Youssoupha

Il rêvait de suivre son père dans la musique,..

Le célèbre parolier et rappeur Youssoupha Mabiki est né le 29 août 1979 à Kinshasa, au Zaïre (devenu en 1997 République Démocratique du Congo). Youssoupha a toujours été un très bon élève en Afrique. . Le but étant de lui offrir la meilleure éducation possible.

Il va, par la suite, obtenir la meilleure note au brevet dans l’épreuve de français parmi tous ses camarades. Chez sa tante, il a la chance de rejoindre des cousins qui sont, eux aussi, bons que lui à l’école, ce qui lui assure un confort certain dans sa progression scolaire. Après un déménagement à Sartrouville (78), il obtient la meilleure note académique (Versailles) à l’épreuve orale de français. Il rejoint ensuite l’université de La Sorbonne, où il décroche une maîtrise en médiation culturelle.

C’est seulement à ce stade qu’il se consacre pleinement à sa musique, le rap « conscient » en prenant soin d’écrire des textes engagés, laissant s’exprimer ses aptitudes linguistiques. De 2006 à 2018, il compose 7 albums (dont 1 maxi, une sorte de mini-album), récoltant à ce jour 3 disques d’or (min. 50,000 albums vendus) et un disque de platine (min. 100,000 albums vendus). Il collabore avec de nombreux artistes français (notamment Médine & Kery James) et assure les premières parties de grands rappeurs américains, tels que Eminem, 50 cents, Method Man, Lil Wayne…

Il choisit de repartir en 2018 en Afrique, en Côte d’Ivoire, à Abidjan pour y installer sa famille, renouveler ses inspirations et développer de futurs projets culturels pour les jeunes ivoiriens, rêvant de faire jaillir leur culture par delà leurs frontières. Il continue de développer le même type de projets dans les quartiers défavorisés d’Ile-de-France.

Article rédigé par Lucas, 4e

 

 

Mélanie Des Jesus Dos Santos

Mélanie est née le 5 mars 2000 à Schœlcher en Martinique. Elle est de nationalité française. Mélanie s’intéresse très tôt à la gymnastique alors qu’aucun de ses parents n’en faisait. Malheureusement il n’y avait pas de place pour elle donc elle fit du judo. C’est alors à 5 ans qu’elle débuta la gymnastique dans le club Gauloise de la Trinité en Martinique. Son entraineur (Elsa Louis) l’inscrit à un stage de la fédération nationale où elle est vite repérée.

C’est en 2012, à l’âge de 12 ans que Mélanie intègre le pôle de France de Saint-Etienne. Elle doit alors quitter son pays natal pour rejoindre la France. Elle avoue avoir eut, pendant six mois, le mal du pays. Elle retournait en Martinique une fois par semestre et ne voyait sa mère qu’une fois par an. Ses entraineurs étaient Eric Hagard qui s’occupait du sol, des barres asymétriques et du saut et son épouse, Monique Hagard qui encadrait la poutre et les chorégraphies.

En 2013, elle devient membre de l’équipe de France, junior. Elle commence à s’entrainer de plus en plus et c’est en 2015 que ses efforts payent, elle est alors vice championne de France.

Alors qu’elle prétendait à une sélection des JO 2016, elle se blesse gravement aux genoux (rupture des ligaments croiser) à la réception de son saut. Cela l’éloigne alors des compétitions pendant neuf mois. Elle est opérée à Lyon par Frank Chotel, un chirurgien très réputé.

Malgré ça elle ne perd pas pieds et donne le maximum d’elle-même pour pouvoir peut-être avoir une chance d’aller aux JO. C’est en 2016 qu’elle reprend les compétitions, mais malheureusement, elle ne sera pas qualifiée pour les JO. Son entraineur affirme qu’il lui aurait fallut quinze jours supplémentaires de préparation. En 2017 elle est sélectionnée pour participer à la prestigieuse Americain Cup où elle remportera la médaille de bronze et la meilleure note en poutre, elle est alors la 5ème meilleure gymnaste du monde. En 2018, elle participe à la coupe du monde à Doha. Elle se classe alors vice championne d’Europe individuelle et par équipe. En 2019, Mélanie se blesse à l’annulaire, mais cette blessure ne l’importe peu car cette année elle est dans toute sa splendeur et est même qualifiée pour les JO 2020.

Mélanie à quitté son pays pour réaliser son rêve, et elle l’a réalisé…

Article rédigé par Justine, 4e 4