Déc 15

MON PARIS

(Texte de Jade et Marcus)

Paris, la ville de la nuit qui éblouie tant par sa beauté que par sa zizanie,

Du haut de tes monuments tout autant impressionnants,

De tout temps tu domineras,

De Bastille en passant par Montmartre,

Des Invalides jusqu’au champ de Mars,

Tu subjugues par ta classe, ta grandeur, ta vivacité et ta folie.

 

Paris, la ville multicolore, de multiples origines,

Dans tes rues toutes couleurs et religions confondues,

C’est donc toi l’exemple de la laïcité,

A travers la France, tu répands: Liberté, Egalité, Fraternité.

Paname, si bien renommée,

Portée par tous les Français, tu vas nous éclairer.

 

REFRAIN :

Quand je suis à Paris, je suis littéralement en transe

Capitale de la musique et de la danse

Qui nous offre notes et mélodies

Rythme et confettis

Paris, ville de l’art et de ses érudits,

A mes yeux, tu seras toujours un rubis.

 

 

Paris, malgré ce que tu subies en ce moment,

Tout ton pays te porte vers l’avant,

On est prêt à tout pardonner mais pas à oublier,

Rien ne stoppera la vie car on ne peut pas faire taire Paris.

 

Paris nous fait rêver jusqu’au bout de la Terre,

Ces histoires traverseront les millénaires,

Toi qui nous rends si fiers, oui, toi, la grande ville des Lumières,

Que tu éclaires encore longtemps notre pays, notre patrie.

 

REFRAIN :

Quand je suis à Paris, je suis littéralement en transe

Capitale de la musique et de la danse

Qui nous offre notes et mélodies

Rythme et confettis

Paris, ville de l’art et de ses érudits,

A mes yeux, tu seras toujours un rubis.

Déc 15

Le soleil couleur orange

(Texte de Paul et Lucien)

Le soleil couleur orange

S’efface d’une façon étrange

Il laisse place à la nuit

Et à ses ailes qui lui(sen)t.

Le soleil est alors sous l’emprise de la Lune

 

Et dans ses vêtements de brume

Naviguant sur son bateau

S’enfonçant dans l’eau

Laissant place à la chaleur

Le soleil déploie sa terreur

 

Déc 01

Épigramme du vaniteux

Ô! Ô toi, comment oses-tu te contempler,

Dans le miroir, toi qui es en forme de poire,

Car seule ta toge mérite un éloge,

Tu penses éblouir, pourtant tu ne fais que pourrir,

Tu souhaites que tout le monde te voit,

Pourtant personne n’a voulu de toi,

Ô toi, ta louange ayant été faite,

J’espère à présent que tes sesterces sont prêtes.

Pauline, Camille, Diane, Adèle, 1ère latiniste