Jan 08

Un futur professeur au lycée Camille Guérin en 2016

Un mémoire, Pauline Le Noc stagiaire au lycée Camille Guérin, doit en réaliser un durant son second semestre de l’année pour la validation de son année de stagiaire et sa titularisation. Mais pourquoi ? Qu’est ce qu’un mémoire ? Nous avons été lui poser la question.

CP-WAY : Qu’est-ce qu’un mémoire ?

<< Un mémoire, c’est une activité expérimentale que je mène avec mes élèves. Dont je dois analyser les résultats des différents comptes rendus, pour ensuite faire travail de recherche sur l’attention et la motivation des différents élèves lorsqu’ils sont en groupe de deux ou quatre suivant les activités que je leur donne. >>

    20160425_095831

      Pauline le Noc
(professeur de Physique au Lycée Camille Guérin)

Apprendre à apprendre ‘’

CP-WAY : Cela vous dit quoi ?

<< Alors pour moi, cela signifie que le fait d’apprendre n’est pas quelque chose d’innée, qu’il faut avoir des méthodes d’apprentissage et ceci s’apprend à l’école >>

C’est grâce à son projet, qu’elle pourra ainsi finir son année de stagiaire pour pouvoir ainsi être officiellement titularisée.

Avec l’intervention de Pauline Le Noc

Wissam-Amazigh Yebba et Clément Page

Jan 08

LE FOOT FÉMININ VIENT EN TÊTE

LE FOOT FÉMININ SE DÉVELOPPE-T-IL COMME NOUS LE PENSONS ?

Après avoir fait le tour dans notre entourage et dans le lycée nous avons pu constater que selon le sexe, le foot n’était pas considéré de la même manière. Nous avons fait passer des questionnaires, 29 garçons et 31 filles nous ont répondu.

Dès la première question, nous pouvons voir une différence, 10 garçons ont déjà fait ou font du foot, alors qu’il y a que la moitié chez les filles. Et il existe peu de clubs dans lesquels sont mélangés des équipes masculines et féminines. Ils sont principalement pour les garçons. Ou bien même les entraînements mixtes sont rares, on comprend que c’est surtout dans les clubs de filles, qu’il existe des entraînements mixtes, une nous a dit “Tout les vendredis, on partage notre passion avec les garçons, ça nous change un peu, et on s’apprend de nouvelles techniques, c’est intéressant.”.

Puis nous leur avons demandé si le foot était surtout un sport masculin, et la majorité des garçons ont répondu que oui, alors qu’à l’inverse, les filles pensent que non. Et même si le foot ne serait alors que pour les hommes, tout le monde ou presque pense que le foot féminin a sa place dans le sport français, alors les garçons se contredisent-t-ils ? Nous avons pu avoir la justification d’une fille, qui nous a dit “Mais le foot féminin n’a-t-il toujours pas eu sa place dans le sport ? Bien sûr que si, les garçons ne sont pas valorisés”, elle était bien sûr d’elle, et ça nous a fait plaisir de voir des personnes qui se défendent de cette manière.

Pourtant quand nous leur avons demandé s’ils étaient déjà allé avoir une match de foot féminin, ils ont été très peu à nous répondre que oui.

Nous avons terminé avec une question qui les touché plus personnellement, nous leur avons demandé “Si vous faisiez un match de foot avec votre classe, filles contre garçons, qui gagnerait ?”. Ils ont été nombreux a répondre les garçons parce qu’ils sont “plus doués dans ce domaine”, “ils font souvent du foot”, “les filles sont des feignasses” ce qui est très discriminant, “on est plus physique, avec plus de muscles” cette dernière parole nous a bien fait rire, depuis quand les garçons sont plus musclés ? Puis après les filles se sont bien défendues, “on gagnerait car nous avons la stratégie, l’esprit d’équipe, le précision” ou bien même “comme tous les sports, le foot s’apprend, alors cela dépend de notre façon de jouer, on ne peut pas savoir à l’avance, comme durant nos vrais matchs”, nous dit une jeune footballeuse. Cependant les filles sont plus craintives pour jouer au foot par peur de “se prendre le ballon, et de se faire mal”, alors que les garçons ont plus peur de les blesser, ou des stéréotypes qu’il peut y avoir. Le foot n’est pas le domaine des garçons mais il y a du chemin à faire pour que les filles soient bien intégrées.

