Meilleurs vœux à tous les lecteurs et commentateurs qui font vivre ce blog ainsi qu’à tous les participants, encadrants et élèves, qui font du prix Minami Manga un succès grandissant à chaque édition.
Merci à tous !
Les chiffres du blog Minami pour ses premiers mois d’existence sur WordPress.
NB. N’oubliez pas qu’il vous reste quelques semaines pour collecter et envoyer les affiches réalisées par vos élèves pour le concours 2015 (jusqu’au vendredi 13 février).
de Natsuki Takaya, éditions Delcourt, 2009.
Genre : shôjo.
Sakuya ne vit pas avec ses parents mais avec son cousin Kanade. Ils vivent en dehors de la ville près de la mer. L’activité préférée de Sakuya est de regarder les étoiles, surtout quand elle est triste. Avec Sei, sa meilleure amie et d’autres amis elle anime un club d’observation des étoiles. En rentrant chez elle le jour de ses dix-huit ans, Sakuya est surprise de découvrir un jeune homme, Chihiro. Chihiro partage leur repas et lui offre une robe. Sakuya pense que Kanade l’a invité pour son anniversaire mais en réalité il ne le connaît pas.
Sakuya, intriguée, veut savoir qui est ce mystérieux jeune homme et se met à le chercher partout …..
Un shôjo par l’auteur de la célèbre série Fruits Basket.
Qu’avez-vous pensé de ce titre ?
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de Yukai Asada, éditions Glénat, 2013.
Genre : seinen
Passionné de musique rock, c’est seul dans sa chambre que Gaku a fondé son groupe fictif, Charlie. Rapidement, les morceaux qu’il poste sur Internet rencontrent un succès grandissant. La supercherie de Gaku ne saurait tenir encore bien longtemps car les internautes fans du groupe en veulent toujours plus. C’est alors que Gaku rencontre Shina, une joueuse de batterie qui le démasque rapidement et qui lui propose de fonder un véritable groupe : Gaku commence par refuser…
Une plongée dans l’univers de la musique actuelle et un hommage à la créativité des années Woodstock.
Qu’avez-vous pensé de ce titre ?
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de Kaoru Mori, Editions Ki-oon, 2009.
Genre : seinen
Le premier tome de la série Bride stories, qui compte 6 volumes aujourd’hui, nous emmène en Asie centrale au 19e siècle. Dans de magnifiques décors de steppe, l’auteure nous fait partager les débuts de la vie conjugale de la belle Amir Hargal, 20 ans, et de son tout jeune mari, Karluk Eyhon, 12 ans. Amir, par son mariage, entre dans la famille de Karluk qui la considère vite comme sa propre fille. De caractère facile et enjoué, elle adopte aisément le mode de vie de sa belle-famille, entre nomadisme et sédentarité, mais étonne aussi par ses propres habitudes, comme celle de chasser le lièvre à cheval avec l’arc qui fait partie de son trousseau. Bref, le nouvelle vie d’Amir s’annonce heureuse jusqu’au jour où sa famille veut la récupérer pour la marier mieux et ailleurs, le tout sous le regard d’un jeune chercheur en ethnologie britannique …
Le plaisir de lecture de ce manga est accru par la grande richesse et l’extrême délicatesse du dessin qui rend bien la magnificence des tissus et autres tapis d’orient !
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de Hitoshi Iwaaki, Editions Komikku, 2014.
Genre : seinen
216 avant JC, deuxième guerre punique : la bataille de Cannes, en Italie, entre Rome et Carthage, consacre enfin la domination du général Hannibal sur la Méditerranée. Il s’est imposé au nord par une alliance avec les celtes, à l’ouest par une alliance avec les Ibères et à l’est par une nouvelle alliance avec les Macédoniens. Afin de dominer aussi le sud, il promet aux Syracusains de libérer la Sicile de la domination des Romains. C’est à Syracuse justement que vit le grand savant grec Archimède : il a conçu et fabriqué de redoutables machines de guerre qui vont donner du fil à retordre au général romain Marcellus envoyé faire le siège de Syracuse. Ce manga historique au dessin très clair glorifie le personnage d’Archimède et pose la question du rôle du progrès technique et de la science dans la destinée des peuples.
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de Shigeru Mizuki, éditions Cornélius, 2007.
