Mon départ pour la France

Je suis né en Arménie le 27 février 2006 à Artik. Mes parents m’ont choisi comme prénom Sargis, car en Arménie ça signifie le prince de l’amour. Je suis allé à l’école jusqu’au  CP puis mes parents ont décidé de venir habiter en France car le président était très mauvais et que l’armée est obligatoire pendant 3 ans. Ils voulaient m’offrir une meilleure vie.

A mon arrivée en France, nous sommes allés à Saintes car ma tante et mes cousins étaient exilés. Nous y sommes restés pendant 3 à 4 semaines puis on a trouvé un habitat de colocation à Poitiers. Il y avait d’autre Arméniens avec nous.

Nous y sommes resté 3 à 4 mois puis on nous a proposé un hôtel près de la gare de Poitiers. Après 1 an dans cet hôtel, mes parents ont commencé à travailler grâce à leurs études en Arménie. On a pu ensuite s’acheter un appartement. Maintenant on y est bien et on a tout ce qu’on veut. Cela fait 6 ans que nous sommes en France.

Je voudrais devenir un coach sportif en salle en France et dans mon pays natal.

Du Portugal à la France

V, est parti de Santarém ou plus précisément à Romeira (un petit village dans la campagne) au Portugal. Ils sont partis (elle, son mari et ses enfants) en France à cause du travail.
Son mari, lui était parti un an avant pour trouver du travail et avoir un appartement. V, a fait le trajet essentiellement en bus.
Elle avait déjà les papiers pour quitter le pays et en rejoindre un autre. Quand elle est arrivée à Paris, elle et ses enfants. Son mari avait déjà un appartement et du travail (maçons/carreleur) et de l’argent.

Par M.R et F.B 4°3

Histoire de mon père

Je vais laisser mon père vous raconter son histoire.

” Quand j’étais petit, je vivais en Turquie. Je suis né à Antalya mais mes parents viennent de Isparta. Je suis le seul de la famille à être née à Antalia. J’ai 4 frères et sœurs en tout. Dans ma famille nous sommes six. En Turquie je faisais des petits boulots (serveur sur la plage par exemple) mais je rêvais d’être footballeur. .

La majorité de mes cousins et mes cousines allaient vivre en France pour le travail. Ils trouvaient l’amour aussi.

A mon tour, je suis venu en France, pour travailler. J’y ai trouvé l’amour. En effet, mes cousins et mes cousines connaissaient ma future femme. Mais comme j’étais déjà en couple avec une femme mariée avec des enfants, il m’a fallu tout quitter et ça m’a fait beaucoup de peine.

En arrivant en France, j’ai trouvé un travail et j’ai aussi demandé la main de la jeune fille dont j’étais tombé amoureux. Nous avons eu 2 filles.

Article écrit par S et S, 4e 3

Histoire de mes parents

Mes parents habitaient en Irak, ils vivaient à Bagdad dans une maison d’un quartier riche. Ils sont partis d’Irak en avion jusqu’en Jordanie où ils ont vécu trois ou quatre mois avant de partir pour la France en avion.

Quand ils sont arrivés à paris, ils ont pris le train jusqu’à Poitiers. Arrivés à Poitiers, ils ont habité quelques temps chez mon oncle avant de trouver un appartement.

Mon père a trouvé du travail : vigile dans un supermarché. Ma mère, qui n’a pas la nationalité française, n’a pas pu trouver de travail.

Le rêve de mes parents était de venir en Europe et ils ont réussi.

Histoire des parents de M, article rédigé par M et C

Une vie difficile

Mon arrière grand-père s’appelait Raymond Vidal. Il est né le 16 décembre 1911, en Espagne, et il est mort le 24 février 2000 en France.

Quand il était petit, il faisait souvent l’école buissonnière donc, il ne savait pas vraiment lire ni écrire. (l’espagnol). Il habitait en Catalogne, à Trago, un ancien village, pas très loin de Barcelone, qui a été inondé pour ériger un barrage.

Il a migré en 1922, quand il avait 11ans. Il est partit avec ses parents et ses 6 frères et sœurs. Ils ont traversé les Pyrénées pour aller en France, à pied. Ils n’avaient pour bagages que quelques vêtements et vivres. Ils ont fui l’Espagne.

En effet, la période entre 1890 et 1936 était très mouvementer avec, par exemple:

  • L’ échec de la grève révolutionnaire en 1917, un mouvement social anarchiste contre la monarchie.
  • Le désastre d’Anoual en 1921, une bataille opposant un contingent militaire à l’armée rifaine de Mohamed Abdelkime al-Khaltahi, dans le Tansamane, au nord du Maroc.
  • Le coup d’état du général Primo de Rivera en 1923, en Catalogne, Alphonse XII reste roi d’Espagne

La tension était à son comble en 1922 au moment de leur départ.

Quand ils sont arrivés en France, ils ont marché jusqu’en Gironde où ils ont trouvé un emploi comme ouvrier agricole dans les vignes. Mon arrière grand-père n’allait pas souvent à l’école. A l’époque, les enfants travaillaient jeunes, surtout dans les familles pauvres. La notre était très pauvre.

Avant, en 1934, il s’est marié. Deux ans après, en 1936 ils ont eu un fils, resté fils unique jusqu’à ses 9 ans. A cet âge, le jeune garçon est tombé gravement malade et il n’aurait pas dû survivre. Mon arrière grand-mère ne voulait pas rester sans enfant. Donc, ils eurent un deuxième fils, mais le premier a finalement survécu. Puis, ils ont eu un autre fils et deux filles.

