Mar 24

Course poursuite avec le Père Noël

Ahmed Strongo, un jeune Congolais de 22 ans ayant eu un BAC PRO en sécurité et réussi à trouver un job comme poste de personnel de la sécurité au centre commercial Auchan Sud de Poitiers, est affalé sur son canapé dans la petite pièce de son appartement, tout fraîchement acheté, qui lui sert également de salon; il est en train de regarder un match sur la chaîne Bein Sport pendant que sa copine est partie se muscler les abdos fessiers afin de lui plaire.

Au retour de sa copine, il est presque 15 h, l’heure pour Ahmed d’aller faire son essai pour le job, il va devoir garder le magasin Boulanger, situé à l’extérieur du Auchan, pendant toute la journée de la veille de Noël. Elle se demande alors pourquoi il n’est pas encore prêt pour partir, une dispute éclate :

  • Ahmed !! Ahmed, je te parle !
  • Ouai, quoi !
  • Non mais franchement … t’es sérieux là ?
  • Y’a quoi encore ? … vas y dis-moi.
  • Tu es censé être prêt pour ton essai à Auchan !
  • Oh ! Mince j’avais oublié, merci ma chérie … heureusement que t’es là !

Ahmed en se précipitant vers son manteau et courant vers la porte songe qu’il a oublié quelque chose, il retourne vers sa copine et l’embrasse, au même moment elle glisse discrètement les clés de la voiture dans la poche de son manteau.

 

Arrivé sur place et sa voiture garée, il regarde sa montre, il est en retard de 10 minutes pour son entretien avec le patron donc à ce moment- là il pense ne pas avoir de travail. Dés qu’Ahmed arrive dans le bureau, il serre la main du patron et ferme la porte derrière lui. L’entretien fini, Ahmed se dirige alors vers les vestiaires, il enfile chemise, pantalon, bottes, oreillettes mais en boutonnant sa veste, une alerte à Boulanger. Un voleur essaye de faire un casse. Ahmed sort du vestiaire pistolet et taser à la main, met la main sur l’oreillette et dit en courant :

  • Les gars, je suis le nouveau, il y a quoi ?

A l’oreillette la voix d’une femme lui répond :

  • On a un problème au magasin Boulanger ! Viens vite !
  • OK, j’arrive en vitesse.

 

Ahmed est enfin sur site, il pose un pas à l’entrée du magasin et voit le braqueur aux caisses, il lui intime l’ordre d’arrêter, à ce moment le braqueur, déguisé en Père Noël, le regarde fixement et d’un coup s’enfuit au rayon télé du magasin. Une course-poursuite démarre. Pendant que le braqueur court, une petite fille le stoppe et lui dit :

  • Tu es le vrai Père Noël ?

Le braqueur prend une voix grave et répond:

  • Oui, c’est moi … OH, OH, OH … mais là petite fille, je suis un p’tit peu pressé !
  • Attends ! Je voudrais te dire ce que je veux à Noël.

Ahmed toujours en train de  poursuivre le contrevenant, prend son taser et tire sur le faux Père Noël tourné vers la petite fille. Il s’approche du Père Noël, tire sa barbe et remarque que c’était en réalité un exercice de simulation car il s’agissait en vérité du patron à l’intérieur du costume.

 

Le soir, après cette journée spéciale, il dit la bonne nouvelle à sa famille attablé et raconte sa folle journée autour d’une bonne bûche.

 

Mar 24

Le cadeau

Marie marchait, droite et d’un pas vif, se fondant dans la masse parisienne. Parmi la foule, elle cherchait des magasins dans lesquels elle serait susceptible de trouver des cadeaux qui plairaient à sa famille. Elle devait faire vite avant que son mari rentre du travail, car elle voulait le surprendre. Cette année, ils passeraient Noel chez les parents de son mari, Antoine. Elle n’était pas idiote, elle savait bien que ses parents la détestaient, pour une raison qu’elle ignorait encore. Cependant, elle ne comptait pas rester sur un différent et voulait se rattraper en leur offrant un cadeau qui changerait leur point de vue sur Marie.

