoir royal absolu, la notion d’égalité répond à la division de la société en classes sociales tandis que la notion de fraternité renvoie à l’image que tous les citoyens de la nation sont frères. Cette devise est retrouvée en 1848 lors de la Seconde Révolution française donnant naissance à la Deuxième République.

La fête nationale du 14 juillet: Cette fête est liée à la prise de la Bastille au matin du 14 juillet 1789. Sous la Troisième République, cette date est reprise pour célébrer les fondements du régime républicain français. Le 14 juillet, est organisé à Paris le traditionnel défilé militaire sur les Champs-Elysées.

La Marianne: Marianne représente la rébellion citoyenne pour la liberté. Les premières représentations d’une femme portant un bonnet phrygien, symbole de la liberté et de la République, apparaissent sous la Révolution française de 1789. Elle représente symboliquement le peuple, le prénom Marie-Anne était très répandu au XVIIIe siècle. Aujourd’hui Marianne s’affiche notamment sur le timbre.

Le bonnet phrygien: sous la Révolution de 1789, on l’appelle aussi bonnet de la liberté ou bonnet rouge. Il représente les esclaves brisant leur lien et devenant ainsi citoyens.

Le coq: le coq est devenu le symbole du peuple français par un jeu de mots latins sur “gallus”, qui signifie à la fois “gaulois” et “coq”.  A la Renaissance, le gallinacé, symbole religieux d’espoir et de foi au Moyen Age, est associé à l’idée de nation. Depuis la Première Guerre Mondiale, le coq est redevenu un symbole patriotique fort. Il renvoie l’image d’une France aux origines paysannes, fière, opiniâtre et courageuse.  Ce n’est pas un emblème officiel de la République, mais il est dans l’imaginaire collectif. Aujourd’hui, il se retrouve dans les domaines sportifs, de nombreuses fédérations nationales ayant fait de cet animal leur emblème. L’animal a également orné des monnaies, des uniformes et figure toujours sur la grille du Palais de l’Elysée.

Groupe de 1ES : Morin Maxence, Hérault Sonia, Padiolleau Elsa, Ouette Bryan, Etouaria Océanie.

 
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Les 1ES découvrent SciencesPo Poitiers

Publié par srousseau le 11 Mar 2014 dans Le coin des 1ES, Non classé

Un petit groupe de téméraires 1ES ont assisté au cours de l’année scolaire 2013/2014 à différents échanges avec des étudiants du Campus de SciencesPo Poitiers. Voici une photo des élèves devant l’établissement de Poitiers lors de leur dernière sortie de l’année en date du mercredi 12 février.

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Les ES à la découverte d’une classe préparatoire !!!

Publié par srousseau le 12 Jan 2014 dans Le coin des 1ES, Le coin des TES

Chaque année, certains élèves de TES font le choix d’intégrer une classe préparatoire suite à l’obtention de leur baccalauréat. Un lien solide s’est aujourd’hui noué avec la classe préparatoire “économique et commerciale” proposée par l’établissement Aliénor d’Aquitaine de Poitiers. Pendant 2 ans, les élèves peuvent ainsi, grâce à une formation solide, se préparer à l’entrée dans certaines écoles de commerce, ou bien développer de réelles compétences leur permettant notamment d’intégrer avec efficacité une troisième année de licence à l’université.

Voici quelques photos de la visite de cet établissement par nos élèves de 1ES et de TES en date du vendredi 22 novembre 2013.

 

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Lancement du groupe de lecture pour le prix lycéen du livre d’économie et de sciences sociales

Publié par srousseau le 15 Oct 2013 dans Le coin des 1ES, Le coin des TES, Non classé

Ce lundi 14 octobre 2013, s’est constitué un groupe de 10 élèves de la filière ES autour d’un projet de lecture dans le cadre du prix lycéen du livre d’économie et de sciences sociales. Les élèves vont ainsi découvrir les 8 ouvrages sélectionnés par Alternatives économiques et Lien socio, ouvrages qui analysent des thèmes de nature économique et sociale.

A la suite de ces lectures, le groupe prendra part au vote national qui vise à la désignation du lauréat à la mi-mai.

Voici les élèves, heureux comme des économistes qui s’attendent à recevoir le prix nobel :

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Les ouvrages sélectionnés sont les suivants :

Sélection Alternatives Economiques

1 La mystique de la croissance : Comment s’en libérer
Par Dominique Méda
Flammarion, 2013, 265 p., 17 €.
2 En Amazonie Infiltré dans le « meilleur des mondes »
Par Jean-Baptiste Malet
Fayard, 2013, 159 p., 15 €
3 Le destin au berceau : Inégalités et reproduction sociale
Par Camille Peugny
Coll. La République des idées, éd. Seuil, 2013, 117 p., 11,80 €.
4 La dispute des économistes
Par Gilles Raveaud
Ed. Le Bord de l’eau, 2013, 92 p., 8 €.

Sélection Liens Socio / Lectures

5 Marlène Benquet, Encaisser ! Enquête en immersion dans la grande distribution Paris, La Découverte, coll. « Cahiers libres », 2013 Prix : 20,00€

6 Isabelle Coutant, Troubles en psychiatrie. Enquête dans une unité pour adolescents La Dispute, coll. « Corps santé société », 2012  Prix : 22,00€
7 Karim Hammou, Une histoire du rap en France La Découverte, coll. « Cahiers libres », 2012  Prix : 22,00€
8 Mathieu Trachman, Le travail pornographique. Enquête sur la production de fantasmes Paris, La Découverte, coll. « Genre & Sexualité », 2013.

 
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Premier article pour la première

Publié par srousseau le 19 Juin 2012 dans Le coin des 1ES

Les 1ES de l’année 2011/2012 ont testé le nouveau programme de SES.

Celui-ci se trouve à l’adresse suivante : programme de première

 

 

 

 

 

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