 

Esther, Diane

Jan 08

L’arrivée du phénomène manga en France

L’arrivée du phénomène manga en France

Depuis les années 70 le manga: une bande-déssinée japonaise, est devenue culte en France

Cela fait déjà 30 ans, que les mangas se sont imprégnés dans la société française. Mais ce ne fut pas si facile, alors que nous arrivons à la fin des années 70. Goldorack, un dessin animé d’apparence anodine mettant en scène un robot, fut l’un des premiers succès de la jap’anime en France. « Les deux plus vieux manga que je connait ce serait Goldorack et Ulysse 31. »

En 1987, le club Dorothée était une émission télévisée qui était principalement destinée aux jeunes. Les débuts ont été difficile mais c’est grâce à un programme constitué de rediffusion de dessin animé japonais que l’émission su se démarquer et commencer à avoir du

Dessin de Laurana et Loïse

sucées. C’est ainsi, qu’il a été décidé l’année suivante d’acquérir un stock important de dessins animés japonais. Si à l’époque ces séries pouvaient sembler «banales» elles sont devenues aujourd’hui de grands classiques qui n’était autre que le début des mangas. Toutefois certains mangas ont à ce moment là pu choquer des parents, c’est que le manga n’était pas encore renommé en France.

Trop de censure tue la censure

Même si à cette époque, la jap’anime a connu malgré tout un certain succès auprès des jeunes grâce a la parution dans le Club Dorothée il est cependant important de souligner que cette programmation n’était pas des plus évidente. En effet, les scénarios des séries étaient jugés sans intérêts et parfois incompréhensible mais en fait cela provenait des nombreuses censures lors des programmations, mais aussi des traductions qui étaient approximatives et enfin des doublages laborieux ( quatre acteurs pour une vingtaine de personnages ). De ce fait, il n’y avait plus beaucoup de ressemblance, de similitude avec le scenario original. C’est ainsi, qu’un jeune français, Jean Chapolin créa la DIC ( Diffusion Information et Communication ) et décide de contacter le studio Tokyo Movie Shinsha afin de co-produire des dessins animés. Cette coproduction franco-japonaise fut un véritable succès et la maison d’édition Glénat décida d’adapter en manga des dessins animé populaire à cette époque Dragon Ball, Ranma ½ . C’est ainsi que le développement commercial s’est amplifié sous toutes ses formes. ON assiste a une multiplication des créations de magazines permettant d’apporter une notoriété au manga.

Un phénomène

Depuis quelques années, l’instauration de la culture manga en France peut être assimilée à une véritable conquête, du fait qu’il soit classé n°2 du marché mondial de manga. Les mangas représentent aujourd’hui un genre majeur sur le marché de la BD, même si c’est dernières années les ventes de manga ont diminué,mais il n’en reste pas moins un culte.

Le phénomène manga a atteins son apogée, sur internet et on peut retrouver des forums, des chats, des sites et des blogs. Mais pour bien mesurer l’ampleur du manga en France, il suffit de regarder les chiffres de Planète manga qui a été le premier salon du manga organisé à Paris en 1996 et qui avait réuni 40 000 visiteurs. A la

Dessin de Loïse et Laurana

naissance de la Japan Expo en 1999, a permis de recruter de nouveaux adeptes pour atteindre en 2015 le nombre impressionnant de 247 000 visiteurs. Même si le manga a connu différents succès en 30 ans. C’est néanmoins un phénomène qui a su s’imposer et qui laissera sans aucun doute à jamais son emprunte dans la BD et dans l’animation.

Jan 08

Les jeunes, internet et les réseaux sociaux : une vraie histoire d’amour

Utiliser les réseaux sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui…

Un institut a réalisé une étude pour mieux cerner l’usage des nouvelles technologies auprès des enfants âgés de 1 à 19 ans en 2015.

Pour les 13-19 ans, ce sont près de 13h30 par semaine sur Internet, 5h30 pour les 7-12 ans et 3h40 pour les 1-6 ans en 2015. Plus de 50% des utilisateurs surfent dans leur lit. Et les 15-19 ans ne sont que 16% à lire la presse (gratuite ou payante) tous les jours ; pour comparaison, ils sont en Suisse, plus de 50% à le faire.

Ces chiffres font peur à voir, et pourtant, internet et les réseaux sociaux ont quand même quelques avantages. Les jeunes citoyens s’engagent sur diverses activités comme la création, le partage, le vote des contenus sur Internet,etc.

