« La samaritaine » est un chant traditionnel pour les cycles 1.
L’outil qui vous est proposé se compose :
– d’une partition et des paroles avec un code couleur pour vous permettre d’accompagner le chant avec le corps, des claves, un métallophone, des boomwhackers, un ukulélé, une guitare…
“5 mésanges vertes” est une comptine pour les cycles 1.
L’outil qui vous est proposé se compose :
– d’une partition et des paroles avec un code couleur pour vous permettre d’accompagner le chant avec des claves, un métallophone, des boomwhackers, une sanza, un ukulélé, une guitare…
La fabrique à chansons de David Sire, école de Genouillac (circonscription de Confolens), Olivier Bourchenin, un projet financé par la SACEM et porté par la Nef à Angoulême.
CTEAC GrandAngoulême, atelier d’écriture avec Lhomé, CM1-CM2, école Jean Monnet à Soyaux, Marie Tribot
La fabrique à chansons de Telegram, école de Gourville (circonscription Nord), Célina Geoffroy,
un projet financé par la SACEM et porté par la Palène à Rouillac.
Vous trouverez dans les dossiers suivants des chants traditionnels et des comptines à destination des cycles 1. Chaque fichier se compose d’un enregistrement audio, d’un instrumental et d’un tuto pour travailler la notion “d’arrangements”.
Outil en construction…
En amont, pour vous accompagner dans l’utilisation au quotidien des chants et comptines des documents rédigés par la commission maternelle de la Charente :
Ce texte de Daniel Reynaud, écriturier de Barbezieux, a été mis en musique par Christophe Berton, musicien du sud Charente. Durant le confinement (1) des musiciens d’horizons divers, professionnels, amateurs, ont imaginé différentes versions, pour les petits, les grands, avec accompagnement instrumental, a cappella, avec des percussions corporelles, des objets du quotidien…
N’hésitez pas à nous proposer vos interprétations !
Version 2 : métallophone-voix, un accompagnement pour les classes “maternelle” avec 3 lames (ré, sol, la)
“Roitelet”, métallophone-voix
Version 3 : LA version du compositeur ! Christophe Berton, musicien professionnel, guitariste, chef de chœur, membre des groupes “Les Grigoux”, “Vox Populi”…
“Roitelet”, version originale
Version 4 : Ambroise Yon, musicien atypique, joueur de tablas et “bidouilleur” de sons, intervient régulièrement dans les écoles de Charente
Version 5 : école de Genouillac, Olivier Bourchenin
Version 6 : Laurent Didier, conseiller pédagogique EPS, violoniste, accordéoniste amateur et Titouan Didier, collégien professionnel, trompettiste
Version 7 : Anael Tribot, guitares, basse, batterie, synthétiseur, voix…
Version 11 : Sophie Reboul-Pias, professeur des écoles, membre du groupe Cafféine Magic Store
“Roitelet”, cup song
Version 12 : Geoffroy Dudouit, chanteur professionnel, compositeur, chef de chœur du “Chœur départemental”, membre de “YOD”…
Version 13 : Céline Castaño, musicienne professionnelle, cheffe de chœur de l’ensemble “Icilaba” de Saintes, auteure, compositrice, interprète…
“Roitelet”, Céline Castaño
Version 14 : Julien Birot, musicien professionnel, auteur, compositeur, interprète, guitariste… membre de Captain Parade, JULIÁN Cosmic Light
Instrumental
Voix seule
Grille
Version 15 : Vladimir Vukorep, professeur d’éducation musicale des CHAM d’Angoulême.
+ instrumental
Version 16 : Louis, 2 ans et demi…
Version 17 : Anne Foucher, professeur des écoles en ULIS, ancienne CPEM de la Charente… voix, violon, électroacoustique…
Version 18 : Stéphane Grosjean, musicien professionnel, percussionniste, batteur et directeur artistique de la Compagnie TOUMBACK, spécialiste des percussions corporelles et vocales, auteur des méthodes “Toumback”.
Les percussions corporelles sont inclues dans la vie de classe, pratiquées sous forme de rituel elles sont un outil au service du climat scolaire et des apprentissages. Continuer à lire
L’accumulation est un système d’organisation sonore consistant en une superposition simultanée progressive d’évènements sonores.
Le crescendo indique qu’il faut augmenter graduellement l’intensité d’un son : jouer de plus en plus fort.
Le decrescendo indique qu’il faut diminuer progressivement l’intensité d’un son : jouer de moins en moins fort.
La forme c’est la structure de l’œuvre.
L’homorythmie est une superposition de rythmes identiques.
L’intensité c’est le degré de puissance du son (fort- faible).
Une introduction est une partie qui ouvre un mouvement, une pièce, un morceau.
Une nuance indique l’intensité relative d’une note, d’une phrase, ou encore d’un passage entier d’une œuvre musicale : « f » = forte = fort ; « mf » = mezzo forte = moyennement fort ; « p » = piano = faible.
L’ostinato est un procédé de composition musicale consistant à répéter obstinément une formule rythmique, mélodique ou harmonique.
La polyrythmie est une superposition de rythmes différents.
On appelle pulsation l’accent intervenant de manière cyclique au début de chaque temps. La régularité de la pulsation garantit un certain tempo.
Le rythme est ce qui détermine la durée des notes les unes par rapport aux autres.
Le soliste est un interprète qui assure seul l’exécution d’une partie musicale dans un ensemble ou de manière isolée.
Le tempo c’est la vitesse d’exécution d’une œuvre musicale.
Le tutti désigne un passage où tous les instruments de l’orchestre jouent ensemble.
Acquérir le vocabulaire spécifique aux percussions corporelles, les zones d’accroches, référence aux travaux de Micheline Cellier :