Echo News

Un autre regard sur le monde

L’Entreprise SUMMOP 86

Classé dans: Non classé,Société — Antoine Guillot @ 14:56 le vendredi 12 juin 2009

La summop 86 fonctionne depuis 2002 et propose les services et réalisations suivants: conception  de projets (étude de moule et outillage divers) ; conseil et co-ingeniérie (faire profiter ses clients de son savoir faire et de ses idées) ; usinage des pièces d’ensemble et forme 3D ( modèle, prototype, ect…) ; fabrication de moules prototypes et séries pour fonderie; plasturgie et polyuréthane ( soit en usinage soit en modelage); réalisation , modification , maintenance et réfection d’outillage de production ( gabari de contrôle et de soudure , outil de découpe, machine spécial …).

Chronologiquement, c’est dabord dans un bureau d’études que se fait la conception de moules et d’outillages assistés par ordinateur (CAO), puis intervient la fabriquation assistée par ordinateur (FAO) qui instruit les parcours d’outil en atelier car tout est en réseau . Vient ensuite l’usinage et le modelage par les machines qui réalisent la frabrication de moules prototypes et séries à partir de résine, d’aluminium ou d’acier sculpté pour donner forme aux moules ou à la piece mécanique.

Les moyen de production sont des machines équipées de magasins d’outils qu’elles choisissent en fonction du programme informatique: le fraisage, (l’une des machine, unique dans notre département, possède cinq axes de grande capacité), le tournage, la rédification, l’électro-érosion par fil ou enfonçage, l’ajustage et pour finir le contrôle métrologie ( mesure de la pièce par rapport à la définition  numèrique des plans ) qui se fait dans une salle climatisé maitenue à la température constante de 20° selon la norme .

 

Clientéle et crise économique

Les piéces confectionnées partent enfin chez les clients . La SUMMOP 86 travaillait jusqu’en Septembre 2008 à à 80% pour les équipementiers automobiles mais avec les méfaits de la crise elle a perdu six d’entre eux , la part tombant par le fait à 10% . Le chef d’entreprise a dû compenser cette perte en accentuant la diversification de sa clientéle puisée dans l’industrie , ce qui reduit sa baisse de production seulement à 40% par rapport au chiffre d’affaire de 2008. Les autres secteurs compensatoires sont l’aéronotique , le bâtiment , la cosmétique , le feroviaire , la mécanique , la fonderie , le nautisme , la plasturgie et le paramédical . .

Les effets de la crise ont aussi eu des conséquences néfastes sur l’emploi : jusque là, la SUMMOP 86 a toujours été dans une phrase ascendante en création d’emplois ( deux personnes par an jusqu’en 2008) . Mais le chef d’entreprise a été contraint de procéder à trois licenciements , ce qui raméne l’effectif total salariés à 13 personnes sur 16 auparavant . L’un des employés sacrifiés bénéficie néanmoins d’une formation de six mois à l’AFPA de Châtellerault ( Agence de Formation Professionelle Adulte ) , ce qui permettra plus de polyvalence car Monsieur Guilloteau compte bien le récupérer quand la conjoncture sera meilleure . Par ailleurs, la diversification de la clientéle s’est doublée d’une diversification de métiers avec la fabrication de moules  à mécanique générale de précision . Compte tenue de la crise , aujourd’hui , l’entreprise fonctionne plus en maintenance qu’en création de fabrication d’outillages neufs .

Cette société, comme beaucoup d ‘autres  en France, souffre de la concurrence direct des pays asiatiques à “low coast”. Monsieur Guilloteau explique que le savoir faire acquis durant 40 ans puis exporté a permis à des pays comme la Chine ou l’Inde  d’etre formés en quelque années pour finalement se développer au détriment du tissu industriel français, qui étouffe progressivement car dans ce secteur, aucune mesure de protection n’a été prise.

De ce fait les clients équipementiers ont une pression des constructeurs pour fair élaborer leurs outillages dans ces pays; c’est pourquoi toutes les affaires traitées et réalisées dans le nôtre sont négociées à des prix sans marge et souvent à perte. Il est bien clair qu’à cette allure les métiers que nous pratiquons vont disparaître dans les années à venir. Cela rapelle ce qui s’est produit  dans les métiers de la confection  pratiquement tous disparus à ce jour en France . Monsieur Guilloteau tient donc à faire passer un message aux donneur d’ordres: “c’est maintenant que nous devons être soutenus pour nous retrouver tous après cette crise mondial”.

http://www.summop86.fr

Assistante sociale: un travail exigeant

Classé dans: Société — 78N @ 16:24 le vendredi 29 mai 2009

Mme Lacroix est assistante sociale du collège Arthur Rimbaud de Latillé et d’autres établissements scolaires. Elle est en première ligne pour constater l’impact de la crise.

Mme Lacroix aide en particulier les élèves du collège et leurs parents. Elle a choisi ce métier pour se sentir utile. Les adolescents qu’elle voit, ont en moyenne  entre 11 et 20 ans, plus leurs parents. Ce qui lui prend beaucoup de temps, ce sont les problèmes de maltraitance.

