Jan 26

BILAN H “LES MÉLANGES”

Bilan H « Les mélanges »

I) Définitions :

Un mélange homogène contient des constituants qu’on ne distingue pas à l’œil nu.

Un mélange hétérogène contient au moins deux constituants visibles à l’œil nu.

II) Exemples :

mélanges hétérogènes mélanges homogènes
eau + huile menthe à l’eau
eau + beaucoup de sucre eau  + peu de sucre
sable + eau eau + alcool (gel  hydroalcoolique)
eau saturée en sel eau + peu de sel

III) La filtration

La filtration permet de séparer les particules (solides) d’un mélange hétérogène afin de le rendre homogène.

IV) La décantation

La décantation permet de séparer les particules les plus denses ou le liquide le plus dense au fond d’un mélange hétérogène afin de le rendre homogène.

V) Transformation chimique ou dissolution

  • Une transformation chimique peut avoir lieu lorsqu’on mélange certaines substances chimiques : il se forme alors de nouvelle(s) substance(s) chimique(s).
  • Une dissolution est un phénomène où un solide se disperse dans un liquide et forme un mélange homogène. Si le solide ne se disperse pas totalement, le mélange reste hétérogène.

 

Jan 26

Activité Documentaire « Le sel de Guérande »

Victor et Diane arrivent à Guérande et découvrent la production du sel lors d’une visite des marais salants.

Une saline comprend un ensemble de bassins destinés à extraire le sel de l’eau de mer. Les marais salants sont situés sur des sols argileux permettant l’étanchéité des bassins. L’eau s’évapore naturellement sous l’action du Soleil et du vent.

Fonctionnement d’une saline :
A chaque marée, la mer monte dans un canal appelé étier. En été, le paludier ouvre une trappe sur de grands bassins nommés vasières. Ces bassins servent à la fois de réservoir et de bassin de décantation d’eau. C’est dans ce basin que l’eau de mer se débarrasse de sa vase.
Puis, l’eau décantée de la vasière, circule dans une suite de bassins de moins en moins profonds : d’abord le cobier, ensuite le tour d’eau avant d’atteindre les fares. L’eau circulant alors sur une faible profondeur s’échauffe, s’évapore facilement et devient de plus en plus concentrée en sel. En entrant dans le cobier, l’eau de mer contient uniquement 35 grammes de sel par litre d’eau alors qu’à la fin du circuit, elle en contient 280 g par litre ! Cette eau fortement salée est appelée saumure. Cette saumure est admise dans les œillets. Ce sont des bassins rectangulaires très peu profonds où le sel cristallise.

Le sel, déposé au fond des œillets est récolté par le paludier à l’aide d’une raclette à long manche appelé le las. De gros tas de sel dont formés puis ils sont laissés sur place pour que le sel sèche. Le sel est ensuite entreposé dans des hangars appelés la salorge. On récupère aussi dans les marais salants, le caviar du paludier : « La fleur de sel ». Elle est récupérée sur la surface de l’eau avec un outil appelé la Louse avant que le sel ne cristallise au fond des œillets. Une fois le sel récolté, il est tamisé, trié puis empaqueté afin d’être vendu.
Le travail du paludier est différent au cours de l’année, l’automne et l’hiver est consacré à l’entretien de la saline (curage des vasières et entretien des bassins ). Le printemps est consacré à la remise en service de la saline, avec le nettoyage des fares et des œillets avant la prochaine récolte de sel qui se fait l’été.

Le sel de Guérande :

Cliquer sur le lien suivant pour accéder au site d’informations

http://www.seldeguerande-herve.com/

Cliquer sur le lien suivant pour accéder à la vidéo

https://www.youtube.com/watch?v=oAWMS9nIBrI

A partir des liens précédents, répondre aux questions suivantes :

act doc les marais salants

1) Comment appelle-t-on le métier d’une personne qui récolte le sel ?

2) L’argile est-il perméable ou imperméable à l’eau ?

3) Comment appelle-t-on l’outil de la récolte du gros sel ?

4) Comment appelle-t-on l’outil de la récolte de la fleur de sel ?

5) Comment s’appellent les petits bassins de récolte du sel ?

6) Quel est le phénomène naturel que subit l’eau permettant de récupérer le sel ?

7) A quelle saison récolte-t-on le sel ?

8) Quelles conditions météorologiques favorisent la séparation du sel de l’eau ?

9) Quel traitement mécanique subit le sel après la récolte ?

 

Jan 17

Activité expérimentale « Café raté »

Au p’tit dèj, Diane a raté le café de Victor. Le marc de café est resté dans la tasse !!!!

 Comment rendre buvable le café de Victor ?

