Mar 24

Un espoir pour les Guignard

(Nouvelle de Joséphine)

Clara a 19 ans, elle est grande, brune aux cheveux longs et elle a de beaux yeux verts. Elle est en terminale au lycée Camille Guerin de Poitiers. Elle a un petit frère, Ethan, 13 ans en quatrième au collège Camille Guerin, à  Poitiers également. Ils habitent dans une maison mitoyenne. Elle est au 7 rue de la Citrouille. A côté de la maison, il y a un petit parc avec un tourniquet et un toboggan où Clara et Ethan jouaient lorsqu’ils étaient petits. Ils vivent avec leurs parents Brett et Caroline. Ce sont des parents gentils. Tous ensemble, ils forment une belle famille même si les tensions sont parfois présentes. Ils sont la famille Guignard. Mais ils n’ont pas de grands- parents, enfin si, ils en ont mais ne les voient plus car concernant le côté de leur mère, ils sont morts et du côté de leur père, ils avaient économisé beaucoup d’argent et après leur retraite sont partis vivre a Hawaï.
Seulement, un jour alors que Clara était avec son frère chez eux pour la soirée car leur parents étaient invités chez des amis, elle reçut un appel d’un numéro inconnu. Elle décroche. On lui parle. Son visage se décompose. Elle regarde son petit frère, et s’effondre. Ethan ne comprend pas tout de suite, il panique, court prendre sa sœur dans ses bras. Il lui demande ce qui ne va pas.
Clara tente de sortir quelques mots:
“Ils sont morts, un accident de voiture, ils sont morts…”
Il n’en faut pas plus à Ethan pour comprendre. Il s’effondre à son tour. L’enterrement a lieu trois jour plus tard. C’est un jour pluvieux, le peu de personnes venues ont un parapluie. Il n’y a que des amis, ils étaient fils et fille unique. Mais les amis sont là pour les soutenir. Clara dit quelques mots, Ethan, lui n’a pas voulu. Quelques jours plus tard,Clara reçoit une lettre du notaire de leurs parents : elle doit venir le voir à son cabinet dans la semaine, elle doit être accompagnée de son frère. Ils s’y rendent donc le jour suivant. Il lui explique qu’étant donné qu’ils n’ont aucune famille Clara va devoir devenir le tuteur légal d’ Ethan jusqu’à ses 18 ans ou bien qu’une famille l’adopte. Ils seront cependant placés dans un foyer car Clara ne peut pas payer le loyer et a manger. Ils devront également vendre la maison, et vont recevoir le maigre héritage de leur parents.
Les semaines passent et Clara ne va plus au lycée, elle n’en a plus envie et n’y arrive plus, ne comprend plus, en plus elle n’avait pas beaucoup d’amis. Elle ne sort plus, ne prend plus soin d’elle. Pour combler le tout, Ethan non plus ne va plus au collège et devient violent avec ses camarades, Clara a été souvent convoquée dans le bureau du directeur. S’il ne se calme pas, il va être renvoyé. Vivre dans un foyer c’est dur : les autres ne sont pas forcément gentils avec eux, ils viennent d’arriver et ont donc eu droit au fameux bizutage d’arrivée. La nourriture n’est pas très bonne. Heureusement, il y a les animateurs, ils sont là pour soutenir les jeunes du foyer. Clara s’entend bien avec eux, ils lui remontent le moral et l’aident à trouver un travail. En revanche, Ethan ne les aime pas vraiment, ils a l’impression qu’ils ont pitié de lui et c’est tout. Il est de moins en moins au foyer, il traine dans la rue avec ses nouveaux amis du foyer, d’après Clara ils n’ont pas l’air très net.
Une année est passée depuis la mort de leurs parents, Clara a maintenant 20 ans et Ethan 14. Ils reprennent doucement goût a la vie. Ils ont tous les deux redoublé mais sont détermines à passer a la fin de l’année. Clara s’est trouvé un travail et a les moyens de louer un petit appartement où elle vit à présent avec Ethan. Ils ont abandonné la demande d’adoption. Ils vivent maintenant dans la bonne humeur. Ils n’ont plus peur de l’avenir.

Mar 19

Star Wars (6e critique)

On pourrait croire que Star Wars n’est qu’un film de science-fiction mais Lucas prétend avoir voulu réaliser un mélange, et surtout une œuvre d’imagination. On y trouve en effet un mélange de western de mythologie et d’histoire de samouraïs. De plus, Star Wars a connu et connaît encore un grand succès en Europe. Ses différents épisodes plaisent souvent aux adolescents, grâce à leurs effets spéciaux, comme le son des lasers, grâce aussi au duo comique de C3PO et R2D, dont les voix sont obtenues par mixage de voix humaines et de sons synthétisés. Enfin, on est plongé dans un monde manichéen qui permet de s’évader de la vie quotidienne.

