Echo News

Un autre regard sur le monde

Lavausseau prend du poil de la bête !

Classé dans: Culture & Loisirs,Non classé — gaetan.penaguin @ 15:51 le vendredi 29 mai 2009

A Lavausseau se trouve la ” cité des tanneurs ” à proximité de la Boivre. C’est Ludovic Guignard qui en est le tanneur.

Qu’est-ce qu’une tannerie et qu’es-ce qu’on y fabrique?

La tannerie est un bâtiment qui consiste à transformer la peau putrescible en peau inputrescible pour ensuite en faire des peaux de décoration

 En quelle année a- t-elle été crée ?

La date précise n’est pas certaine mais à patir de 1182  il existe un écrit qui atteste son existence. Elle n’a jamais cessé de fonctionner .

  Quels types de peaux utilisez-vous ?

Nous utilisons des peux de bovin, caprin , reptile et tout ce qui est considéré comme nuisible dans la région comme le renard et le ragondin En théorie on peut tanner tout ce qui à du poils et exeptionnellement des peaux exotiques

 

    Pour tanner des peux, utilisez-vous des produit toxiques dangereux ? Comment sont évacuées les eaux mélangées aux produits ?

Oui, nous en utilisons en faisant attention, cela dépend de la concentration. Les eaux usées subissent un prétraitement  interne puis  partent en décantation ( sous la tannerie ) et sont envoyées à la station d’épuration  .

Avez-vous des projet futurs ? Pouvez-vous nous les dévoiler?

Oui, nous avons un projet pour le dévelopement de la fréquention  touristique déjà existante,  dans à peu près un an pour faire découvrir le patrimoine de Lavausseau sur le projet de la “cité du cuir “.

Par : Tillet Florence, Rousselière Matthieu et Penaguin Gaétan.

Puce informative: http://www.lampaul-guimiliau.com/22/lavausseau/index.html

Slam au collège

Classé dans: Collège,Culture & Loisirs — gaetan.da_silva @ 17:56 le vendredi 23 janvier 2009

Il y a maintenant un an que le collège A. Rimbaud de LATILLE pratique l ‘atelier «slam» animé par deux slameurs qui interviennent dans le collège : Maël alias Onisuka et Olivier alias Le gaucher. Nous, élèves de quatrième, participant à cet atelier, avons interviewé ces deux slameurs.

Onisuka, slameur

Onisuka, slameur 

Quand avez-vous découvert le slam ?

Le gaucher : «j’ai découvert le slam en 2007 par un copain qui faisait du rap. Il me l’a fait connaître.»

Onisuka : «alors,moi j’ai découvert ça en 2000, donc il y a 8 ans, grâce à un film qui s’appelle «Slam» de Marck Evin et qui montre l’itinéraire d’un jeune de banlieue américaine qui se retrouve dans une histoire de meurtre alors qu’il n’y est pour rien.Il va écrire et la poésie va lui permettre de se faire respecter dans la prison. C’est grâce à ce film que j’ai découvert le slam. Ca m’a marqué»

Pourquoi faites-vous du slam ?

Le gaucher : «j’aime les mots,on peut dire ce que l’on veut : la liberté de s’exprimer».

Onisuka : «M’exprimer , dire les choses que j’ai envie de dire, entendre les autres, c’est aussi important pour moi, la part de dire les choses mais il y a toujours la part d’écouter ce que les autres disent et ça crée des moments d’échanges qui sont plaisants.»

Comment trouvez-vous l’inspiration ?

Le gaucher : « je pars d’un mot qui me fait rebondir sur un autre. Par exemple je prends «faire du vélo» et je vais voir ce que ça donne.»

Onisuka : «ça, ça dépend, ça varie beaucoup : il y a des jours, elle est là , il y a des jours, elle n’est pas là. Il y a aussi par cycle : il y a des cycles où on n’ écrit rien et il y en a où on écrit énormément et moi c’est souvent dans la voiture en conduisant que ça vient».

C’est quoi le slam pour vous ?

Le gaucher : «C’est un espace de liberté, c’est créatif, on entend des choses que l’on n’ a jamais entendues et on découvre les gens.»

Onisuka : «alors «slam» vient du mot «chelem», par exemple le rugby du grand chelem. Donc ça veut dire compétition, c’est un concours. Il y a une autre définition : ça veut dire «percuter»et c’est dire les mots d’un ton assez rapide. Pas comme du Rap mais c’est assez lié. Donc ça vient de là et à partir de là on fait ce que l’on veut. Donc c’est un espace de liberté. C’est vraiment quelque chose pour alimenter le spectacle mais nous on ne fait pas du tout de concours.»