  • Proposer une ou deux expériences (lister le matériel)

  • Schématiser les ou l’expérience(s)

  • Réaliser les ou l’expérience(s)
  • Compléter les observations sur les schémas
  • Rédiger une phrase de conclusion

Jan 14

Activité expérimentale « Les mélanges »

Activité expérimentale « Réalisation de mélanges »

Victor et Diane envoient deux échantillons dont les photos sont présentées ci-dessous :

eau boueuse

eau du marais

eau de source

Définitions :

Un mélange homogène contient des constituants qu’on ne distingue pas à l’œil nu.

Un mélange hétérogène contient au moins deux constituants visibles à l’œil nu.


Observer les deux échantillons puis préciser à partir des définitions précédentes la nature de ces deux mélanges.

L’eau de source est un mélange ………………………………………………

L’eau du marais est un mélange …………………………………………………


Réaliser des mélanges simples en suivant le protocole

melanges huile vinaigre sel-min

  • Dans le tube A, verser une pointe de spatule de sel dans de l’eau
  • Dans le tube B, verser une spatule de sable dans de l’eau
  • Dans le tube C, verser un peu d’acide acétique (vinaigre)  dans de l’huile
  • Dans le tube D, verser de l’eau dans du sirop de menthe
  • Dans le tube E, verser un peu d’alcool (éthanol) dans de l’eau
  • Dans le tube F, verser une spatule de sucre dans peu d’eau
  • Agiter doucement les 6 tubes à essai puis laisser reposer

Faire le compte-rendu d’expériences

Nom, prénom et classe

Titre : les mélanges

1) Réaliser (au crayon de papier et à la règle) des schémas représentants les 6 tubes à essai à la fin des expériences.

Les particules solides sont représentées par des croix x

Les liquides sont délimités par une surface plane et horizontale.

2) À partir des définitions, trier en deux catégories, les mélanges ci-dessus. (tableau à deux colonnes)

3) Que se passerait-il si on mélangeait le tube B avec le tube D dans un bécher ?

4) Réaliser ce mélange puis schématiser le bécher G puis préciser la nature du mélange (hétérogène ou homogène)

Vider l’ensemble des tubes à essai dans l’évier. (Le sable restant dans le tube à essai)

Jan 10

Bilan G « La cellule : unité de base du vivant »

Bilan G « La cellule : unité de base du vivant »

Une cellule contient :

  • une membrane plasmique : elle délimite les contours de la cellule.
  • un noyau : qui se trouve au centre de la cellule
  • un cytoplasme : c’est l’espace entre la membrane plasmique et le noyau de la cellule.

Remarques : Les bactéries n’ont pas de noyau.

Les organismes unicellulaires contiennent une seule cellule.

Les organismes pluricellulaires contiennent plusieurs cellules organisées.

Vierschilling / Pixabay

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jan 03

FICHE MÉTHODE : Utilisation du microscope

https://www.youtube.com/watch?v=X9BVxngGH7o

 

1.Positionner correctement le microscope.

Je place généralement la crosse du microscope face à moi. Je vérifie que le petit objectif est dans l’axe du tube optique.

2.Placer la préparation.

Je pose la préparation sur la platine, en la glissant sous les ressorts, puis je la déplace pour mettre l’objet à observer au dessus du trou central.

3.Régler l’éclairage.

J’allume l’éclairage (j’oriente le miroir si il y en a un) et je contrôle la luminosité dans l’oculaire. Je peux éventuellement régler la luminosité en ouvrant ou fermant le diaphragme.

4.Faire la mise au point.

Je descends le tube optique le plus bas possible à l’aide de la grosse vis (macrométrique) de mise au point en regardant sur le côté et j’arrête la descente si le tube optique se bloque. Je regarde dans l’oculaire, et à l’aide de la grosse vis de mise au point, je remonte le tube optique jusqu’à voir une image nette.

5.Explorer la préparation.

Je déplace la préparation sur les côtés et d’avant en arrière. Je choisis l’endroit le plus intéressant et je le centre.

6.Changer de grossissement et calculer le grossissement.

Pour changer de grossissement, je place la zone à agrandir au centre de la platine, puis je change d’objectif en tournant le barillet. Ce changement d’objectif se fait du plus faible vers le plus fort grossissement. J’effectue alors une nouvelle mise au point.

Attention, j’utilise uniquement la petite vis (micrométrique) lorsque je suis au fort grossissement.

Pour calculer le grossissement, je multiplie le nombre indiqué sur l’oculaire par celui de l’objectif utilisé.

7.Ranger le microscope.

Je repositionne le petit objectif dans l’axe du tube optique. J’enlève la préparation. Je vais ranger le microscope en le tenant correctement (une main sur la crosse et l’autre en dessous du pied) et verticalement.