LA MINE DE CHARBON A BIG PIT
Ce matin nous sommes allés à la mine de charbon « Big Pit » qui se situe au Pays de Galles. Nous nous sommes équipés de casque, de lampe et de masque de protection contre les gaz puis nous sommes descendus sous terre à environ 90 mètres. Nous avons observé le charbon qui avait été pioché par des enfants ou des hommes. Puis nous avons vu les box des chevaux, le système de cloche qui permettait de faire circuler les wagons. Dans la mine l’humidité se fait énormément sentir.. Il fait très froid ce qui prouve les conditions extrêmes dans lesquelles étaient exploités les mineurs.
Marceau, Kaya, Thomas
Visiting Big Pit
Today, we went to the National Coal museum in Big Pit,South Wales .On our way to the museum, we saw a lot of horses and sheep. They were free on the side of the road.
We visited the old mine, the guide was very nice, he spoke slowly and explained very well.The mine was opened in 1880 and closed in 1980.
There were also children (as young as six years old ) working there . They could work until fourteen hours a day, six days a week and women worked too.
The guide told us that a lot of explosions happened in Wales, the most important was at Senghenadd in 1913, and 439 miners died.
We went to the old miners lockers to eat our pack-lunches prepared by the host families.
Then we went back to the bus to draw the front of the museum and we took a group picture.
Justine Weber and Amance Garel
Visite du musée de l’habitat traditionnel à Saint FAGANS
A l’école, les filles et les garçons se retrouvaient dans la même salle de classe mais étaient séparés. Les élèves s’asseyaient devant leur professeur, derrière leur pupitre. Lorsque le professeur faisait son cours et demandait à un élève de répéter quelque chose, si cet élève ne savait pas, il avait des coups de canne sur les mains pour lui apprendre à être attentif.
Les élèves qui parlaient gaélique, on leur interdisait de parler dans leur langue, on les obligeait à parler anglais. S’ils parlaient gaélique, ils devaient porter un collier avec un morceau de bois sur lequel était gravé NW (No Welsh). Dès que le porteur entendait un autre élève parler sa langue maternelle, il lui donnait le collier. A la fin de la journée, c’est celui qui avait le collier qui prenait un coup de canne.
Breiner