Aujourd’hui les réseaux sociaux attirent de plus en plus d’adolescent et la lecture diminue, Facebook est le premier site communautaire des adolescents et l’inscription se répand à 14 ans. De plus, ils deviennent les premiers canaux de diffusion d’information et favorisent l’interlocution et les échanges synchroniques.

Internet et les réseaux sociaux se distinguent des presses écrites et audiovisuelles par la diversité de contenus et les capacités d’interactivités qu’ils offrent à leurs utilisateurs. Et donc, ils favorisent ainsi l’interlocution et les échanges synchroniques.

Pour conclure, on peut dire que la participation des adolescents semble se faire une place non contre, mais à côté des partis politiques.

Jan 08

Le harcèlement si on en parle pas, ça ne s’arrête pas

La Loi du préau est le titre de cet album de Titeuf. La réalité n’est parfois pas loin de ce titre humoristique et les cours de récréation ne sont pas épargnées par le phénomène du harcèlement scolaire. Il est alors commis par des enfants, des adolescents souvent en groupe, sur un enfant souvent isolé. Pourtant la souffrance bien réelle d’un enfant victime de harcèlement se manifeste de plusieurs façons. Elle peut donc être repérée. Et combattue.

Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école. Elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Lorsqu’un enfant est insulté, menacé, battu, bousculé ou de recevoir des messages injurieux à répétition ; on parle alors de harcèlement.

Les trois caractéristiques du harcèlement en milieu scolaire sont :

La violence, c’est un rapport de force et de domination entre un ou plusieurs élèves et une ou plusieurs victimes.

La répétitivité, il s’agit d’agressions qui réprennent régulièrement durant une longue période.

L’isolement de la victime ; la victime est souvent isolée, plus petit, plus faible, et dans l’incapacité de se défendre.

La victime est souvent critiquée en fonction de son apparence physique (taille, poid, couleur de cheveux), l’orientation sexuelle, le handicap, un trouble de la communication, et ses centres d’intêrets (exemple S.T.M.G.). Le harcèlement peut prendre des formes diverses comme des moqueries, l’attribution d’un surnom, rumeurs, insultes ; il peut y avoir des cas extrèmes comme souvent agressions, harcèlement sexuel et les menaces. Certains signes physiques et/ou psychiques doivent néanmois alerter les parents comme les troubles du sommeil, irritabilité, repli sur soi, troubles liés a l’anxiété (maux de ventre, eczéma), une baisse des performances scolaires, absences repétées, phobie scolaire et dépression. Les risques de harcèlement sont plus grands en fin d’école primaire, elle touche environ 12% des élèves et 5% de manière « sévère voir très très sévère ». Cette proportion décroit légèrement au collège, elle atteint les 10% et au lycée elle est d’environ de 3,4%.

Pour vérifier ces taux et pour savoir comment les enseignants font face à ces cas ? Nous avons été à la rencontre de Mme. Béconnier Perreira et M. Gonnin, CPE du lycée Camille Guérin de Poitiers et CPE du collège Camille Guérin de Poitiers.

« Nous travaillons avec les élèves sur des affiches, nous explique Mme. Béconnier, des vidéos, nous communiquons un maximun avec eux en EMC avec le professeur principal de la classe et l’infirmière du lycée.»

« la moitié des éléves ne pense pas qu’ils faisaient du harcèlement, donc ils se sont calmés, d’autres ont continué […]. Je pense qu’au départ, le harceleur est quelqu’un qui doit avoir un problème avec lui-même, soit il veut exister à travers un groupe et avoir un comportement méprisant envers une personne pour se sentir supérieur ou cela peut être une rancoeur du passé. Cette année et d’autres années, j’ai déjà sanctionné des éléves, j’ai eu des entretients avec les harcèleurs, j’en ai informé la famille, je leur ai expliqué la loi, puis j’ai mis des avertissements. » voici l’interview que madame Béconnier nous a réservé.

Contrairement au lycée, le harcèlement au collège est difficile à distinguer et très compliqué à cesser. Et pour cause, nous avons pu interroger M. Gonnin.

« Nous ne savons jamais si cela est simplement des moqueries de collégiens ou vraiment du harcèlement quotidien.

