Prix JMJE 2024 : lecture chorale

Les élèves de l’option HLP en terminale ont participé cette année au Prix Jean Monnet des jeunes Européens. Plusieurs d’entre eux ont enregistré une lecture à plusieurs voix d’un extrait du roman de Julia Colin, Avant la forêt. (Pages 158-160).

Les écouter c’est écouter les multiples voix de la nature, qui parle dans ce récit afin de retrouver sa place dans un monde détruit par les humains.

“Face caméra” : Galien Sarde

Les élèves de 1ère CAV (Cinéma Audiovisuel) ont l’honneur de vous présenter un écrivain de Cognac : Galien Sarde, auteur publié aux Éditions Fables Fertiles. 
Pour cette première présentation d’une personnalité littéraire, nous avons choisi de mettre en lumière cet auteur de 48 ans, originaire de Blois. En plus d’être écrivain, il est aussi professeur de français au lycée Jean Monnet de Cognac, où il inspire quotidiennement ses élèves avec sa passion pour la langue et la littérature.
Ses œuvres, publiées par les Éditions Fables Fertiles, sont reconnues pour leur profondeur et leur engagement dans une réflexion sur la société contemporaine. Galien Sarde explore souvent des thèmes tels que l’identité, la mémoire et les liens humains dans ses récits.
En tant que créateur, son parcours et ses œuvres sont un bel exemple pour les jeunes auteurs en herbe, montrant comment l’écriture peut servir à la fois d’exutoire et de miroir sur le monde.
Atelier CAV. Réalisation Chloé Marchal, 1ère CAV

“Face Caméra” : Pascal Simon

Voici la première vidéo de la série “Face caméra”.

Pascal Simon, journaliste à France 3, présente son métier : ses tournages, son premier reportage, ses pires expériences, les sujets qui l’ont touché, ses meilleures rencontres, les études qui mènent à son métier, la question de l’objectivité.

Montage : Chloé Marchal

Un projet mené avec les élèves de l’option CAV et M. Selleret,  professeur d’arts appliqués et de cinéma audiovisuel. – LJM – 2024

Des contes en espagnol contre les stéréotypes

Au cours de l’année scolaire 2023-2024, des élèves de Première ont étudié la transmission des stéréotypes de genre dans les contes et leur modernisation dans le cadre d’une séquence en cours d’Espagnol. Leur projet final était d’écrire un conte qui rompe ces stéréotypes. Voici quelques-unes de leurs productions.

Bonne lecture à vous !

Marine Bussière, professeur d’espagnol


La niña que tenia acné

Erase una vez, una chica que se llamaba Heliosa y que caminaba en un bosque con la meta de recoger flores para su madre que se llamaba Arthurosa.

De repente, vio una rana que rosa con ojos multicolores y una lengua azul porque comía muchos Pitufos. La chica recordó que tenia que besar la rana para que ella se transformase en un príncipe azul. Pero cuando la beso, la rana no se se transformo en príncipe azul súper guapo sino que le dio muchos granos… Cuando se dio cuenta del aspecto de su cabeza, gritó tan fuerte que todos los animales huyeron del bosque ! Se fue al palacio de Cenicienta para pedirle consejos contra esta maldición. Ella le dijo que encontrara a un mago que en el bosque peligroso, pero había muchos obstáculos en el camino. Al final del bosque se encontraba una pequeña casa. Cuando la niña entró, un duende travieso que se llamaba Emmo la empujo en un tobogán que la condujo en una habitación secreta donde estaba el mago. Pero el mago no podía curarla y le dijo que lo único que podría romper el hechizo era un beso de amor sincero de un caballero.

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Tous à la librairie !

De notre envoyée spéciale, Camille R., 2nde5, LJM 2023-2024

Pour débuter cette nouvelle année, la classe de seconde 5 du lycée Jean Monnet de Cognac a participé à un dispositif d’éducation culturelle nommé ‘Jeunes en librairie’. Il permet de dévoiler aux élèves de collèges, lycées généraux et professionnels, le monde de la librairie indépendante et de la chaîne du livre.

