Logiciel de simulation SinusPhy en Sciences de l’Ingénieur

SinusPhy est un logiciel de Simulation Numérique des Systèmes Multiphysique.

C’est un logiciel développé par Atemi et commercialisé par Cadware depuis novembre 2011. Atemi édite aussi le logiciel Meca3D.

SinusPhy concurrence Matlab et Simulink en proposant une solution nettement moins chère dont l’ergonomie a été pensée pour une utilisation au Lycée (SI et STI2D).

Vous trouverez d’autres articles sur mes modélisations et simulations avec SinusPhy.

La page de présentation de SinusPhy par Atemi.

Les ressources sur SinusPhy proposées par Cadware.

SinusPhy (source : atemi.pagesperso-orange.fr)

 

Borne réglable

Nous allons analyser la transmission de mouvement à la borne réglable.

Le fonctionnement: En début de chaine nous avons le vis en mouvement (=relation) autour de l’axe X, cela entraine la transition de la cale sur l’axe X qui entraine la translation de la borne sur l’axe Y. Nous avons ici un mouvent de rotation qui se transforme en rotation.

La course: à partir des images ci-dessus vous pouvez voir comment nous avons calculé le déplacement maximal. Il ‘agit du mode mesure sur Solidworks qui nous trouve la distance entre deux faces.

Le maximum est de 54.02mm et le minimum 44.46mm, nous avons donc une course de 9.56mm. Nous pouvons donc conclure par dire que la borne réglable permet de régler la hauteur d’un objet placé dessus d’une hauteur de 9.56mm.

Analyse de la transmission de mouvement à la borne réglabe

 

Au début, il y a la vis moletée qui a une rotation d’axe x et qui a une liaison hélicoïdale avec la cale pentée. Cette liaison transforme donc la rotation en translation.

 

J’ai calculé 2 distances entre la borne réglabe et le support de la cale pentée, quand la distance est maximal (image 1) et minimal (image 2).

Cela ma donc donné 48,80-37,37=11,53mm.

Du coup, comme ma course est égale au déplacement maximun, ma course est égale a 11, mm.

Distributeur de dominos

Transmission du mouvement depuis le moteur jusqu’au poussoir

Au début de la chaîne, on trouve l’axe moteur qui effectue une rotation d’axe y. Une vis motrice est fixée à celui-ci, et celle-ci entraîne une roue dentée qui tourne sur l’axe z. Le mouvement sera ensuite transmis par 5 autres roues dentées d’axe z (mais de caractéristiques différentes) jusqu’à une roue excentrique. Cette roue entraînera une bielle qui entraînera ensuite le poussoir.

Course du poussoir

La course du poussoir s’étend entre deux points, lorsque l’excentrique de la roue excentrique est le plus à droite possible et lorsqu’elle est le plus à gauche possible :

Grâce à des mesures réalisées sur une maquette numérique avec le logiciel Solidworks, Nous avons pu mesurer que la course était de 12,99 mm.

 

 

Les risques et les sécurités concernant le mouvement du couvercle du bol.

Dans cet article je vais vous présenter les risques autour du malaxeur, des sécurités ainsi que des solutions techniques qui ont été adoptées par les concepteurs du système:

1.Les risques pour l’utilisateur:

Lors de la fermeture du couvercle la main de l’utilisateur peut rester coincer, or lors de test effectués le moteur n’as pas assez de puissance pour écraser la main.

Deux hypothèses: Soit le moteur n’est pas assez puissant soit il est bridé pour fournir la puissance nécessaire uniquement pour bouger le couvercle. Il n’y a pas ce capteur qui permette de savoir si un obstacle est présent

Lors de la maintenance, le pale pourrait se mettre à tourner et donc blesser l’utilisateur, pour empêcher cela le constructeur à fait en sorte que la pale puisse tourner uniquement si le couvercle est fermé.

 

2.Les risques pour le matériel:

Lors de l’ouverture du couvercle, la pale peut endommager le bol si elle est mal positionnée: solution technologique: Un capteur est positionné au niveau de l’axe de la pale pour contrôler sa position.

De même que pour l’utilisateur, si le couvercle lors de la fermeture( ou l’ouverture) continuait  d’avancer il écraserait le bol si le couple du moteur est suffisant, comme solution technologique on retrouve des capteur fin de course en haut et en bas , FDCH et FDCB. qui envoient l’information au moteur de se couper par l’intermédiaire de la chaîne d’information.

Photographie qui montre les différents capteurs mentionnés dans l’artcile
~Photo LP2I