Cependant la majorité de ses rendez-vous sont pris à cause de problèmes financiers. Mme Lacroix confirme ” depuis le début de la crise les problèmes financiers ont beaucoup augmenté, je travaille donc beaucoup plus que ce que je suis censée faire, environ 10 heures de plus “. Et puis, aujourd’hui, avec tous les moyens de communication, les enfants viennent plus facilement la voir qu’ en 1984 lorsqu’elle a débuté.

Dans son métier ce qui l’ intérresse le plus, c’est le contact avec les adolescents et le travail en équipe.

Nicolas, Tiphanny et Quentin

Fais moi la courte échelle !

Classé dans: Société — axel.carteron @ 16:20 le vendredi 29 mai 2009

La Courte Échelle de Latillé gère une boutique solidaire pour les personnes à faibles revenus. Elle fonctionne sur le mode associatif. La Courte Échelle regroupe une épicerie solidaire et une boutique de vêtements.

Créée en 2004, « La Courte Échelle » aidait 11 familles en difficulté. Aujourd’hui 10 fois plus, il y a environ 100 familles qui la fréquentent. Depuis le début de la crise économique, Mme Christine Farvault (secrétaire de l’association) a constaté une augmentation du nombre de dossiers « à chaque ouverture il y a un nouveau dossier ».

L’épicerie est ouverte aux personnes à faibles revenus, la boutique est ouverte à toute personne.

 

les bénévoles devant la Courte Echelle

les bénévoles devant la Courte Echelle

L’association

L’association fonctionne grâce à une cinquantaine de bénévoles stables. Le local, situé à Latillé, a été acheté par la Communauté de Communes, donc le magasin ne paye pas de loyer. Pour vivre , l’association peut compter sur les subventions du Conseil Général , la Caisse d’allocation familiale , la vente de vêtement et des dons. Leurs objectifs sont d’aider les personnes en difficulté, créer un lieu de rencontre accueillant et aider les bénéficiaires à s’insérer.

 

Les vêtements

Les vêtements proviennent de dons. Ils doivent être en bon état, propres et non démodés. On y trouve des vêtements de marque. Les vêtement sont vendus de 1 à 10 €. Mme Guillermet Evelyne s’occupe de cette boutique. L’argent récolté par la vente concourt à l’achat des produits de l’épicerie.

 

L’épicerie

L’épicerie vend de tout: produits frais, produits d’entretien, produits d’hygiène mais pas d’alcool. Elle se ravitaille auprès de la banque alimentaire, des dons, des surplus alimentaires des grands magasins et grâce à la vente des vêtements de la boutique. Les personnes à faibles revenus ne payent que 10% du total des achats, par exemple un produit d’une valeur de 10€ sera vendu 1€. Il y a une limite d’achat par mois a ne pas dépasser. Pour une personne le prix maximum est de 10€ soit en valeur réelle 100€. Les clients font leurs courses avec un bénévole qui prend les produit que le client choisit. Les clients doivent posséder la carte CMU (couverture maladie universelle) ou être au chômage. Ils sont acceptés sur dossier, présentés par des assistants sociaux. Une garderie accueille les enfants pendant que les parents font leur courses.

 

Grâce à la Courte Échelle, des familles en difficulté ont retrouvé une situation financière stable. Mais Madame Farvault conclue: << une Courte Échelle pour les 13 commues de la communauté de commune, ce n’est pas assez…>>

 

Carteron Axel                                                                                  Bouchet Anthonyn

 

Puce informative: Épicerie La Courte Échelle 8 rue du Marché 86190 Latillé, 06.16.08.17.67.

Jours d’ouvertures: Épicerie + Boutique le 2eme Mardi et dernier Samedi de chaque mois

Boutique tout public le 2eme Mercredi et le 2eme Samedi de chaque mois

 

 

Tabagisme chez les jeunes: billet d’humeur

Classé dans: Collège,Société — xavier.thubert @ 13:21 le vendredi 6 février 2009

J’ observe qu’ il il ya de plus en plus de jeunes qui fument avant l’ âge de 15 ans : le tabac entraine le développement de maladies et c’ est dépenser de l’ argent pour rien. L’ETAT devrait faire plus de pévention pour éviter les maladies :

-Par exemple intervention dans les établissements scolaires , ou avec des spots publicitaires à la télévision ou à la radio.

Même si l’ on sait que l’ on peut développer un cancer dans 15 ou 20 ans cela parait loin! Or plus on commence à fumer tôt , plus le risque d’ étre dépendant du tabac est qrand.

Les jeunes et les vieux prenez vos briquets et paquets de cigarettes, jettez-les à la POUBELLE !!!!!

Xavier

agriculteur éleveur

Classé dans: Société — xavier.thubert @ 16:21 le mardi 27 janvier 2009

Monsieur Michel Dupuis est agriculteur à Latillé  dans sa ferme de la Gorliére depuis les années 70. Il nous parle de son travail et de l’ évolution de son métier.

