Un océan de pétrole

L’Amoco-Cadiz est responsable de la pire marée noire en Europe. Une catastrophe écologique qui endommage la faune et la faune et la flore marine.

L’histoire de l’Amoco-Cadiz

Le 16 mars 1978, l’Amoco-Cadiz a eu une avarie, c’est-à-dire un problème technique, une perte de gouvernail  devant la plage de Portsall dans le Finistère Nord. Ceci engendra une des pires marées noires en Europe. Cette marée noire a été causée par le naufrage du pétrolier avec toute sa cargaison. Il a donc relâché 227 000 tonnes de pétrole dans l’océan sur 360 km de long.

Photographie de l’Amoco-Cadiz en 1978

Les dégâts de l’Amoco-Cadiz

L’Amoco-Cadiz a crée l’équivalent d’une plage de pétrole avec 300 km de côtes englouties. La faune marine a été empoisonnée. Il y a eu en plus une dégradation du biotope c’est-à-dire une dégradation de la faune et la flore, et de l’écosystème marin.

Le pétrole provoque une destruction des fonds marins et de l’habitat de nombreux animaux.

Photographie d’une plage recouverte de pétrole. Sciences et Avenir
Photographie d’un animal couvert de pétrole. RTS

Nettoyage de la marée noire

Il faudra 6 mois pour nettoyer les côtes. Il a fallu 40 000  militaires et bénévoles pour tout nettoyer et 7 ans pour que la faune et la flore marine redeviennent normale.

Au finale les propriétaires de la cargaison ne récupéreront que 10% de la marchandise.

L’Etat français a réclamé 160 millions d’euros pour la catastrophe pétrolière car la catastrophe a causé des dommages en France. Les habitants aident à financer le procès aux Etats-Unis. Le procès a eu lieu en 1984.

Arrêt de la Standard Oil of Indiana

Le 24 janvier 1992, Chicago condamnait la Standard Oil of Indiana qui a causé la marée noire en Bretagne.

Il y a eu 14 années de procédure avant le procès final. Ce sera la fin de l’entreprise.

Au final les frais de justice ont couté jusqu’à 135 millions de francs (34 000 000 d’euros actuels). Pour la procédure Cristian Huglo a appelé le maire de Brest pour que la procédure se déroule correctement.

Photographie de la Standard Oil of Indiana. Indistriminne Valhall