Mais nous travaillons aussi avec des vidéos, mais beaucoup plus avec des jeux en vie de classe, acccompagné du professeur principal et l’infirmière du collège. Bien que nous fassions tout contre le harcèlement, les moqueries nous ne pouvons pas les arrêter. »

voici le témoinage de M. Gonnin.

Dès lors, qu’une telle situation de harcèlement scolaire est détectée, une réaction associant sanction claire et ferme et perpective éducative doit être mise en place. Quelques outils pour combattre le harcèlèment, le gouvernement sensibilise et informe la population grâce à un site web «Agir contre le harcèlement». Même les établissements scolaires se mobilisent au travers de vidéos, affiches, dessins… Si malgré toutes ces mesures, rien n’y fait, restent les sanctions. Il faut prévenir la direction de l’établissement scolaire qui prendra des mesures et déposer plainte au près du procureur de la République.

Les sanctions infligées par l’établissement sont les avertissements, blâmes, exclusion temporaire ou définitive. Cela peut aller jusqu’aux santions pénales ; si le harcèleur à 13 ans ou moins, il ne peut en aucun cas aller en prison ou payer une amende. Si le harcèleur a plus de 13 ans ; il risque de 6 mois à 18 mois de prison et jusqu’à 7500 euros d’amende. Pour le harceleur majeur ; il encourt de 1 à 3 ans de prison et de 15000 à 45000 euros d’amende (en fonction de la gravité des actes).

Si toutefois vous êtes victime de harcèlement ou témoin, voici 10 conseils:

  1. Il faut se confier à une personne proche de vous

  2. se protéger

  3. signaler un abus

  4. il y a même un numéro de téléphone qui est le 3020

  5. vous pouvez porter plainte contre l’harceleur.

  6. Il faut aussi soutenir la victime

  7. ne pas rire

  8. en parler avec la victime

  9. ne pas participer aux moqueries

  10. convaincre la victime de se battre contre le harcèlement.

C’est en en parlant le plus possible qu’on luttera le plus efficacement contre le harcèlement scolaire.

« Briser la loi du silence, un éternel défi ».

CR.VP

 

Jan 08

César doit mourir (critique du film)

César doit mourir est un film produit par les frères Taviani.

Les réalisateurs du film ont mis en scène les répétitions d’une adaptation de la pièce de Shakespeare, Jules César. Les comédiens jouant dans cette pièce sont des prisonniers d’une prison de haute sécurité italienne. Une grande partie du film est visionnée en noir et blanc pour montrer que les scènes diffusés se déroulent dans le passé.

Vers le début du film, les frères Taviani auditionnent les prisonniers pour distribuer les rôles. Pour ce faire, ils demandent à ces derniers de dévoiler leurs informations personnelles en exprimant deux émotions opposés. Dans cette séquence, on découvre les personnalités parfois inattendues des anciens criminels, qui n’hésitent pas à exagérer leurs traits de caractère.

Les réalisateurs du film ont dévoilé les répétitions de la pièce de Shakespeare pour donner l’impression au spectateur de le vivre en même temps que les comédiens.

Concernant le plan cinématographique, les plans de caméra sont variés. Cela permet par exemple dans la scène du meurtre de César de lire les expressions de Brutus et César (gros plan sur le visage) ou de représenter les personnages dans la globalité lors de l’affrontement entre l’armée de Brutus et celle D’Octave (plan d’ensemble).

Vers la fin du film, l’acteur jouant Cassius dans sa cellule exprime son point de vue, qui est également celui divulgué par les réalisateurs, sur sa condition lors de la préparation de la pièce.

Il devient le porte-parole des réalisateurs en affirmant qu’il considère son manque de liberté dans sa cellule.

Ce film est convenable dans l’ensemble et peut faire réfléchir le téléspectateur sur certains points délicats à traiter comme l’importance de l’art. A regarder sans modération