Durant la Seconde Guerre mondiale, il s’est engagé dans l’armée. Il a été placé comme surveillant des voies ferrées et des tunnels.

Plus tard, mon arrière grand-père a obtenu la nationalité française.
Mais il a aussi eu un accident de travail qui l’a blessé au niveau de la colonne vertébrale. Depuis, il n’a jamais pu remarcher sans un corset et une canne. Puisqu’il ne pouvait plus être ouvrier agricole, il chassait et pêchait pour vendre ses prises et ainsi nourrir sa famille.

Il n’a jamais été bavard, et n’a jamais su, ni voulu écrire et lire le français. Il ne le parlait pas très bien non plus. Il n’a jamais voulu parler à sa famille de ce qu’il a vécu à cette période de sa vie.

Par une élève de 4°3

Il a migré pour le travail

G D est mon grand-oncle. Il est né en 1949 en Espagne sous le régime de Franco.

Ses parents ne sont pas restés en Espagne sous la dictature et ont préféré s’installer en Algérie.  Mon grand-oncle a donc vécu en Algérie une partie de son enfance. Lorsque l’Algérie est devenue indépendante, en 1962, sa famille et lui ont dû retourner en Espagne où ils avaient de bonnes conditions de vie car son père était boulanger.

Mon grand-oncle n’a pas fait d’études après l’école élémentaire.

A trente ans, il est parti d’Alicante où il vivait en Espagne pour aller en France, à Paris. Il souhaitait retrouver son frère qui travaillait dans une usine et voulait que son frère l’aide à trouver du travail.

Au départ, il a fait des ménages dans des hôtels. Puis ensuite, il a été embauché dans la même usine que son frère.

A 33 ans, il s’est marié et a eu trois fils.

De L, élève de 4e

L’histoire de mon père

Je vais vous raconter l’histoire de mon père.

Il est né au Congo-Brazzaville. Il a quitté le Congo pour des raisons politiques. L’actuel président du Congo est venu au pouvoir en faisant un coup d’État, cela a provoqué deux guerres en 1994 et 1996.

Il est arrivé en France, en avion, mais il vivait avec mon oncle, avec les papiers d’un homme décédé. Pour vivre, il faisait plusieurs petits boulots. Plus tard, il a obtenu une carte de séjour.

Il a travaillé dans une usine de fabrication de médicaments et a obtenu son permis de conduire assez rapidement.

Un jour, il a perdu son travail donc il est parti vivre chez sa grande sœur dans une cité de Noisy-le-Sec, dans le 93. Après, il a vécu chez son autre sœur à Bondy.

Ils ont déménagé à Pantin. Enfin, ils sont vivre chez des amis dans le département 78.

Il a fini par s’installer à Maurepas dans son propre appartement. Il est aujourd’hui cariste et il a accompli son rêve d’être en France.

 

L’immigrant

Je vais vous raconter l’histoire de mon arrière grand-père. Il quitta son pays, le Portugal, plus précisément la ville de Porto, à l’âge de 23 ans en 1965. Il est parti, seul, pour trouver du travail et vivre une meilleure vie.

La première partie se déroule de Porto à l’Espagne, elle se fit en train. Suite à cela, il traversa l’Espagne entière à pied, il prit le chemin des montagnes à l’aide des passeurs qu’il paya. Il dormait derrière les troupeaux de vaches, dans les grottes ou au sol. Il buvait dans l’abreuvoir des vaches pour s’hydrater. La traversée des montagnes dura 12 jours.

Une fois arrivé à Bayonne, il prit le train jusqu’à Paris mais il s’aperçut qu’il s’était trompé de ville il chercha donc un train pour Poitiers afin de rejoindre son frère.

Celui-ci l’hébergea et lui a trouvé un travail dans une carrière. En septembre 1967, mon arrière grand-père vint chercher mon arrière grand-mère, ma grand-mère et tous ses frères et sœurs. Ils sont revenus à Poitiers en train.

Article rédigé par E, 4e 5

 

 

Mon parcours

Je suis née à Mayotte le 21 décembre 2006, à Cavanie Mamoudzou. Puis, je suis partie à Marseille. Mon voyage s’est très bien passé mais ça me paraissait étrange d’être en métropole.

Quand nous sommes arrivés à Marseille, nous sommes allés chez ma tante. J’ai commencé à aller à l’école. Puis, mes parents ont loué un appartement pendant trois ans.

Puis, nous sommes partis à Poitiers car mon père ne trouvait pas de travail. Mon voyage s’est encore bien passé. On a habité chez l’amie de mon père. Je suis allée à l’école en CM1 et CM2. Ensuite, nous avons de nouveau déménagé pour avoir notre propre appartement de la 6e à la 4e.

 

Mon rêve est de devenir cheffe d’entreprise et de bien gagner ma vie.

Ma vie est une vie ordinaire et très bien

Article écrit par M, 4e 5

 

Immigré pour un projet professionnel

Je vais vous présenter le parcours de mon oncle.

Il vivait dans une petite située au nord de l’Algérie qui s’appelle Djimla. Il a quitté son pays natal où il n’avait pas de travail et vivait chez ses parents.

Il a quitté l’Algérie il y a cinq ans pour se rendre à Dubaï. Quand il est arrivé dans les Émirats Arabes Unis, il s’est installé dans un appartement dans le centre de la ville puis il a passé un concours pour devenir professeur d’anglais.

Plus tard, il a déménagé pour se rapprocher de l’université dans laquelle il travaille.

Il a donc réalisé son rêve de devenir professeur d’anglais.

Article rédigé par N en 4e 5