Participez-vous à des concours ?

Le gaucher : « oui, mais c’est des rencontres à Poitiers. Il y a un réseau de slam dans la région : Tours,Angoulême,Paris…»

Onisuka : «Alors moi j’en fais dans la région et moi on m’appelle «slam-master» donc c’est moi qui acceuille les gens, qui les inscris et qui tiens les papiers pour passer sur scène. Et donc nous à Poitiers on a une scène de slam 3 fois par mois.»

Exprimez-vous, dites ce que vous voulez grâce au slam qui ,pour l’instant, est une activité que tout le monde peut faire. Même si vous n’avez pas beaucoup de talent, que ce n’est pas payé et que vous n’avez pas d’inspiration. Ne vous inquiétez pas ça viendra tout seul. N’hésitez pas à vous y mettre. Si vous voulez participer à une scène Slam , venez à Poitiers au grand café de la maison des étudiants, tous les derniers jeudis de chaque mois. Et aussi à Tours ; Angoulême ; Paris … … . Mais il y a des règles à respecter:

Il n’y a pas de musique, il n’y a pas de costume, il n’y a pas d’accessoires. C’est trois minutes par texte, pas plus. Le texte est fait par celui qui le dit. C’est ouvert à tout le monde quelles que soient la langue, la culture, la religion. Pas de salaires. A chaque texte un verre offert (un par soirée)

   Par DA SILVA Gaëtan et SLYEMI Nicolas.

L’atelier slam …

Classé dans: Collège,Culture & Loisirs — gaetan.da_silva @ 17:50 le vendredi 23 janvier 2009

     L’atelier slam* a été crée par Madame Gagnant  ( professeur de musique ) qui au départ devait le diriger mais elle  a été embauchée ailleurs. Donc Madame Charbonier ( professeur de français ) a  pris en charge ce projet, avec Madame Renaudie ( professeur de français ), pour trois raisons : C’était un beau projet qui plait beaucoup aux élèves, de l’argent avait été débloqué par une assistance académique culturelle et Les slameurs vivent grâce à ce type de projet avec des salaires.

     12 élèves  participent à cet atelier : Quintard Aurélien, Da silva Gaëtan, Slyemi Nicolas, Sonia Grellier, Salomé Nanou, Noëmie Michelet, Arnaud Rodriguez, Lucie Karida, Tina Bonneau, Fernand Mérigot, Basile Postigo et Dyan Gratien. Ils créent des slams sur le thèmes du collège: Le blouz du dimanche soir ; l’entrée au collège ; les cours ; les récréations ; le self et les portraits de certaines personnes adultes du collège. Il y a deux jours pour l’atelier : le lundi avec Le Gaucher pour les accompagnements sonores et le mardi avec Onisuka pour les textes. Les slameurs viennent toutes les trois semaines et le reste du temps les professeurs encadrent les groupes. Cet atelier sera présenté en avant première lors du spectacle de la chorale le 29 mai 2009 et le 11 juin 2009.

     *Un slam est un texte plus ou moins long (trois minutes de manière générale mais pas pour l’atelier) qui consiste à s’exprimer, faire rire, pleurer, et faire comprendre des histoires, des aventures qu’on a vécues ou pas. Il y a des rimes, des jeux de mots, des allitérations ( répétition de sons continus consonantiques ), il est recommandé de déclammer avec un phrasé, un rythme particulier.

     SLYEMI Nicolas (alias Toshiba) et DA SILVAGaëtan (alis Gadasi)

La campagne au musée

Classé dans: Culture & Loisirs — emeline.aubrit @ 12:09 le vendredi 13 juin 2008

En 1972 le musée paysan de Cherves a ouvert ses portes. Mme Roy, bénèvole au musée, nous parle.

Ce musée contient plus de 1000 objets. Avec tous ces objets on pourrait remplir trois musées. Ce sont les habitants de Cherves qui les ont donnés dans les années 70. A cette époque, c’est Mr André Pacher, qui a lancé l’idée du musée paysan. Cette idée a été reprise par de nombreuses autres communes. A Cherves , les locaux du musée sont loués 1€00/ an à l’association par la commune.

