Fév 17

« Sans toit ni loi » , Agnès Varda

Sans toi ni loi est un film réalisé en 1985 par Agnès Varda. Dans ce film, la narratrice relate les dernières semaines de Mona, une routarde qui est morte de froid dans le fossé d’un champ. Pour ce faire, Agnès Varda alterne flashbacks et témoignages des personnes rencontrées par Mona.

Mais si les flashbacks nous donnent des informations sur Mona, les témoignages, eux, décrivent plus le caractère des témoins : Assoun, un des seules personnages qui s’est attaché a Mona, est le seul témoin à ne pas parler.

Enfin, il y a plusieurs détails qui ne sont pas forcements remarqués. Le titre du film est un jeu de mots avec “sans foi ni loi”, les deux cyprès ( arbres qui symbolisent la mort ) sont présents dès le 1er plan, le gendarme constatant le décès de Mona cache le travailleur sûrement par racisme, la sortie de Mona des eaux de la mer fait référence au tableau La naissance d’Aphrodite de Botticelli.

Fév 17

Critique du film “Sans toit ni loi”

Sans toit ni loi est un film d’Agnès Varda qui parle des « nouveaux pauvres », les vagabonds, sans-abris qui sont apparus à partir des années 80. Le personnage principal de ce film, Mona, joué par l’actrice Sandrine Bonnaire, à l’époque âgé de 17 ans, est une vagabonde qui erre de villages en villages. Présenté sous forme de documentaire, le film raconte son dernier hivers avant sa mort au travers des différents témoignages des gens qu’elle rencontre sur sa route qui seront tous plus ou moins marqués par elle.

J’ai bien aimé le fait que Mona soit montrée comme une femme forte, courageuse, qui a fait le choix de vivre comme une marginal. Elle ne fait pas pitié malgré le fait qu’elle vive dans une grande misère et Agnès Varda la montre de manière à faire d’elle une héroïne qui va jusqu’à être enviée, comme avec le personnage de Yolande, une femme de ménage qui la verra dans le château de son oncle et qui se mettra à envier sa vie de liberté total. On ne s’attend pas à croiser un personnage comme elle durant notre vie car en général on possède une image négative des routards, des gens sales avec une vie douteuse, souvent alcoolique ou droguer. Malgré ça Mona ressort comme un personnage positif, fier de son mode de vie. Malheureusement sa vie en marge de la société l’expose à de très nombreux risques comme la faim, les hommes qui la prenne pour un objet sexuel, ou encore le froid qui la fera d’ailleurs mourir.

De plus Agnès Varda étant une photographe et peintre en plus d’être cinéaste, les plans de son film sont en général esthétiques et superbement bien filmés malgré les contraintes de devoir réaliser sans décors artificiels, directement dans le paysage naturel.

Comme il est présenté sous forme d’un documentaire j’ai moins aimé la lenteur du film qui s’éternise, le peu d’actions qui s’y déroulent le rendent lent et on se lasse vite au fur et à mesure que l’histoire passe. De plus les plans très travaillés d’Agnès Varda sont parfois tellement subtils qu’on a l’impression que certaines scènes ne servent à rien comme pour l’histoire autour des platanes avec Madame Landier qui était en fait sensé être une métaphore la vie de Mona, ou à la fin avec la scènes représentant les pailhasses (une fête hérité du Moyen Age très peu connue) qui est incompréhensible sans les connaissances nécessaires. Enfin le choix d’Agnès Varda de prendre des amateurs pour jouer les personnages secondaires n’est pas très compréhensible car on s’aperçoit très bien qu’ils ne savent pas jouer et c’est parfois très perturbant en plus de remettre en question la crédibilité de l’histoire.

Donc, Sans toit ni loi est bien un film d’auteur particulier et complexe mais qui reste marquant par son engagement pris envers les routards, les vagabonds et qui expose clairement leur situation.