Elle courait maintenant, Avenue Lafayette, affligée que le temps passe si vite. Marie passait en revue tous les magasins, en rentrant dans toutes les boutiques de Paris. A chaque magasins, une nouvelles odeur embaumait la pièce, qui variait selon le contenu de la pièce, une nouvelle musique s’offrait à ses oreilles et les vêtements de la nouvelle collection d’hiver assaillaient sa vue. Et à chaque fois, elle repartait déçue de n’avoir rien trouvé pour sa famille exigeante. Marie était étonnée que les rues de Paris soient remplies de monde malgré les attentats récents du 13 novembre . Cela lui fit chaud au cœur. Les gens se bousculaient et vaquaient à leurs occupations. Marie saisissait des bribes de conversations, et parfois elle voyait avec amusement des enfants slalomer en courant entre les gens.

Marie commençait à avoir froid. Ses joues d’ordinaire si pâles s’étaient empourprées de rose. Ses cheveux bruns ondulés tombaient en cascade sur son visage, et ses yeux bleus donnaient une petite touche de couleur à son visage.

Soudain elle vit une chocolaterie. Tout le monde aimait le chocolat pour les fêtes, ainsi elle savait qu’elle ne ferait pas de faux pas. Mais elle était certaine que sa belle-mère lui reprocherait son manque d’originalité. Ainsi, elle se persuada de continuer.

La nuit tombait et les rues étaient maintenant éclairées par les lampadaires et les magasins alentour. Elle sentit la bonne odeur de pain cuit et des croissants tout chauds.

Puis ,là, sous ses yeux, elle trouva le cadeau idéal. Il n’était pas trop chic, quoique distingué et était passe-partout. Elle imaginait déjà le petit paquet enveloppé d’un papier cadeau vert et rouge, tenu entre les mains décorées par les mains vernis de sa belle-mère spécialement pour l’occasion. Elle ouvrirait alors le paquet, et elle serait agréablement surprise. Du moins, c’était ce qu’espérait Marie.

Mar 24

Plus qu’un simple match

Ils arrivaient au gymnase Paganel -Là où ils faisaient leurs entraînements le jeudi de 19h30 à 21h45- ;les parents étaient présents avec d’autres supporters, la musique américaine de Drake battait son plein. Dans les vestiaires il n’y avait plus la joie, les blagues et le sourire de ses coéquipiers, mais c’était le stress qui  marquait les visages.

Ils étaient en train de s’échauffer : ” Monter de genoux, talon aux fesses, layup main droite, layup main gauche, ” leur criait Medhi leur extérieur de 1 mètres 75, ” tir mi-distance gauche, tir mi-distance droit, tir à 3 points des deux cotés. ” Bref, la routine quoi …

L’arbitre venait de siffler en leur montrant du doigt qu’il ne leur restait que trois minutes avant le début du match ; le stress s’accéléra dans l’équipe mais leur coach Alpha était là pour les rassurer.

Les trois minutes étaient passées à une vitesse fulgurante. Le match commençait sans Stephen dans le 5 de départ.

Le premier quart-temps fut digne d’un match de basket ordinaire, temps mort des deux équipes, deux points par deux points, possession par possession, avec un léger avantage pour Iteuil à la fin du quart-temps qui menè de 4 points.

Le deuxième quart-temps venait de se terminer comme le premier – un quart-temps dure dix minutes -. Dans le vestiaire, la peur de la défaite régnaient. L’équipe de Stephen tremblait comme des feuilles et ne disaient pas un mot.

Le troisième quart-temps finit avec un spectaculaire travail de Stephen qui mené son équipe en avance de 6 points. Avec 14 points, 8 passes décisives, et 3 rebonds il était bien parti pour être le MVP du match.

La foule était en délire, le parquet tremblait aussi fort qu’un tremblement de terre, et les cris du public ne faisaient qu’empirer le stress des joueurs d’Iteuil.

Le quatrième quart-temps commença avec l’entrée en jeux de Stephen, Emmable, Medhi, Esteban et Mickail. Tout se passa bien tant que le 11 d’Iteuil n’était pas sur le terrain. Quand il rentra en jeux, il restait 1 minute au compteur, et en 30 secondes, il fait remonter son équipe et les fait mener de 2 points.