Mardi 30 janvier 2024, accompagnés de la professeure documentaliste, Valérie Boutrois, et de leur professeure de français, Laure Auguin, les élèves férus de curiosité avancent d’un pas vif vers la librairie Le Texte Libre. Cette boutique, située au cœur de la ville de Cognac, reconnaissable par sa belle vitrine, regorge de livres, albums, bandes-dessinés, ou encore de mangas.

A leur arrivée, ils font la connaissance de deux libraires, ….. et ……. certains d’entre eux, qui n’ont jamais pénétré dans ce genre d’endroit, découvrent un autre univers, et nous pouvons même voir une sorte d’exaltation dans leurs regards.

Dans un premier temps, les élèves explorent tous les recoins de la librairie afin de trouver quelques livres qui leur correspondent le mieux. Pour cela, un chèque de 30 euros est à leur disposition, offert par leur lycée, la région Nouvelle-Aquitaine et le département de la Charente.

Dans un second temps, les élèves ont un échange avec une libraire. Elle évoque la chaîne du livre et le métier qu’elle exerce. La profession de libraire est un travail assez physique avec le déchargement des livraisons, et c’est ensuite basé sur l’esthétique avec la disposition des livres sur les tables, les rayonnages et dans les vitrines.

En image sur le compte Instagram du CDI

La chaîne du livre

La chaîne du livre est chronologique. C’est-à-dire qu’il y a un point de départ et un point de fin pour la fabrication d’un livre, entre lesquels les étapes s’enchaînent les unes après les autres. Tout d’abord, pour qu’un livre existe, il faut un(e) auteur(rice), c’est l’étape de création. Continuer la lecture de « Tous à la librairie ! »

Prix JMJE 2023 : rencontre avec Joseph Incardona

Jeudi 9 novembre 2023, les élèves de terminale HLP, engagés dans le Prix Jean Monnet des jeunes Européens, rencontrent au lycée l’auteur Joseph Incardona, en lice avec son roman Les Corps solides.

Voici comment Clara a choisi de partager ce temps d’écoute et d’échange :

Qui est Joseph Incardona ?

Joseph Incardona, âgé de 54 ans est mi-suisse, mi-italien. Il maitrise bien le français car il a notamment passé 5 ans à Bordeaux. Lors de la rencontre, il a parlé de son éducation et de ce à quoi il pensait lorsque lui-même était en terminale. Il explique qu’il n’avait pas la moindre idée de ce qu’il voulait faire plus tard ; alors il est parti à Sciences Po pour faire des études de journalisme. Il se voyait grand reporter, mais comme il travaillait dans des petits bourgs où il ne se passait jamais grand-chose, il a commencé à écrire des histoires fictives pour alimenter ses articles. Après un temps, son patron est venu le voir et lui a dit : « vous feriez mieux d’aller écrire des romans plutôt que d’être là ! »,  et c’est ce qu’il a fait. C’est à partir de là que son aventure en tant qu’auteur a commencé. Des souvenirs remontèrent dans sa famille, lui apprenant qu’il écrivait des BD quand il était enfant. Cependant, il avoue avoir failli abandonner le projet d’être écrivain, car pendant cinq à six ans, les éditeurs lui renvoyaient ses manuscrits et ses proches lui disaient d’abandonner. Mais il ne put se résoudre à arrêter d’écrire car dit-il,  « je suis ravi d’aller écrire comme un enfant d’aller jouer ». Et c’est grâce à sa persistance que paraît son premier livre, Le cul entre deux chaises, puis Une saison en enfer. Il ajoute que lorsqu’il écrit, il ne fait aucun plan, car il faut qu’il se surprenne pour garder la magie de l’écriture.