Dans l’épisode IV, que j’ai vu, j’ai beaucoup aimé le cadre spatial, qui n’est pas commun. Je me suis prise d’affection pour R2D2 et C3PO, les inséparables. Cependant, je n’ai pas vraiment apprécié la violence de Dark Vador ni son équipement, trop imposant, même pour ce qui est de son masque, qui ne nous permet pas de voir son visage. Le septième épisode, intitulé « Le Réveil de la Force » est sorti en décembre dans les salles. Nul doute que ce sera un volet culte de la saga.

Zoë S.

2de 6

Mar 19

Star Wars (5e critique)

Il faut aller voir la saga. On y trouve un couple de comiques, les deux robots C3PO et R2D2. On y découvre surtout la véritable histoire de cette Guerre des étoiles. Grâce à notre quatuor de choc, on voudra suivre cette quête dans les étoiles, sans en perdre une miette. Arriveront-ils à leur but ? Pour le savoir, il faut aller suivre leur histoire. Grâce à des effets spéciaux hors du commun, accompagnés de leurs bruitages, on est au coeur de l’action, et peut-être même aura-t-on l’impression d’être aux côtés des personnages, et l’on se passionnera pour leurs aventures.

C’est un film surprenant et très prenant. On rentre très vite dans l’aventure du quatuor. C’est un film très bien fait. C’est aussi un film plaisant pour les amateurs de science-fiction.

Tifenn B.

2de 6

Mar 19

Star Wars

Pour moi, il est inutile d’aller voir ce film car il n’en vaut pas la peine. Je trouve qu’il est peu intéressant. Bien évidemment, certains passages prêtent à sourire (les dialogues entre R2D2 et CP3PO ou les attitudes de certains personnages) mais c’est un type de film vu et revu, un film manichéen. Deux camps s’affrontent à la fin, celui des vainqueurs et celui des perdants, une jeune fille doit être sauvée, la princesse Leïa, et un méchant mégalomane aux plans diaboliques doit être arrêté, Dark Vador. Pour l’originalité, on repassera.

Clément P.

2de 6

Mar 18

Star Wars

L’histoire d’un apprenti Jedi qui prend confiance en lui et a le courage d’aller combattre contre ses adversaires pour aider la princesse Leïa donne du mouvement au film et captive le spectateur. D’autant plus que les effets spéciaux sont très bien réalisés. Ce film nous fait ressentir plusieurs émotions. Par exemple, à la mort de l’oncle et de la tante de Luke Skywalker, on ne peut qu’être touché et c’est alors que commence réellement l’histoire. En effet, Luke n’a alors plus aucune excuse pour ne plus aller combattre. On assiste également à des scènes comiques entre les deux robots, R2D2 et C3PO. Leur relation peut aussi nous émouvoir car on ne s’attend pas à de l’amitié entre deux machines. Le film a également beaucoup de suspens, par exemple lorsque le vaisseau de Luke est pris sur la planète de Dark Vador, on se pose beaucoup de questions sur ce qui va se passer par la suite. On voit aussi quelques scènes d’amour. On dirait qu’Han Solo tombe sous le charme de la princesse Leïa mais la jeune femme semble préférer Luke.

Louisa B

2de

Mar 15

L’homme qui aimait les femmes

           Dans cet article, nous allons nous intéresser au film “L’homme qui aimait les femmes” de François Truffaut. Ce film met en scène Bertrand, un homme d’une cinquantaine d’années, travaillant dans le test de maquettes de transport. Ce personnage cherche à certains moments du film la compagnie des femmes, allant parfois inventer des prétextes pour les rencontrer.  Peu de temps après des rencontres brèves, il décide d’écrire un livre sur ses expériences passés, ou il y raconte le moindre détail sur ses anciennes maîtresses, la manière dont ce sont déroulés les évènements et même les leçons qu’il en a tirées…

Le réalisateur a fait en sorte de conserver la régularité des scènes du film, en y ajoutant des détails récurrents comme les gros plans sur les jambes des femmes. Ce genre de détail peut gêner les personnes peu habitués à ce choix artistique. Le sujet abordé par le film risque (peut-être) de gêner certaines personnes, étant donné que le personnage a des relations avec  plusieurs femmes durant le film (les sujets en relation avec le sexe ont toujours été controversées). Cependant, Bertrand est un personnage beaucoup plus complexe qu’on ne le pense, qui n’hésite pas à dévoiler dans son livre des remarques objectifs sur lui-même.

Ce film ne pourra s’adresser qu’a un public averti, qu’il soit de jeunes adultes ou des personnes plus âgées. Il apportera un point de vue critique sur les manières d’aimer et tentera de faire réfléchir sur un sujet, jugé tabou par la société.

Mar 15

Droit au but

Droit au but

Dans deux jours c’est la finale tant attendue du Paris Saint Germain et du FC Barcelone aux parc des Princes où la foule sera présente, les photographes prendront des photos, où les lumières monteront vers le ciel. Vers 21h00 à Lyon au 22 rue Antoine de Saint Saint-Exupéry, Mehmoud prend son petit déjeuner dans sa cuisine toute bleue avec une grande horloge sur le mur de la fenêtre. Il est déjà stressé à l’idée de ce jour contre une si grande équipe , avec des joueurs de légende tels que Messi, Iniesta, Neymar ou encore Suarez. Plein de joueurs qui ont su trouver le cadre au bon moment. Tout à coup, il se leva, s’habilla, prit ces clés et alla voir son ami Jean qui résidait quelques rues plus loin à côté de la boulangerie dans une grande maison toute blanche avec une multitude de fleurs. Quelques minutes plus tard, ils partirent à l’entraînement dans un grand stade avec toute l’équipe réunie.