Alpha prit un temps mort, et dit à son équipe : ” Allez les gars, on lâche pas le morceau!! Il reste 30 secondes, donc on va garder la balle pendant les 24 secondes secondes de possession autorisé, et vers les 20 secondes, Mehdi tu viens poser un écran sur le joueur qui garde Stephen pour le démarquer et pour qu’il puisse tirer à 3 points”

Sur la passe de Esteban pour Stephen, le joueur 11 d’Iteuil coupe sur la trajectoire de la balle, la prend puis file au bagner mais manque son layup. Il reste 3 secondes quand Stephen récupèrent le rebond, tire du milieu du terrain et marque le 3 points de la victoire.

La foule sautait et courait sur le terrain, sur le banc, les joueurs se précipitèrent sur Stephen pour l’acclamer et le porter.

Alpha vient voir Stephen et lui dit : ” C’était plus qu’un simple match. C’était le tiens Stephen “.

Mar 24

Le tourment

Ma vie est un enfer depuis ce jour. Je n’arrive plus à penser. Je ne suis plus personne, qu’un fantôme. Je ne vis plus, je suis comme morte spectatrice de ma pauvre vie. Cela fait bien longtemps que je ne suis pas sortie de chez moi, je dirais un peu plus d’un mois. Je ne sais pas, je ne sais plus… Tout est devenu si flou sans lui, sans Hugo. Je reste cloîtrée  dans mon petit deux pièces parisien du XIIème arrondissement. Il est devenu si lugubre sans lui. Comment ne pas penser à autre chose qu’à ça? C’est de la torture. Je l’ai perdu pour jamais et à jamais. Une mort si violente, tout ce qu’il n’était pas. Tout ce qui m’entoure me rappelle Hugo, parfois je crois même entendre sa voix. La vie n’a plus aucun fout sans lui, il n’y a que le vide. Il était mon univers et il s’est effondré, en partant avec lui.
C’était le 13 novembre, Hugo avait décidé de m’inviter dans mon restaurant préféré “Le Petit Cambodge” afin de fêter, comme il se doit, nos neuf ans de relation. Je le soupçonnais secrètement de vouloir me faire une demande de mariage ce soir-là. Cela faisait si longtemps que je lui en parlais. Je ne fis que d’y penser, tout au long de la journée, j’étais si excitée. Nous nous sommes retrouvés Rue Alibert vers vingt heures, tout deux très heureux. Nous rentrons dans le restaurant, loin d’imaginer la soirée que nous allions passer… Nous nous sommes installés, prêts à dîner quand soudainement le cauchemar commença. Un brouhaha tonna puis des coups de feu, le bruit des vitres explosées, un vrai chaos… L’instinct de survie nous ordonne de sortir de là au plus vite ! Nous les voyons ces ombres noires armées s’approcher peu à peu de nous. Hugo me prit la main et m’ordonna de fuir avec un regard rassurant mais paniqué. Une multitude d’émotions te vienne, mais dans ce cas d’extrême urgence, tu n’as tout simplement pas le temps d’y penser, il faut juste réagir. Nous commençons alors à courir, aussi vite que nous le pouvons, à en cracher nos poumons. Les balles fusent, nous frôlent presque. Les corps tombent autour de nous. Tout d’un coup, je sentis la main de Hugo me lâcher. Il s’écroula a terre. Et brutalement je vis qu’il était touché gravement à l’épaule gauche. Son corps inanimé allongé, ce fut le choc de ma vie. J’ai crié de douleur, aussi fort que je pouvais, cela sortait de mes tripes, du cœur. Ces assassins était sortis du restaurant où plus rien ne bougeait, et ils tiraient n’importe où pourvu que ça touche quelque chose. Si je restais là avec Hugo, en plein champ de vision, j’allais mourir comme lui. Je réussie à courir sans qu’aucune balle ne me touche, jusqu’au coin de l’avenue Richerand. Je repris rapidement mes esprits malgré le choc, tout avait été si vite. J’étais assez loin du lieu de l’attaque pour être en sécurité. Je m’assis contre les vieux bois d’un porche, le numéro huit de l’avenue. Et me mis à pleurer à en perdre haleine. Je ne réalisais pas que j’avais assisté à une attaque terroriste et que Hugo était l’une des victimes de cet acte barbare. Il m’est impossible à cet instant de décrire la douleur qui me traverse.
Aujourd’hui, nous sommes le quatorze décembre et la douleur est toujours aussi intense. Les obsèques nationales ont eu lieu et l’enterrement de Hugo par la suite. Dans ces moments-là vous êtes entourés, mais au fond de vous-même vous êtes seul, terriblement seul. Je suis tombée dans un gouffre. Comment vivre après ce drame ? Quelle va être ma vie après ça? Je n’ai aucune réponse à mes questions car je ne pense pas survivre à cette épreuve.