Jan 08

“César doit mourir “, des frères Taviani

L’histoire se passe dans une prison de haute sécurité de Rebibbia, à Rome. Des détenus passent une audition afin d’intégrer une troupe de théâtre qui jouera la célèbre pièce ” Jules César “, de William Shakespeare. La plus part sont condamnés à perpétuité, ou à de longues peines, ils n’ont donc rien à perdre, et surtout pas de leurs temps. Le casting est la première occasion de découvrir le visage des prisonniers jouant dans la pièce, où ils doivent se présenter de deux manières différentes. Les frères Taviani ont choisi de filmer les répétitions, la vie de prisonnier des détenus en noir et blanc, afin de les différencier avec les scènes de la pièce, qui sont filmées en couleur. Car, les acteurs sont de vrais prisonniers, ce sont leurs vrais condamnations, leurs passés, aussi lourds puissent-ils être …         Dans l’incarnation de leurs personnages, il y a quelque part un peu de vérité. Par exemple, le rôle du musicien est attribué à un détenu sachant jouer de l’harmonica.                                                              Il y avait, à certains moments, des tensions voir des règlements de compte entre les prisonniers, mais généralement, les détenus s’entendaient bien. Ils le devaient, car, en prison leur vie n’es pas très mouvementée, donc on peut dire que la pièce est une événement majeur pour eux. Les prisonniers ont touché, découvert l’art. Et maintenant que la pièce est finie, leurs yeux se sont ouverts, ils ne définissent plus comme des “scruteurs de plafond “, leur vie parait plus plate, sans l’excitation de monter une pièce de théâtre, qui leur donnait un but, et surtout leur permettait de s’évader de la dure réalité. ” Depuis que j’ai connu l’art, cette cellule est devenue une prison”. Car pour un prisonnier, l’art est la seule forme de liberté.                                                                                                                     J’ai bien aimé ce film, car il n’y en a pas beaucoup qui prennent des prisonniers comme acteurs. Comme le film était en version originale, entendu l’italien était plutôt agréable et le fait que le film ne porte pas que sur la pièce de Shakespeare a permis d’alléger ( tout est relatif, les acteurs sont en prison ) un peu le contenu.

 

 

Jan 08

César doit mourir

César doit mourir est un film réalisé par Paolo Taviani et Vittorio Taviani, deux frères cinéastes. Le film est sorti en 2012 et a récolté depuis, plusieurs prix prestigieux.

Le film se déroule dans une prison de haute sécurité, avec des acteurs peu communs qui ne cessent de surprendre dans le film. On assiste alors à la fin de la pièce de “Jules César” de Shakespeare, les lumières s’éteignent, les couleurs disparaissent pour laisser place au noir et blanc exprimant le passé.

Que vont finalement devenir ces acteurs hors du commun?

Un film qui m’a plu et qui plaira à beaucoup d’autres pour sa simplicité d’exécution tout en restant peu ordinaire. Néanmoins le seul reproche que je pourrais faire, est que le film est tout simplement un peu trop court à mon goût et qu’on aimerait en voir davantage. Cela reste un très bon film. Je le conseille donc à toutes les personnes qui aiment le cinéma qui change et qui ne ressemble à aucun autre.

Jan 08

La prison, l’art et César

Durant 6 mois , des prisonniers de Rebibbia vont passer un casting puis jouer une pièce de Shakespeare, Jules César. On voit leur répétitions afin de jouer la pièce ce qui créé des tensions et ne facilite pas tout…

J’ai bien aimé ce film car je le trouve touchant malgré des acteurs qui ont commis de graves délits. Cela nous montre l’univers difficile des prisons et parfois nous ne savons pas si les acteurs répètent la scène ou sont dans la vrai vie ce qui rend le film touchant et mystérieux. J’ai aussi bien aimé la jeu du noir au blanc durant la vie normale et la couleur lorsqu’ils sont en train de jouer, lorsqu’ils sont “libres”. Je trouve que la morale donnée par  l’histoire est juste et dit que l’art est une forme de liberté et fait parfois changer.

Je conseille ce film à tout le monde car il est très instructif pour les jeunes comme pour les personnes âgées.

Jan 08

L’homme qui aimait les femmes

Bertrand Moran est un homme qui a eu une enfance difficile durant laquelle sa mère ne s’occupait pas de lui. Il aime les femmes et par dessus tout, leurs jambes nues marchantes. Il décide alors d’écrire un roman qui parlera de ses nombreuses relations amoureuses.

Personnellement, je n’ai pas tellement aimé ce film, je l’ai trouvé lent et long. Certaines choses, ne sont pas assez développées alors que d’autres le sont trop à mon goût.Cependant d’autres choses étaient bien comme l’enfance du personnage qui nous fait comprendre sa vie d’adulte ou encore le fait d’avoir montrer l’enterrement au début de l’histoire et de faire un flashback de sa vie.

Je conseille ce film au personnes patientes qui regardent beaucoup de film mais aussi au personne qui comprennent toutes les subtilités des films.