Genre : shônen
Connaissez-vous Kitaro le repoussant, enfant monstrueux né d’une famille de morts-vivants ? C’est Shigeru Mizuki qui imagine dans les années 1960 ce personnage très particulier que tous les enfants nippons adorent. Borgne, accompagné de son père qui n’est plus qu’un oeil sur pieds, Kitaro protège les humains des Yokaï, ces êtres imaginaires traditionnels des contes japonais, tantôt bienfaisants, tantôt malfaisants. Dans ce tome 1, découvrez l’incroyable naissance de Kitaro et ses premières aventures dans le monde des monstres et autres zombies ou vampires et … yokaï.
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de Akio Tanaka, éditions Glénat, 2004.
Genre : seinen
C’est porté par un dauphin que Cisse a été recueilli alors qu’il n’était encore qu’un bébé. Fasciné par la mer, il décide de devenir plongeur en apnée. Grâce aux conseils et à l’entraînement de Claude, un ancien champion à la retraite, il participe au championnat du monde de la discipline. Ses extraordinaires aptitudes interpellent également Haruka, une jeune scientifique qui étudie la physiologie des plongeurs et qui espère percer le secret de Cisse “l’homme-dauphin”.
Porté par un dessin épuré, ce manga poétique et parfois contemplatif ravira les fans de la mer. L’auteur reconnait évidemment avoir été largement inspiré par le Grand Bleu de Luc Besson et le personnage mythique de Jacques Mayol.
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de Haruichi Furudate, éditions Kaze Manga, 2014.
Genre : shônen
Résumé : Malgré sa petite taille, Sho est un garçon plein d’énergie qui se donne à fond dans le sport qu’il aime : le volley-ball. Son atout principal est une détente phénoménale. Il a pour modèle un autre volleyeur de petite taille :« Le Petit Géant », mythique No 10 du Lycée Corbeau qui tutoya les sommets des tournois nationaux. C’est d’ailleurs dans ce même lycée que Sho s’inscrit, comme pour marcher sur les traces de son idole. Mais arrivé à la section volley, il tombe sur une autre nouvelle recrue ambitieuse : Tobio, un joueur aussi arrogant que talentueux. Les deux garçons entrent naturellement dans une rageuse compétition mais ils devront avant tout relever le club de volley de l’établissement Corbeau, déchue de son rang de champion au point d’avoir été baptisé le « lycée sans ailes »…
Un manga rebondissant recommandé par la Fédération Française de Vollley-Ball (FFVB).
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de Chûya Koyama, éditions Pika, 2013.
Genre : seinen
Résumé : Hibito Mamba est une star au Japon. Il est le premier japonais à avoir été sélectionné pour une mission lunaire et aussi un des plus jeunes astronautes de l’histoire. Mutta, son grand frère, observe l’ascension de son cadet avec fierté et tendresse, mais aussi avec une pointe d’envie. Lui aussi rêvait de devenir astronaute lorsqu’il était gamin ! Mais le voilà au chômage, après avoir agressé un supérieur. Il décide alors de se lancer dans le marathon des examens de sélection des candidats à la prestigieuse JAXA, la NASA japonaise. Les frères vont-ils réussir à partager leur rêve d’enfance ?
Les commentaires de Babelio.
Titre phare au Japon, Space Brothers à remporté de nombreux prix et a été adapté en série animée ( voir la critique d’animehebdo.fr). Centré sur le sentiment fraternel et la psychologie des différents personnages, Space Brothers est plus qu’un manga sur la conquête spatiale.
La version française du manga est soutenue par le Centre National d’Études Spatiales ( CNES) qui reconnait son caractère très réaliste et documenté malgré la pointe de science-fiction : l’action se déroule dans un futur proche.
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De Tsugumi Ohba (scénario) et Takeshi Obata (illustration), Editions Kana, 2013.
Genre : shônen
Résumé : Moritaka, un collégien doué en dessin, oublie en classe son agenda. Akito, qui le retrouve, admire les dessins de ce Moritaka et lui demande de dessiner pour lui un manga dont il serait le scénariste. Moritaka n’est pas emballé car devenir un véritable mangaka est très ardu et épuisant, il a même un oncle mort de surmenage. Mais Akito, exubérant et sûr de lui, fait tout pour le convaincre. Finalement c’est par amour pour la belle Azuki que Moritaka relève le défi. Ils se lancent dans la création en espérant être les plus jeunes mangaka jamais publiés.
Analyse : Ce manga nous dévoile toutes les coulisses de l’écriture et de la publication des manga aux japons ! Un univers à découvrir : les titres sortent non pas en volume comme nous les lisons en France, mais petits bouts par petits bouts dans les mangashi (magazines des prépublications), c’est un peu le même principe que les comics américains.
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