Mar 24

Nouvelle réaliste : Lucas Moura

Lucas Moura, était un footballeur professionnel du Paris St-Germain. Il était attaquant droit mais n’était pas titulaire car il avait de la concurrence  à son poste (Ibrahimovic, Cavani et Di Maria). Il avait tout de même une énorme qualité, c’était sa vitesse avec la balle qui permettait de prendre de vitesse tous ses adversaires.

Le PSG cet année-là avait un but, c’était de gagner la ligue des champions ( la coupe d’Europe ) qu’il n’avait jamais encore réussi à gagner. Mais cette année -là, ils étaient enfin arrivés en finale, contre les tenants du titre: le FC Barcelone qui était en train de réaliser leur meilleur saison notamment grâce à leur trio d’attaquants: Messi, Neymar et Suarez. Ils avaient réussi à marquer plus de 150 buts seulement à eux trois pendant la saison.

C’était le jour de la finale, avec comme d’habitude en attaque Ibrahimovic, Cavani et Di Maria face à Messi, Neymar et Suarez. Les premières minutes de ce match avaient parfaitement bien commencé puisque Ibrahimovic ouvrait le score sur une passe de Di Maria, les supporters parisiens s’exclamèrent de joie. Mais c’était juste avant la mi-temps que Messi marqua un joli coup-franc. A la mi-temps les deux équipes étaient donc à égalité.

La deuxième mi-temps démarra avec toujours de la pression dans les tribunes. C’est à 15 minutes de la fin que Suarez mit un but pour le FCB. Les supporters parisiens ne croyaient plus à une victoire. C’est là que l’entraîneur décida de faire entrer Lucas Moura à la place de Cavani. Dès son entrée sur le terrain, Lucas eut une passe devant le but et égalisa. Ce fut la joie autant sur le terrain que dans les tribunes. Mais c’est alors que tout le monde s’attendait à une séance de pénalty que Lucas eut la balle au milieu de terrain et dribbla tout le terrain pour ensuite marquer le but de la victoire. Le stade était en feu.

Le PSG gagna enfin la ligue des champions grâce à leur remplaçant : Lucas Moura !

Mar 24

Un espoir pour les Guignard

(Nouvelle de Joséphine)