Un écrivain est avant tout un lecteur

Il nous parle aussi de la lecture, qu’il trouve tout aussi importante, car un écrivain est aussi et avant tout un lecteur. Il ajoute que l’important est de trouver des écrivains qui nous font écho, que ce soit par leur style d’écriture, leurs idéaux et bien d’autres choses. Il nous parle de son roman, Les Corps Solides, qui n’a pas eu la chance d’être l’heureux vainqueur du Prix Jean Monnet des jeunes Européens 2023. Ce roman sur la dignité où Léo et Anna sont les protagonistes que nous suivons est particulièrement vibrant. Joseph utilise un proverbe pour qualifié Léo : « l’enfer est pavé de bonnes intentions », et cela parce qu’il tente d’aider sa mère mais que, sans s’en rendre compte, il complique encore plus les choses. Cette relation sincère entre le fils et la mère ramène de l’humanité dans ce bas monde.

Mentir pour dire le vrai

“Un livre est un moment de notre vie » explique Joseph. « Avec le recul on peut regretter comment ça a été fait, comment ça s’est terminé, mais cela est aussi dû au fait que ce n’était pas la même époque, que nous étions différent à ce moment là. »

L’écriture, c’est du travail, chaque auteur à sa propre manière de faire, il la qualifie notamment de “vocation, nécessité, raison d’être”, et cela parce que l’écriture, qui peut devenir l’histoire, est une vision du monde, un style, une musique. Chaque livre et chaque histoire doivent être écrits de manière différente, c’est une façon de se renouveler. Joseph utilise une métaphore pour l’expliquer : « dans le monde, il y a des romans Big Mac, les mêmes partout, que l’on change de pays ou non, et des romans Andouillettes, qui diffèrent. » Un auteur peut donc choisir de se consacrer à une seule catégorie ou de toucher à tout, tout en se laissant porter par son imagination. Il ajoute aussi que dans la littérature de fiction, on ment pour dire le vrai. De plus, en écrivant, on peut être dans un état de transe, c’est comme si les personnages prenaient possession eux-mêmes de leur vie à travers l’écrivain.

À notre question « que feriez-vous si un jour vous n’aviez plus l’envie d’écrire ? », il répond : “l’écriture, c’est comme une histoire d’amour. Le jour où l’amour n’est plus là, cela ne sert à rien de s’accrocher, il faut le laisser et passer à autre chose. »

Au moment de clore la rencontre, il consacre un moment à donner quelques conseils pour les élèves qui pourraient devenir des auteurs plus tard. Il conseille de trouver un éditeur avec lequel on se sent bien et libre, car cela permet plus d’options, et n’oblige pas à faire des concessions à tout bout de champ. L’avis d’un professionnel est aussi mieux que l’avis d’un proche, car celui-ci ne sera pas objectif et il aura un avis d’amateur. Lorsque l’on écrit, l’idéal c’est qu’il n’y ait pas d’artifice parce que le détail dans l’œuvre révèle beaucoup de choses. Il ajoute aussi suite à une question d’une élève, qu’il peut arriver aux auteurs d’utiliser Internet pour trouver des noms pour les personnages, visualiser un lieu et le décrire par exemple.

Mettre des mots sur la danse

En mai 2023, les élèves de Seconde 7 ont bénéficié d’un projet leur permettant de mettre des mots sur la danse, grâce à l’accompagnement de la journaliste Stéphanie Pichon, qui publie notamment des articles dans le journal culturel JunkPage. Le projet s’est déroulé en trois temps pour les élèves : tout d’abord, un atelier de pratique avec la danseuse Betty Tchomanga à l’Avant-Scène Cognac ; puis leur présence au spectacle Mascarades ; enfin une journée d’écriture et d’enregistrement de capsules sonores, type podcasts radiophoniques, restituant leurs impressions et leur interprétation du spectacle.

Un projet multiforme et surprenant, aboutissant à une création de podcasts inventifs, même si tous les élèves n’ont pas eu le temps d’enregistrer leur chronique culturelle. Pouvoir rencontrer la danseuse et chorégraphe Betty Tchomanga (et être surpris par la transformation de la personne rencontrée le matin, presque méconnaissable sur scène le soir), assister à un spectacle de danse contemporaine auquel ils ne seraient probablement pas allés de leur propre initiative, être capable d’exprimer et confronter leur ressenti, leurs émotions, et les mettre en forme de manière aboutie, est une expérience riche.