Fév 17

Sans toit ni loi

Sans toit ni loi est un film français d’Agnès Varda, sortit en 1985 en France. C’est Sandrine Bonnaire qui interprète le rôle principal, soit celui de Mona, une jeune femme marginale sans abri, par choix, ayant décidé de quitter son emploi de secrétaire, que l’on retrouve morte de froid dans un fossé dès le début du film. La suite est une succession de souvenirs la concernant elle et les personnes qu’elle a pu rencontrer et qui ont joué un rôle plus ou moins important dans sa vie. On en voit certains qui regrettent leur comportement envers elle, se trouvant peut-être trop durs, puis d’autres qui l’ont sûrement déjà oubliée après qu’elle soit partie. C’est intéressant de voir les différentes façons qu’ont chacun de se comporter face à Mona et de voir que certains la rejettent alors que d’autres la prennent sous leur aile, comme Mme Landier qui fait entrer Mona dans sa voiture et qui lui achète de la nourriture. Un début de complicité se crée entre elles, avant que Mme Landier ne laisse la vagabonde au bord de la route, près d’une forêt, chose qu’elle regrettera par la suite.

Au final, c’est un film qui fait réfléchir et peut-être changer le point de vue que l’on porte sur les personnes sans-abri et exclues de la société. Je le conseille aux adultes et aux adolescents capables de comprendre le film et le message qu’il souhaite faire passer.

Fév 17

Critique film “Sans toit ni loi”, Agnès Varda

Le film Sans toit ni loi a été réalisé par Agnès Varda en 1985. Ce qui a particulièrement retenu mon attention est la construction du film qui conduit l’héroïne, Mona, à une descente aux enfers jusqu’à sa mort inéluctable. En effet la première scène nous montre Mona gisant au fond d’un fossé. Nous nous trouvons donc dans le registre de la tragédie.

Ce film traite d’une jeune femme, Mona, qui abandonne son ancienne vie symbolisée par la démission de son poste de secrétaire afin de s’affranchir de la société au nom de la liberté et devient sans domicile fixe. Tout au long de son voyage elle est abandonnée et oubliée successivement par une dizaine de personnes qui n’éprouvent aucun regret à l’exception de Mme Landier.

Ce film m’a particulièrement plu de part son réalisme et la performance très impliquée de Sandrine Bonnaire qui joue le rôle de Mona et également par les jeux de caméras. Effectivement, tout au long du film, la caméra très présente, suit Mona en effectuant plusieurs travellings latéraux tout au long de son voyage jusqu’à la dernière scène du film où Mona monte la colline qui mènera à sa mort tandis que la caméra la délaisse à son tour en s’arrêtant au pied de la colline. En revanche le choix de Mona de vivre en marge de la société dans des conditions insalubres me semble peu judicieux. En effet sa conception de la liberté la conduit à la solitude et à la mort. Le titre est très révélateur à cet égard et porteur de jeux de mots : Sans toit ni loi signifie également “sans foi ni loi” et “sans toi”. C’est exactement ce dont Mona va faire l’expérience au fil de son voyage. Les hommes sont des êtres sociaux qui ont besoin de la société pour se développer.

En conclusion, on éprouve un sentiment de tristesse et de compassion vis-à-vis de l’héroïne amplifié par l’opposition finale entre son corps seul, sale et à l’agonie et son regard vide, rivé vers le lointain, une liberté qu’elle n’aura jamais.

Au final, je recommanderais ce film qui contraste avec la “norme” sociale même si la démarche utilisée par Mona se révèle vaine. D’autres démarches sont possibles pour conquérir sa liberté personnelle.