Clara a 19 ans, elle est grande, brune aux cheveux longs et elle a de beaux yeux verts. Elle est en terminale au lycée Camille Guerin de Poitiers. Elle a un petit frère, Ethan, 13 ans en quatrième au collège Camille Guerin, à  Poitiers également. Ils habitent dans une maison mitoyenne. Elle est au 7 rue de la Citrouille. A côté de la maison, il y a un petit parc avec un tourniquet et un toboggan où Clara et Ethan jouaient lorsqu’ils étaient petits. Ils vivent avec leurs parents Brett et Caroline. Ce sont des parents gentils. Tous ensemble, ils forment une belle famille même si les tensions sont parfois présentes. Ils sont la famille Guignard. Mais ils n’ont pas de grands- parents, enfin si, ils en ont mais ne les voient plus car concernant le côté de leur mère, ils sont morts et du côté de leur père, ils avaient économisé beaucoup d’argent et après leur retraite sont partis vivre a Hawaï.
Seulement, un jour alors que Clara était avec son frère chez eux pour la soirée car leur parents étaient invités chez des amis, elle reçut un appel d’un numéro inconnu. Elle décroche. On lui parle. Son visage se décompose. Elle regarde son petit frère, et s’effondre. Ethan ne comprend pas tout de suite, il panique, court prendre sa sœur dans ses bras. Il lui demande ce qui ne va pas.
Clara tente de sortir quelques mots:
“Ils sont morts, un accident de voiture, ils sont morts…”
Il n’en faut pas plus à Ethan pour comprendre. Il s’effondre à son tour. L’enterrement a lieu trois jour plus tard. C’est un jour pluvieux, le peu de personnes venues ont un parapluie. Il n’y a que des amis, ils étaient fils et fille unique. Mais les amis sont là pour les soutenir. Clara dit quelques mots, Ethan, lui n’a pas voulu. Quelques jours plus tard,Clara reçoit une lettre du notaire de leurs parents : elle doit venir le voir à son cabinet dans la semaine, elle doit être accompagnée de son frère. Ils s’y rendent donc le jour suivant. Il lui explique qu’étant donné qu’ils n’ont aucune famille Clara va devoir devenir le tuteur légal d’ Ethan jusqu’à ses 18 ans ou bien qu’une famille l’adopte. Ils seront cependant placés dans un foyer car Clara ne peut pas payer le loyer et a manger. Ils devront également vendre la maison, et vont recevoir le maigre héritage de leur parents.
Les semaines passent et Clara ne va plus au lycée, elle n’en a plus envie et n’y arrive plus, ne comprend plus, en plus elle n’avait pas beaucoup d’amis. Elle ne sort plus, ne prend plus soin d’elle. Pour combler le tout, Ethan non plus ne va plus au collège et devient violent avec ses camarades, Clara a été souvent convoquée dans le bureau du directeur. S’il ne se calme pas, il va être renvoyé. Vivre dans un foyer c’est dur : les autres ne sont pas forcément gentils avec eux, ils viennent d’arriver et ont donc eu droit au fameux bizutage d’arrivée. La nourriture n’est pas très bonne. Heureusement, il y a les animateurs, ils sont là pour soutenir les jeunes du foyer. Clara s’entend bien avec eux, ils lui remontent le moral et l’aident à trouver un travail. En revanche, Ethan ne les aime pas vraiment, ils a l’impression qu’ils ont pitié de lui et c’est tout. Il est de moins en moins au foyer, il traine dans la rue avec ses nouveaux amis du foyer, d’après Clara ils n’ont pas l’air très net.
Une année est passée depuis la mort de leurs parents, Clara a maintenant 20 ans et Ethan 14. Ils reprennent doucement goût a la vie. Ils ont tous les deux redoublé mais sont détermines à passer a la fin de l’année. Clara s’est trouvé un travail et a les moyens de louer un petit appartement où elle vit à présent avec Ethan. Ils ont abandonné la demande d’adoption. Ils vivent maintenant dans la bonne humeur. Ils n’ont plus peur de l’avenir.

Mar 19

Star Wars (6e critique)

On pourrait croire que Star Wars n’est qu’un film de science-fiction mais Lucas prétend avoir voulu réaliser un mélange, et surtout une œuvre d’imagination. On y trouve en effet un mélange de western de mythologie et d’histoire de samouraïs. De plus, Star Wars a connu et connaît encore un grand succès en Europe. Ses différents épisodes plaisent souvent aux adolescents, grâce à leurs effets spéciaux, comme le son des lasers, grâce aussi au duo comique de C3PO et R2D, dont les voix sont obtenues par mixage de voix humaines et de sons synthétisés. Enfin, on est plongé dans un monde manichéen qui permet de s’évader de la vie quotidienne.

Dans l’épisode IV, que j’ai vu, j’ai beaucoup aimé le cadre spatial, qui n’est pas commun. Je me suis prise d’affection pour R2D2 et C3PO, les inséparables. Cependant, je n’ai pas vraiment apprécié la violence de Dark Vador ni son équipement, trop imposant, même pour ce qui est de son masque, qui ne nous permet pas de voir son visage. Le septième épisode, intitulé « Le Réveil de la Force » est sorti en décembre dans les salles. Nul doute que ce sera un volet culte de la saga.

Zoë S.

