La légende de Herobrine

Connaissez-vous l’univers de Minecraft, ce jeu très populaire actuellement ? Je vais vous parler ici d’un de ses monstres de légende.

Herobrine est un personnage de creepypasta, c’est-à-dire du domaine de l’horreur. Il paraît qu’il serait mort lors de la création de Minecraft et qu’il est venu hanter ce jeu.

Dans une version de Minecraft, Herobrine aurait était banni du jeu mais ses apparitions continuent. Des personnes pensent qu’Herobrine serait le frère de Notch, le créateur du jeu, mais lors d’une interview Notch affirme ne pas avoir de frère, d’autres personnes pensent que c’est l’un des anciens employés de Mojang (le groupe qui a créé le jeu vidéo), le débat reste crucial. Il peut tout de même apparaître grâce à des mods (contenus supplémentaires) créés par les fans : You are Herobrine, Humans + et Herobrine… (où il y a son totem.), qui permettent de le représenter tel que le décrit la légende.

Herobrine ressemble à un joueur ayant l’apparence (skin) d’un joueur normal par défaut mais avec des yeux blancs.

La première légende sur lui dit qu’Herobrine est un mineur aveuglé qui attaque les joueurs pour protéger ses ressources. La deuxième légende dit qu’Herobrine serait le frère décédé de Notch (le créateur du jeu) et que donc Herobrine attaque tous les joueurs qu’il rencontre par vengeance.

Ce personnage peut poser des panneaux et écrire des choses angoissantes dessus (« Tu vas disparaître », « Salut », « Derrière toi ! », « Attention ! », etc.), créer des pièges reliés à de la TNT, construire des tunnels de 2 blocs de haut et des pyramides, faire un bruit très fort et contrôler des poules hostiles, spawner des mobs au yeux blancs, se téléporter et donc disparaître et réapparaître, vous attaquer avec une épée en diamant, ressusciter les mobs agressifs et rajouter des bugs au jeu. Avec tous ces pouvoirs, il peut vous vaincre en quelques coups.

Quelques youtubeurs affirment qu’ils l’ont trouvé et certains l’auraient vaincu mais il reste très difficile à trouver lors d’une partie.

Matteo C.

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