Fév 17

Critique du film ” Sans toit ni loi ” d’Agnès Varda

Sans toit ni loi est un film réalisé en 1985 par Agnès Varda, célèbre réalisatrice française. Inspirée d’un fait réel, qui parle d’une sans-abri retrouvée morte dans un fossé, elle crée à partir de témoignages fictifs, l’histoire de Mona, une sans-abri. Dans ce film nous allons retracer la vie de cette jeune fille, quelques mois avant sa mort. Ce film a plus l’air d’un documentaire car dans ce film peu de personnes sont de vrais acteurs. Mona est, elle, jouée par Sandrine Bonnaire, jeune actrice déjà connue à l’époque. Dans ce film peu de personnes ont un regard positif sur elle, les autres personnes la méprisent la plupart du temps, sûrement car elle n’a pas de situation stable et la considèrent comme une fille facile. Mona a un très fort caractère et refuse parfois l’aide que l’on veut lui apporter car elle pense différemment de cette personne.

Je trouve que ce film nous fait prendre conscience de la vie que mène les personnes sans logement ni emploi et ainsi l’on comprend ce que la vie représente. Je trouve que l’actrice dans le rôle de Mona joue très bien et donne vie au personnage. J’ai beaucoup apprécié les scènes avec Madame Landier  car au fur et à mesure du temps qu’elle passe avec Mona, elle commence à l’apprécier ce qui n’était pas le cas au début. Je trouve aussi que la scène de la gare est touchante car l’on voit que Mona commence a perdre un peu la tête.

Je n’ai pas aimé les moments du film où les personnes méprisent Mona et parle mal d’elle car je trouve que c’est un manque du respect envers elle. Mais je pense que c’était le but d’Agnès Varda pour nous faire réagir. De plus je n’aime pas le moment où Mona est à l’agonie car je trouve ce moment trop triste car il fait très réel.

Je conseillerais ce film aux adolescents car cela leur permettra de prendre conscience de la vie que mène les marginaux et les sans-abri et leur fin est souvent tragique.

Fév 17

Critique du film Sans Toit Ni Loi d’Agnès VARDA. ( critique de Marion)

Le vendredi 3 février 2017, nous sommes allés voir le film Sans Toit Ni Loi réalisé par Agnès VARDA en 1985. Ce film met en scène les derniers mois de vie d’une jeune femme se nommant Mona (Sandrine BONNAIRE) et ayant choisi d’être vagabonde. Elle montre la dure loi du monde extérieur.

Tout au long du film, Mona se fait prendre en auto-stop et rencontre le plus souvent des personnes qui ont une opinion différente de la sienne.  Certains veulent l’aider mais cette dernière est bien décidée à conserver sa liberté. La musique accompagne Mona durant ses trajet. Celle ci est plutôt calme mais angoissante au début du film, car en effet l’histoire commence par la découverte du cadavre de la vagabonde donc la fin. Le film d’Agnès VARDA se repose sur des témoignages d’individus ayant côtoyés Mona avant sa mort. Cependant la musique étant lente, cela provoque un sentiment de longévité du film, ce qui peut potentiellement ennuyer le spectateur. Elle  a marqué tout ceux qu’elle a croisés par sa façon d’être.

Mona est une femme très déterminée et rebelle obéissant à ses propres lois de la liberté. Les autres la voient comme une femme désagréable, mais lorsqu’ils apprennent à la connaître ils se rendent compte que c’est une femme qui a un bon coeur.

Dans le film, les couleurs froides sont très présentes de part la saison étant l’hiver ainsi que l’histoire, mise à part Mona qui porte une écharpe rouge.

Pour conclure ce film boulverse les spectateurs par sa franchise de la réalité et les opinions des individus sur des personnes la plupart du temps invisibles car on ne baisse pas le regard sur eux.

Marion LB

Fév 17

Critique du film “Sans toit ni loi” de Agnès Varda

Sans toit ni loi est un film de Agnès Varda sorti en 1985. Ce film, inspiré d’un fait réel, retrace les dernière semaine d’une routarde nommé Mona jouée par la jeune Sandrine Bonnaire qui n’avait que dix-sept ans à l’époque. Pour rentrer dans le personnage, l’actrice à eu interdiction de se laver pendant deux mois. L’histoire de la jeune Mona est raconté à travers des reconstitutions approximative et des témoignages.