Au début M.  Michel Dupuis était céréalier en blé et colza essentiellement. Comme cela ne rapportait pas suffisamment d’ argent, il s’ est lancé dans l’ élevage pour compléter ses revenus. Ainsi , il produit du lait de chèvre. Son troupeau se compose de 130 chèvres qui produisent une moyenne de 1000 litres de lait tout les 3 jours. Lait est vendu à l’ entreprise Poitouraine de Naintré.

AUJOURD’ HUI : ce métier a changé depuis ses débuts. Pour exercer, il a fait 4 ans d’ études (la formation de céréalier et d’ éleveur) en même temps, mais maintenant il en faut plus. Les normes environnementales sont aujourd’ hui beaucoup plus strictes. Par exemple il faut installer une cuve pour récupérer les eaux de rinçage de la machine à traire, avant ce n’ était pas utile. Il a précisé également que le matériel avait fait des progrès. Les engins se sont modernisés et sont plus faciles à manipuler. Certains produits dangereux ont été suprimés comme le liseron.

+

LES DIFFICULTÉS DU MÉTIER : L’ élevage devient de moins en moins rentable car le coût des mises aux normes est élevé et les aliments coûtent de plus en plus cher pour l’ élevage; il y a de plus en plus de travail car il faut que ce soit de bonne qualité.

Pour notre agriculteur , l’ avantage essentiel reste que l’ on est son propre patron.

xavier

LES DANGERS D’INTERNET !!!

Classé dans: Collège,Société — margaux.chauvin @ 17:56 le vendredi 16 janvier 2009

Après enquête auprès des élèves de notre collège, nous avons constaté que près de 36 personnes sur 60 sont déjà tombées sur un site internet qui ne correspondait pas à leurs recherches. Pour éviter cela, certains parents activent le contrôle parental qui bloquent tous les sites pour les adultes.

     Depuis quelques années l’ordinateur est devenu un moyen qui mobilise environ 80 % de la population. 

 Il y a environ 41 personnes sur 60 qui parlent sur des chats ou sur des forums de discussion. Lorsque vous discutez en ligne, vous ne connaissez pas les personnes avec qui vous parlez. Elles peuvent vous mentir ou vous racontez n’importe quoi. Dans le pire des scénario cela peut entraîner des enlèvements voire même des crimes. Il faut se méfier des informations que l’on communique en se connectant sur un site. Pour cela, il ne faut pas donner ses vraies coordonnées aux personnes que vous ne connaissez pas ou que vous avez rencontrez par l’intermédiaire d’internet.

     Méfiez-vous lorsque vous entrez sur des sites et vérifiez que les descriptifs correspondent à votre recherche. Pour cela nous vous conseillons ces trois sites qui pourront vous aider a éviter les dangers que l’on peut rencontrés lorsque l’on fait une recherche sur internet:

                                                                 1.www.cnil.fr

                                                                 2.www.travail-solidarité.gouv.fr

                                                                 3.www.internetsanscrainte.fr 

Marine et Margaux

Disparition du tuning en France ?

Classé dans: Culture & Loisirs,Société,Sport — 78N @ 17:00 le jeudi 12 juin 2008

Avant la loi du 12 juin 2003 on pouvait rouler en voiture tunée sans se la faire retirer par les forces de l’ordre. On pouvait changer quelques piéces de la voiture…

Hebergeur d'images

photo Emeline


Depuis cette loi il n’est quasiment plus possible de modifier sa voiture sans courir le risque de se faire retirer sa carte grise. L’Etat considère que les voitures tunées ont un caractère dangereux : les néons peuvent créer des court- circuits, l’utilisation de protoxyde d’azote (gaz propulseur) peut provoquer des explosions, l’abaissement de la caisse peut endomager le véhicule au passage des ralentisseurs. Cette loi de cadrage permet d’éviter des morts et des dégats dus aux accidents.

Mais les tuners passionnés sont contre cette loi. En effet, il ne leur reste plus que le choix de la peinture et des décorations à condition de ne pas éblouire les autres conducteurs. Cependant, sur circuit, le tuning est toujours autorisé sans restriction. Le problème c’est que les tarifs sont élevés ( environ 350€ pour le circuit NURBURGRING en Allemagne ) et il faut une seconde voiture pour la route et une remorque spéciale pour la voiture tunée ( + permis ) . Sans compter la double consommation de carburant et les assurances !.

Toute passion a un coût !Un vrai passionné ne compte pas . Pour ceux qui n’ont pas d’argent nous conseillons le maquettisme (pas cher) ou le tuning virtuel (gratuit). Si un tuner veut circuler avec son véhicule il doit appeler la DRIRE pour obtenir le droit de rouler sur la route.

Tout ça est dû à une législation qui fait davantage confiance aux constructeurs qu’aux préparateurs (tuneurs professionnels). Malgré celà, certains résistent toujours (comme PAROTECH ect..qui continuent à préparer des voitures). A force de ne pas respecter la loi voila où cela nous mène!!.

Nicolas,Romain,Jason