A La Rochelle, les habitants et touristes préfèrent se déplacer et flâner à pied, à vélo, en bus qu’en voiture. La Rochelle a développé les moyens de transports moins polluants.

Toutefois, pour les voitures, dans l’hypercentre, la ville a adopté une politique différente suivant le type de véhicules : pour les voitures électriques et hybrides, le stationnement est gratuit, pour les voitures voitures thermiques : le stationnement est payant.

Le stationnement est gratuit pour les voitures hybrides et électriques, car pour la ville de la Rochelle, ces véhicules sont moins polluants.

Pour faciliter le déplacement de la population, un réseau dense de bus existe : le réseau « Yelo bus ». Les bus « yélo » se sont développés pour qu’il y est moins de voitures.

Couplé avec les « Yelo bus », Il y a pleins de stations de vélos « yélo ». (contraction du mot Yellow  jaune en anglais et du mot vélo). C’est beaucoup plus écologique ! On peut emprunter les vélos « yélo » 24h/24 et 7/7.

Il y a 47 stations « yélo » qui sont en service dans les différents quartiers de la Rochelle. C’est gratuit la première demi-heure ! Ce service de location de vélos est mis à disposition des entreprises, de l’université ou d’autres établissements qui souhaitent intégrer le vélo dans leur Plan de Déplacement, ou des personnes qui ne souhaitent pas investir dans un vélo. Les tarifs sont à partir de 2€ par jour sans abonnement.

Pour encourager les citadins à utiliser des transports propres, « Yélo » a organiser un Challenge dont le but est d’utiliser le moins possible sa voiture, et de compter le nombre de kilomètres parcourus. Moins vous utiliserez votre voiture, plus vous aurez de chances de gagner des cadeaux !

Le Challenge de la Mobilité est une initiative de la Communauté d’Agglomération de la Rochelle qui propose aux entreprise, aux associations, aux collectivités et écoles, un défi collective sur le thème des transports alternatifs. L’objective est de réduire l’impact environnementale, et le risque routier des déplacements domiciles-travail et domiciles-école en particuliers.

Le Challenge a commencer le 27 Mai, et se termine aujourd’hui le 8 Juin.

Les organisateurs n’ont plus qu’à compter le nombre de kilomètres économisés, et à remettre les prix aux gagnants. (résultats)

Encore merci aux organisateurs du Clemi pour nous avoir permis de passer une superbe journée ensoleillée dans la ville au couleur jaune.

Charlotte,Lilia et Zora

(Collège Jean Macé 86100 Chatellerault)

Les horticulteurs nous ont demandé un coup de main pour planter des fleurs et couper des branches. Après on est monté dans le camion pour ranger les outils et on est reparti.

Ensuite on est aller voir un manège mais il était en panne, on a poursuivi notre chemin.

On a fait une petite pause goûter car on avait faim.

Et on est rentré dans un magasin et Kellia a remplacé la caissière qui a dû s’ absenter. Thomas a essayer une casquette mais elle était trop grande. Romain et Simon ont voulu essayer des chaussures mais elles étaient trop petites.

On est passé devant la poste et des salariés du bureau de poste manifestaient parce qu’ ils ne veulent pas perdre leur travail. On leur a demandé pourquoi ils manifestaient.

On a voulu rentrer dans l’hôtel de ville pour voir la statue d’Henri IV mais le bâtiment est en travaux à la suite d’un incendie en 2013. A défaut d’avoir vu la statue d’Henri IV, on a vu l’hôtel Henri IV.

On est devant la statue de Jean Guitton. C’est un ancien maire de La Rochelle qui immortalise la résistance héroïque de la cité pendant le siège de la Rochelle par Richelieu en 1628.

On a voulu faire un tour en bateau mais le départ était trop tard.