J’ai aimé voir la détermination de Mona dans sa volonté d’être libre et de ne dépendre de personne. Elle a fait un choix qu’elle assume totalement et elle ne se laisse pas faire par les individus qui veulent abuser d’elle ou lui faire du mal.

J’ai trouvé ce film triste, car sous prétexte que c’est une vagabonde, seule, on peut abuser d’elle, et on pense qu’elle est idiote, alors que pas du tout. Tout les gens que Mona à rencontrer l’ont vite oublié et la critique, seuls Assoun et madame Landier l’ont appréciée et ont voulu l’aider.

En conclusion, ce film nous montre que peu de gens veulent aider les personnes dans le cas de Mona et les critique sans savoir pourquoi ils sont dans cette situation, nous ne pouvons pas aider quelqu’un qui ne souhaite pas être aidé, mais nous nous devons de les respecter.

Fév 17

Critique de “Sans toit ni loi” d’Agnès Varda (1985)

Sans toit ni loi est un film dramatique en couleur, tourné comme un reportage, d’Agnès Varda en 2001 avec comme protagoniste Mona joué par Sandrine Bonnaire qui avait 17 ans lors du tournage. Ce film retrace les dernières semaines vécue par Mona, une marginale, avec pour témoignages ses rencontres dont on tire souvent une mauvaise image d’elle. Mona, retrouvé morte dès le début du film, a quitté son travail de secrétaire pour recommencer à zéro une aventure qu’elle vivra au jour le jour. Elle fera des rencontres tout au long du film, sur les routes de l’Hérault et du Gard, de plusieurs personnages la trouvant sale, la traitant comme une prostituée, cependant deux personnages vont équilibrer la balance, Assoun et Madame Landier la platonologue qui porteront un regard positif et qui l’aimeront. Malheureusement elle finira toujours seule, souvent rejeté par les autres ou alors de son propre désir.

Retenons tout d’abord qu’Agnès Varda est une photographe mais elle a réalisé plusieurs films notables dont Cléo de 5 à 7 (1962), elle fut notamment nominé au César de meilleur film et de meilleur réalisateur pour Sans toit ni loi. Le personnage de Mona est bien joué par Sandrine Bonnaire, on retrouve chez elle la femme rebelle qui souhaite la liberté, c’est un personnage qui inspire les autres, c’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle elle a reçu le César de la meilleure actrice. Le film a bien été réaliseé de part ses plusieurs plans dont le traveling sur Mona qui ensuite l’abandonne, mais aussi par les musiques qui accentuent l’aspect dramatique avec les musiques douces, angoissantes et discordantes par exemple lors du début du film et lors de sa mort, on retrouve la même musique. On voit des monologues des personnages rencontrées exprimant leur avis sur Mona, similaire à des reportages. C’est un film que j’ai très bien aimé car c’est un témoignage illustrant la vie dure des marginaux mais qu’ils ont aussi un passé que l’on ignore.

Je pense que c’est une très bonne chose que l’on ait pu voir ce film dans le cadre de lycéens au cinéma et c’est pourquoi je conseille à tous les adolescents et adultes de pouvoir le visionner.

Fév 17

Critique de film: “Sans toit ni loi” d’Agnès Varda

“Sans toit ni loi” est un film dramatique français en couleur d’Agnès Varda réalisé en 1985 avec comme actrice principale Sandrine Bonnaire dans le rôle de Mona.

C’est l’histoire d’une jeune vagabonde, Mona, retrouvée morte de froid dans un fossé, le film retrace dans un semblant de documentaire les quelques semaines précédents sa mort, on l’accompagne au fil de ses rencontres et de sa solitude tout en connaissant dès le début sa fin dramatique.

La réalisatrice, Agnès Varda a réalisé bien d’autres films et documentaires comme Les Glaneurs et la Glaneuse” (2000) ou encore “Deux ans après” (2002).