Voici leurs mots sur la danse :

https://soundcloud.com/user-405808187/sets/atelier-du-regard-parler-la-danse-lycee-jean-monnet-cognac

Album photo de l’atelier danse et de l’atelier de pastilles sonores :

Merci à Stéphanie Pichon de l’association ‘Books on the Move’ (Bordeaux), à l’Avant-Scène Cognac, à Betty Tchomanga, à Adeline Perriot, professeure de français, et à tous les élèves pour leur implication dans ce projet.

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“Men in Black” à Minami Manga

Le vendredi 28 avril 2023, les élèves du club manga ont participé à la journée dédiée au prix Minami Manga, à la Cité de la Bande Dessinée d’Angoulême (CIBDI).

Voici l’avis de Timéo et Simon avant le retour vers le lycée.

Prix Jean Renoir : critiques lycéennes

Depuis septembre 2022, à l’initiative de leur professeure de lettres, Mme Joseph, les élèves de seconde 3 sont engagés dans le prix Jean Renoir des lycéens. Après avoir visionné les films, ils ont proposé des critiques sous une forme libre. En voici quelques-unes :


Mon pays imaginaire, de Patricio Guzman

Résistance : Ce mot symbolise le mouvement réalisé par les Chiliens afin de se révolter contre le gouvernement.

Emouvant : Ce mot symbolise l’ensemble du film car on peut y voir les citoyens manifester, se battre à mains nues pour leurs droits.

Victoire : Ce mot symbolise la fin du film car, après un long combat, le peuple chilien a réussi à obtenir ce qu’il souhaitait.

Obstination : Ce mot symbolise le courage et la détermination des citoyens.

Libération : Ce mot symbolise l’espoir du Chili d’être libéré de la pression que le gouvernement exerçait sur le peuple.

Tyrannie : Ce mot symbolise les actions et les injustices que le gouvernement chilien faisait subir aux citoyens.

Engagement : Ce mot symbolise les manifestations et les révoltes menées par les Chiliens.

Laora G. et Léanne B., 2nde 3, LJM Cognac

L’Innocent, de Louis Garrel

 

Le film dont je vais vous parler se nomme L’Innocent, c’est une comédie de Louis Garrel , qui joue le rôle d’Abel, où l’on retrouve Anouk Grinberg dans le rôle de Sylvie, la mère d’Abel, Roschdy Zem dans la peau de Michel, le nouveau mari de Sylvie, ancien prisonnier et Noémie Merlant jouant Clémence. Tout au long de cette histoire, nous allons suivre Abel qui, inquiet pour sa mère, va enquêter sur Michel, ses activités et la relation qui se crée entre sa mère et lui.

Personnellement, j’ai beaucoup aimé ce film, surtout Clémence, son humour et ses folies au cours de l’histoire. De plus, le développement des personnages et de leurs relations est quelque chose que j’ai particulièrement apprécié, avec par exemple la relation de Michel et Abel ou encore celle d’Abel et Clémence : ces relations vont évoluer en même temps que l’histoire avance et que les personnages traversent des péripéties. En revanche, j’ai moins aimé le fait que la bande annonce présente Michel comme le méchant de l’histoire, un personnage malveillant, alors que ce n’est pas le cas dans le film où ses actes sont justifiés. Enfin, je conseille d’aller voir ce film qui est drôle, mais aussi à certains moments touchant et profond ; ce contraste fait pour moi sa beauté.