Nous avons visité la tour de la lanterne, il y avait 160 marches à monter. On a vu deux prisons et dans les autres salles il y avait les gravures sur les murs des prisonniers Les explications étaient écrites en français en anglais et en braille (le langage des aveugles)

Sur le chemin on a rencontré un SDF avec ses deux chiens. On a pu les caresser, et on lui a dit que s’il répondait à nos questions il aurait une surprise et on lui a donné 4€.

On est allé mangé dans un restaurant à proximité.

Ensuite on a rencontré deux personnes et on se demandait comment l’un faisait pour tenir en l’air et l’autre rester assis sans chaise.

Et on est rentré au lycée pour écrire les textes que vous venez de lire…

C’était une bonne journée !

Depuis septembre 2015, le vieux port de La Rochelle est devenu un port piétonnier. Le maire Jean-François Fountaine et sa municipalité (centre-gauche et écologiste) poursuivent la tradition d’exclusion de la voiture du centre-ville et s’inscrivent dans la logique du développement durable (tous les ans depuis la journée sans voiture du 9 septembre 1997) : un pas de plus vers la politique anti-voiture et pro-environnementale.

Le vieux port, paradis des badauds

Cette décision du port piétonnier a suscité de nombreuses réactions, mettant en avant différents points de vue. La mesure ravit les touristes. Quoi de mieux que flâner sous le soleil, longeant le port, sans être importuné par les bruits des véhicules ? Un couple de vacanciers confirme, non sans sourire : ” C’est bien entendu très agréable, tant qu’il fait beau, on préfère être à pied. On est plus tranquille sans les voitures.” Les commerçants dont les locaux longent le vieux port y trouvent aussi leur compte, ainsi que les cafetiers et les terrasses : leur clientèle augmente grâce à l’affluence des piétons. Ils ne sont pas les seuls à voir des avantages dans le port piétonnier : ” quand les touristes arrivent sur le vieux port, ils découvrent un décor de carte postale, avec des terrasses ensoleillées, les tours et une vue dégagée sans voiture.” Malgré l’enthousiasme des touristes et des commerçants du port, une majorité des Rochelais ne voient que l’envers de la carte postale.

Si les avantagés reconnaissent les aspects négatifs évoquant la circulation compliquée de La Rochelle et les bouchons fréquents dans la périphérie (boulevards extérieurs et rocades), les riverains, eux, ne se soucient pas que du côté pratique de l’axe que le vieux port apportait. Ainsi certains riverains comme les vendeurs du magasin de “Mobilboard” sont souvent sollicités pour indiquer des parkings aux touristes. Ils pensent également que le vieux port devrait être ouvert aux voitures au moins la semaine. En fermant le vieux port, la municipalité oblige toutes les personnes à faire le tour de La Rochelle entraînant ainsi d’importants embouteillages. Nous avons interviewé une Rochelaise particulièrement mécontente et agacée, à fleur de peau au vu de la situation. Gégène, dont nous avons retranscrit les propos virulents : cette décision de rendre le port piétonnier était une “grossière erreur, de la part du maire, ça lui sera fatal pour les prochaines élections : il ne sera pas réélu, c’est sur”. Elle ajoute aussitôt : “en semaine, je veux bien que le port soit fermé aux voitures, mais le week-end ça n’a aucun intérêt”. Plus tard, nous avons rencontré Grand Fred à la terrasse d’un café du vieux port parmi les touristes. Ce dernier, contrairement à Gégène, est plutôt mitigé sur le sujet : “Je ne pense pas qu’ouvrir le port en semaine seulement soit vraiment utile. Par contre, il serait intéressant de laisser le port aux touristes pendant la haute saison et de l’ouvrir à la circulation le reste de l’année”.  Grand Fred soulève aussi une question importante : “La municipalité fait tout ici pour rendre difficile la circulation en voiture et promouvoir l’éco-mobilité [Yélo, entreprise gérante ndlr]”.

