Le 21/01, deux éducatrices à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) sont venues parler aux classes de quatrième de leur métier et de notre justice.
La justice des mineurs est appelée le code 13-18 en raison de l’âge. Pour les jeunes, les peines sont divisées par deux.
Dans les sanctions, il y a une échelle de gravité :
– les contraventions (stationnement gênant) qui est payée par une amende,
– les délits (vole de voiture) conduisent a un tribunal correctionnel,
– les crimes (homicides, viole) conduisent a une cour d’assise avec un jury.
Un jeune ayant commis une infraction est d’abord obligé de prendre un avocat et va potentiellement voir une éducatrice. L’éducatrice suit le jeune, lui donne des conseils et s’assure qu’il ne recommence plus. Au moment du procès, l’éducatrice/eur de l’adolescent, son avocat, le juge, le greffier, la victime et son avocat sont présents.
Un jeu pour comprendre.
Dans la deuxième partie de l’intervention, les éducatrices nous ont distribué deux cartes avec sur une d’elle un crime au hasard et derrière il y avait une mise en situation par rapport aux crimes. Un procureur a été choisi parmis les classes. Quand un élève lisait sa carte, le procureur lisait la peine encourue.