Le jour tant attendu du grand match était enfin arrivé. Tout le monde était au rendez-vous.

Nous étions dans de grands vestiaires où tout était à disposition. Nous pouvions sentir peu à peu l’adrénaline monter. Alors même qu’on eut fini de s’habiller, l’entraîneur Richard Pope prit la parole.

Il nous expliqua de manière stricte les emplacements exact de chaque joueur. L’objectif ainsi que la détermination.

Quelques minutes plus tard, nous rentrâmes dans ce gigantesque stade où la pelouse était toute resplendissante. Le coup d’envoi sonna, je pris la balle et j’allai directement dribbler la défense Barcelonaise pour pourvoir marquer et avoir mon heure de gloire. Quand, tout à coup, je sentis une grande jambe, c’était celle du plus grand joueur de la saison.

En effet, il m’arracha le ballon des pieds avec une application extrême. Puis il courut et fit une passe en profondeur au plus fort joueur de tous les temps. A ce moment précis la peur me traversa le corps. Tout à coup le gardien fit un bon de trois mètres et arrêta donc la balle.

La match était très serré et difficile et les joueurs très fatigués. Lorsque l’arbitre siffla la fin du match, Jean me fit un centre magique, j’ai donc sauté très haut, j’ ai donné toute mon énergie afin de ne pas louper cette occasion et tapai le ballon d’une force spectaculaire telle qu’il rentra dans le but.

Je ne réalisai pas l’ampleur de l’événement, je courais partout, embrassai mon entraîneur et les membres de l’équipe.

Nous étions en tête, l’arbitre fit retentir la fin du match.

Nous arrachâmes la victoire et fîmes la fête tout au long de la nuit.

(Amine)

Fév 11

L’histoire d’un nom et de sa transformation en ablatif

Comment a-t-il pu osé ? Je croyais qu’on était amis. Nous étions tous les deux des Noms, fiers de l’être. Mais un jour, il m’a trahi, il est parti avec un participe … Et s’est rabaissé à l’état de pronom ! Je me sentais seul, sans ami, j’ai cru que je ne le reverrais plus. Il est alors revenu et m’a annoncé qu’il n’était pas avec n’importe quel participe, mais avec un participe passé ! Quel manque de goût ! Son partenaire est tout mou, passif, il subit le temps et est si nostalgique ! Pour me venger, j’ai donc décidé de trouver moi aussi ma paire. Ah le pronom, il peut être jaloux, celui-là ! Mon beau participe présent est aussi courageux que moi, vit le jour le jour ;  lui au moins est actif, et fidèle ! Ah ! J’ai trouvé le plus noble des alter-ego. Avec un amour absolu, nous nous sommes unis solennellement en jurant de rester en toutes circonstances ablatifs, serviteurs de la Phrase, nous lui apporterons toujours notre soutien inconditionnel. Notre première mission sera de marquer le règne du roi Tullus en le complétant. Vive la Phrase !

Fév 11

Un roi absolu

Dans une époque humoristique et moyenâgeuse, vivait un roi nommé Ablatif. Il possédait un pouvoir absolu et était tellement bavard qu’il ne pouvait s’empêcher de compléter les phrases des autres en blablatant. Il contaminait tous ses sujets qui avaient le malheur de participer à une de ses conversations. Cette maladie transmise par le roi avait des conséquences sur les actions de ses sujets qu’ils soient fainéants (passifs) ou hyperactifs (actifs).

En cas de guerre, les sujets fainéants et hyperactifs étaient séparés. Les femmes fatiguées allaient combattre dans la 1er garnison (1er déclinaison), les hommes et les outils de guerre dans la 2ème. Tous avaient un fidèle cheval de la race supin sur lequel les fainéants s’appuyaient. Les hyperactifs étaient envoyés dans la 3ème garnison (3ème déclinaison) et avaient non pas un cheval-supin mais un cheval de race ns/ntis.

Ainsi se déroulait la vie dans le royaume de roi ablatif avec son pouvoir absolu.

Jan 26

Je me suis levée ce matin

Je me suis levée ce matin

Je me sens bien

J’ai à peine eu le temps de manger un bout de pain

J’ai dû aller voir mon voisin

Je lui ai serré la main

Je lui ai parlé de mon nouveau lapin

Avec beaucoup d’entrain

Il m’a dit qu’il voulait aussi en avoir un

Je suis repartie sur mon chemin

Pour aller chercher mon cousin

Ça me rappelle cette histoire-là

Qui se déroula à Doha

Où elle rencontra son papa

Qui lui dit “Ola chica !”

Et ça s’arrêta là !

Aurélia et Eléa