Compagnie Yélo, omniprésente à La Rochelle

En effet, l’omniprésence des vélos, des bus, et des voitures électriques interpelle les promeneurs dans les rues de La Rochelle. Il rajoute : “les gens sont-ils prêts à prendre les transports en commun ?”. Il y a un véritable conflit d’usage à la Rochelle entre tourisme, commerce local et enjeux de la politique locale : l’éco-mobilité et le développement durable.

Le changement de situation au vieux port, entrainant des embouteillages en périphérie, génère des effets contraires aux volontés d’écologie de la municipalité. La pollution se déplace vers les quartiers périphériques, principalement utilisés par les riverains. Finalement, toutes les ruelles mènent au port.

Matthieu D., Juliette R., Fabien M., Justine C., Lea P.
avec l’aide appuyée de M. Leturcq et de Mme Mérinis

Rubrique : Loisirs et Gourmandises !

Avec l’arrivée du soleil et de la chaleur à La Rochelle, les artisans glaciers ouvrent leurs portes et la concurrence commence à se faire ressentir…                                                     Notre équipe de journalistes a pu aller à la rencontre des principales adresses de glaciers…

Le quartier du port, où se trouvent de nombreux glaciers

Parmi les nombreux glaciers de La Rochelle, Ernest arrive à se démarquer des autres. Il propose plus d’une vingtaine de parfums originaux et variés.                                           Que diriez vous d’un grand cornet “kouign amann”, “cannelé” et “bière-citron” à 4,80€, testé et approuvé par une de nos journalistes!  Pour les gourmands si trois boules ne vous suffisent pas, jusqu’à 10  est possible pour seulement 11€, alors qu’une boule est à 3,20€.

Marie, une habitante de La Rochelle, nous apprend : ” Je viens ici tous les jours de beau temps, pour remplir mon objectif de réussir à goûter tous les parfums de l’année”. Car en effet, Ernest invente chaque année de nombreux parfums pour satisfaire, depuis 1999, sa fidèle clientèle.

Rendez-vous alors 16 rue du port ou 48 cours des dames à La Rochelle.

Notre équipe et nos deux accompagnatrices devant la vitrine d’Ernest, rue du port

Pour garder la ligne

Comme pour concurrencer ce grand maître glacier local, Llaollao, une grande chaîne mondiale, à ouvert ses portes juste en face en 2015.                                                              Marion nous explique : “Nous créons à votre demande un yaourt glacé diététique que vous pouvez agrémenter de fruits, de nappages, de coulis, de crumble, tout cela pour seulement 4€.”

De plus, le décor vert et blanc pose un cadre reposant, zen et proche de la nature.

En vert et blanc chez Llaollao

En s’éloignant du port…

Où trouver une bonne glace ? Pour cela, allez 12 rue du chaudrier et demandez Julia, elle vous accueillera. Vous trouverez chez D’Jolly, installé depuis 1996 à La Rochelle, des parfums plutôt classiques mais artisanaux.                                                                            Et goûtez leur propre création, la glace “angevine” composée de cointreau, d’écorces d’orange et de pépites de chocolat.

C’est ici qu’on s’arrête pour déguster

Et les turbines dans tout ça ?

Chez Entre 2, quai du Gabut, Stéphanie décrit sa technique de fabrication artisanale:         Tous les produits, dont les purées de fruits, proviennent de France et sont ensuite transformés à l’arrière de la boutique en glaces et en sorbets. Les différents ingrédients sont mélangés dans des turbines, puis ensuite réfrigérés à -35°C.                                        Pour finir, les glaces sont stockées dans des chambres froides ou en vitrine à -19°C. Il ne vous reste plus qu’à les déguster au prix très raisonnable de 2,50 € en vous baladant dans les quartiers du Gabut, où vous pourrez admirer des maisons de bois et de beaux murs peints.

Léa, Pauline, Quitterie et le street art du Gabut

Article réalisé par Léa, Quitterie, Pauline et Jacob du collège A.Delafont.