2de 6

Mar 18

Star Wars

L’histoire d’un apprenti Jedi qui prend confiance en lui et a le courage d’aller combattre contre ses adversaires pour aider la princesse Leïa donne du mouvement au film et captive le spectateur. D’autant plus que les effets spéciaux sont très bien réalisés. Ce film nous fait ressentir plusieurs émotions. Par exemple, à la mort de l’oncle et de la tante de Luke Skywalker, on ne peut qu’être touché et c’est alors que commence réellement l’histoire. En effet, Luke n’a alors plus aucune excuse pour ne plus aller combattre. On assiste également à des scènes comiques entre les deux robots, R2D2 et C3PO. Leur relation peut aussi nous émouvoir car on ne s’attend pas à de l’amitié entre deux machines. Le film a également beaucoup de suspens, par exemple lorsque le vaisseau de Luke est pris sur la planète de Dark Vador, on se pose beaucoup de questions sur ce qui va se passer par la suite. On voit aussi quelques scènes d’amour. On dirait qu’Han Solo tombe sous le charme de la princesse Leïa mais la jeune femme semble préférer Luke.

Louisa B

2de

Mar 15

Droit au but

Droit au but

Dans deux jours c’est la finale tant attendue du Paris Saint Germain et du FC Barcelone aux parc des Princes où la foule sera présente, les photographes prendront des photos, où les lumières monteront vers le ciel. Vers 21h00 à Lyon au 22 rue Antoine de Saint Saint-Exupéry, Mehmoud prend son petit déjeuner dans sa cuisine toute bleue avec une grande horloge sur le mur de la fenêtre. Il est déjà stressé à l’idée de ce jour contre une si grande équipe , avec des joueurs de légende tels que Messi, Iniesta, Neymar ou encore Suarez. Plein de joueurs qui ont su trouver le cadre au bon moment. Tout à coup, il se leva, s’habilla, prit ces clés et alla voir son ami Jean qui résidait quelques rues plus loin à côté de la boulangerie dans une grande maison toute blanche avec une multitude de fleurs. Quelques minutes plus tard, ils partirent à l’entraînement dans un grand stade avec toute l’équipe réunie.

Le jour tant attendu du grand match était enfin arrivé. Tout le monde était au rendez-vous.

Nous étions dans de grands vestiaires où tout était à disposition. Nous pouvions sentir peu à peu l’adrénaline monter. Alors même qu’on eut fini de s’habiller, l’entraîneur Richard Pope prit la parole.

Il nous expliqua de manière stricte les emplacements exact de chaque joueur. L’objectif ainsi que la détermination.

Quelques minutes plus tard, nous rentrâmes dans ce gigantesque stade où la pelouse était toute resplendissante. Le coup d’envoi sonna, je pris la balle et j’allai directement dribbler la défense Barcelonaise pour pourvoir marquer et avoir mon heure de gloire. Quand, tout à coup, je sentis une grande jambe, c’était celle du plus grand joueur de la saison.

En effet, il m’arracha le ballon des pieds avec une application extrême. Puis il courut et fit une passe en profondeur au plus fort joueur de tous les temps. A ce moment précis la peur me traversa le corps. Tout à coup le gardien fit un bon de trois mètres et arrêta donc la balle.

La match était très serré et difficile et les joueurs très fatigués. Lorsque l’arbitre siffla la fin du match, Jean me fit un centre magique, j’ai donc sauté très haut, j’ ai donné toute mon énergie afin de ne pas louper cette occasion et tapai le ballon d’une force spectaculaire telle qu’il rentra dans le but.

Je ne réalisai pas l’ampleur de l’événement, je courais partout, embrassai mon entraîneur et les membres de l’équipe.

Nous étions en tête, l’arbitre fit retentir la fin du match.

Nous arrachâmes la victoire et fîmes la fête tout au long de la nuit.

(Amine)

Jan 26

Je me suis levée ce matin

Je me suis levée ce matin

Je me sens bien

J’ai à peine eu le temps de manger un bout de pain

J’ai dû aller voir mon voisin

Je lui ai serré la main

Je lui ai parlé de mon nouveau lapin

Avec beaucoup d’entrain

Il m’a dit qu’il voulait aussi en avoir un

Je suis repartie sur mon chemin

Pour aller chercher mon cousin

Ça me rappelle cette histoire-là

Qui se déroula à Doha

Où elle rencontra son papa

Qui lui dit “Ola chica !”

Et ça s’arrêta là !

Aurélia et Eléa