Giovann C., 2nde3, LJM Cognac

Revoir Paris, d’Alice Winocour

 

Revoir Paris est un film français qui nous plonge dans la mémoire et dans l’amour. Le récit est introduit par une scène très poignante et triste, celle de l’attentat. La réalisatrice fait une sorte d’hommage aux victimes des attentats, et cherche à montrer le calvaire des victimes et le traumatisme engendré. La fin est ouverte, on ne sait pas si elle va rester avec Thomas. Va-t-elle aller mieux ? Va-t-elle continuer de parler avec le cuisinier ? La musique revient souvent et amplifie les sentiments de tristesse mais aussi la douceur de certaines scènes. La scène qui nous a le plus touchés se situe à la fin quand Mia voit le fameux cuisinier Hassan, qu’elle cherchait depuis le début, celui qui était avec elle lors de l’attaque. Cette scène était très émouvante car ils semblaient tous les deux recomposer le puzzle en se racontant tout ce qui s’était passé, comment ils s’étaient entraidés pour survivre. Le regard de Mia nous a marqués : il était à fois heureux, plein d’espoir mais également triste et soulagé ; toutes ses émotions se ressentaient dans son regard.


Saint Omer, d’Alice Diop

 

Léonie B. : Mon moment préféré du film

Mon moment préféré est sans doute celui où Rama rentre du procès, très touchée par Laurence et l’histoire de son enfant. Elle s’allonge alors sur son lit, en déboutonnant son pantalon et commence à toucher son ventre de 3 mois qui se forme peu à peu. Il me semble qu’elle pleure. Cette scène m’a touchée car on la voit secouée, bouleversée par ce qu’elle a entendu. Elle se retrouve dans cette femme et on prend conscience que ça ne lui apporte rien de bon, alors ça suscite de la pitié mêlée à de la peine. Il y a aussi ce moment où elle touche son ventre que je trouve très intime et beau : c’est comme si on était là où il ne fallait pas, pendant un moment à forte signification.

 

Louane O. Mon moment préféré du film :

Mon moment préféré a été le moment où une avocate prend la parole sur la situation de Laurence. Elle explique avec beaucoup d’émotions ce qu’elle pense être ses motivations. Elle nous dit donc avec le regard qui fixe la caméra que Laurence aimait sa fille et qu’elle a résisté à la difficulté qu’est la tâche d’élever un enfant, mais un jour, elle a cédé et sur un instant de folie a commis cet acte. Elle n’a jamais pu être aidée, comprise ou encore écoutée et c’est pour cela que l’avocate parle de « femme fantôme ». Elle explique également à la Cour qu’elle ne croit pas aux histoires de sorcellerie et qu’il n’est pas juste de la juger avec une lourde peine, car c’est la première chose à laquelle ils pensent. Forcément, l’infanticide est un acte horrible, qui dégoûte tout le monde, et donc cela ne réglerait pas l’acte commis sur cette plage. L’avocate considère qu’il lui faut plutôt de l’aide, car pour elle, Laurence n’était pas vraiment lucide et l’aider est le seul moyen de régler ce problème. Après avoir dit tout cela, Laurence pleure comme si elle comprenait enfin pourquoi elle avait fait ça. L’avocate verse également une larme et la Cour est très touchée, ce qui m’a fait ressentir de la joie de voir en quelque sorte cette femme libérée d’un poids qui lui pesait beaucoup et en même temps de la tristesse de voir cette femme profondément détruite et anéantie. J’aime cette scène pour son émotion, pour la manière dont cela nous révèle des choses.

 

Samuel F. Mon moment préféré du film

Le moment du film que j’ai le plus apprécié est le moment au début où l’on peut voir Laurence au bord de la mer, sur la plage, en pleine nuit, accompagnée d’une musique assez particulière, car j’ai ressenti des émotions assez fortes et plutôt inexplicables.

 

Yanis S.  Mon moment préféré

Mon moment préféré est à la fin du film où Rama et sa mère se tiennent par la main, allongées toutes les deux sur le canapé du salon et essayent de respirer au même rythme. Cela m’a touché parce que ça prouve que malgré une enfance et des relations compliquées, comme nous le montre le début du film, les deux femmes s’aiment, ce qui est différent du reste du film où elles ne montrent aucun signe d’amour.