Celle-ci s’intéresse énormément à la photographie, ce qui donna à ses films de très beaux plans parfaitement cadrés et travaillés, on le remarque dès le début de “Sans toit ni loi”. Le film commence par un plan fixe très long qui se termine par un lent zoom vers la zone où le cadavre se situe. Le plan fixe renvoie à un tableau comme bien d’autres scènes du film. Par exemple, quelques minutes après ce plan fixe on aperçoit Mona nue sortant de la mer, cette scène renvoie à “La Naissance de Vénus” de Botticelli ce qui créé la légende de Mona en quelques sortes.

Le regard de la caméra est le regard que la société porte sur la vagabonde. Mona est marginale, elle “sort” de la société, cela se remarque lorsque la caméra ne la cadre pas parfaitement, lorsqu’elle se retrouve hors champ. Mais la caméra l’abandonne, l’oublie, quand il lui arrive des moments dramatiques comme son viol dans la forêt; la société l’oublie.

Contrairement aux plans, le jeu des acteurs n’est vraiment pas parfait pour la simple raison qu’Agnès Varda a fait un casting pour certains rôles mais pour rendre plus réalistes les personnages, d’autres comme les SDF que l’on croise en partie à la gare sont des vrais SDF que la réalisatrice a recruté pour le film. Mais malgré ce manque de professionnalisme, l’actrice jouant Mona, Sandrine Bonnaire reste quand à elle, une très bonne actrice, lors du tournage n’ayant que 17 ans, celle-ci s’en sort magnifiquement bien, car il lui a fallu un grand mental pour tourner des conditions climatiques si rudes avec des températures bien inférieures à zéro degré, tout en sachant qu’elle n’a pas pu se laver pendant deux mois.

C’est un très bon film, esthétiquement parfait, c’est un chef d’oeuvre même s’il est un peu long, l reste très émouvant. Cela donne une très belle image d’une personne tant critiquée et repoussée par sa différente vision du monde et des biens matériels même si sa fin est dramatique.

Fév 17

Critique du film Sans toit ni loi d’Agnès Varda

Sans toit ni loi est un film d’Agnès Varda sorti le 4 Décembre 1985. C’est un film cinécrit, inspiré d’un fait réel mais aussi sans morale.

C’est l’histoire d’une jeune fille retrouvée morte de froid, dans un fossé, un matin d’hiver. Agnès Varda nous permet de comprendre ce qu’il s’est passé en retraçant les derniers mois de la vie de cette jeune fille, en se posant une question en voix off «Je me demande qui pensait encore à elle parmi ceux qui l’avaient connue petite»? «mais les gens qu’elles avaient rencontrés se souvenaient d’elle […] elle les avait impressionnés, ils parlaient d’elle sans savoir qu’elle était morte… ». Pendant tout son périple la caméra suit Mona tout en s’attachant à elle. Elle traîne et installe sa tente un peu partout. Elle marchera  jusqu’à son dernier souffle.

Ce qui m’a le plus plu dans ce film c’est la construction du film qui relève de plusieurs flashbacks.Mais aussi le fait  qu’Agnès Varda décrit l’errance de son héroïne (Mona) sans jamais s’apitoyer sur elle tout en lui conservant sa noirceur. Autre point que j’ai apprécié ce sont les rares moments touchants qui sont dans ce film, comme le moment du témoignage d’Assoun qui reste silencieux mais qui respire l’écharpe de Mona. Varda va même jusqu’à oser  des situations comiques.

En revanche, ce qui m’a moins plu dans Sans toit ni loi est le fait que les personnes positives pour Mona (Madame Lambert, Assoun…) finissent tous par l’abandonner.

Je conseille aux adultes ainsi qu’aux jeunes de voir ce film car il mérite vraiment d’être vu par tout le monde. Rien que pour l’histoire,  et la force de ce témoignage qui touche encore beaucoup de personnes de nos jours.