Pour animer ce musée, plusieurs associations donnent de leur temps. Les gens de cherves, la Lyre de Cherves (association de musique et danses traditionnelles), les amis du Palu et d’autres bénévoles. Ce musée est un conservatoire des traditions et coutumes paysannes. On y redécouvre les jouets d’antan, les coiffes, les habits, les anciens tissus comme le droguet, un ancien pressoir, des ustensiles de cuisine, un vieux cellier, un ancien puits et un four à pain. Sur la commune existe aussi un vieux moulin à vent. Monsieur Bernard Meunier en est le responsable.

A l’avenir, le musée pourra se développer à condition que des jeunes bénèvoles s’y engagent. Si les traditions rurales vous intéressent, n’hésitez pa à visiter le musée et à devenir bénèvoles.

infos : le musée de Cherves: ouvert tous les dimanches d’été de 15 h 00 à 18 h 30

http://gensdecherves.free.fr

tél : 05-49-51-58-55

LES ANIMATIONS

Tous les dimanches est projeté un film réalisé par les Gens de Cherves (sauf l’hiver). Le musée est ouvert aux écoles et au public. Il y a en moyenne 25 visiteurs chaque dimanche. La lyre de Cherves recueuille des danses et des chants traditionnels auprès des plus anciens et donne des spectacles de danses et en langue poitevine. Des visite guidées du moulin sont proposées. Parfois il est mis en marche. Le vieux four chauffe aussi de temps en temps, surtout pour des écoles et les fêtes locales. Pour 2008 sont prévues des expositions de patchwork et de photos animaliéres.

Hortense

Disparition du tuning en France ?

Classé dans: Culture & Loisirs,Société,Sport — 78N @ 17:00 le jeudi 12 juin 2008

Avant la loi du 12 juin 2003 on pouvait rouler en voiture tunée sans se la faire retirer par les forces de l’ordre. On pouvait changer quelques piéces de la voiture…

Hebergeur d'images

photo Emeline


Depuis cette loi il n’est quasiment plus possible de modifier sa voiture sans courir le risque de se faire retirer sa carte grise. L’Etat considère que les voitures tunées ont un caractère dangereux : les néons peuvent créer des court- circuits, l’utilisation de protoxyde d’azote (gaz propulseur) peut provoquer des explosions, l’abaissement de la caisse peut endomager le véhicule au passage des ralentisseurs. Cette loi de cadrage permet d’éviter des morts et des dégats dus aux accidents.

Mais les tuners passionnés sont contre cette loi. En effet, il ne leur reste plus que le choix de la peinture et des décorations à condition de ne pas éblouire les autres conducteurs. Cependant, sur circuit, le tuning est toujours autorisé sans restriction. Le problème c’est que les tarifs sont élevés ( environ 350€ pour le circuit NURBURGRING en Allemagne ) et il faut une seconde voiture pour la route et une remorque spéciale pour la voiture tunée ( + permis ) . Sans compter la double consommation de carburant et les assurances !.

Toute passion a un coût !Un vrai passionné ne compte pas . Pour ceux qui n’ont pas d’argent nous conseillons le maquettisme (pas cher) ou le tuning virtuel (gratuit). Si un tuner veut circuler avec son véhicule il doit appeler la DRIRE pour obtenir le droit de rouler sur la route.

Tout ça est dû à une législation qui fait davantage confiance aux constructeurs qu’aux préparateurs (tuneurs professionnels). Malgré celà, certains résistent toujours (comme PAROTECH ect..qui continuent à préparer des voitures). A force de ne pas respecter la loi voila où cela nous mène!!.

Nicolas,Romain,Jason

Le plombier de l’espace

Classé dans: Culture & Loisirs — Antoine Guillot @ 14:56 le mercredi 11 juin 2008

Revoici Mario notre plombier un peu enveloppé.

Il revient dans une aventure où il va devoir sauver la princesse Peach enlevée par Bowser le monstre à la carapace à pointes ( comme d’hab ).Il faut contrôler Mario à l’aide de la Wiimote et du nunchuck ( manettes de nintendo WII ) pour qu’il se déplace de planète en planète à travers la galaxy. La princesse Peach a été enlevée par Bowser pendant la fête des étoiles. Mario pourra se transformer grâce à des déguisements : en «Mario abeille» il pourra voler pendant un court  moment, en « Mario glaçon » il pourra geler l’eau qu’il touche, en «Mario fantôme » il pourra traverser un grillage, en «Mario ressort» il fait d’énormes sauts, en «Mario flamme » il peut lancer des boules de feu, en «Mario arc-en-ciel» il devient invincible et sa vitesse augmente ainsi que la hauteur de son saut.

Note

Graphisme: 9/10  les graphismes sont en 3D, la réalisation nous en met plein la vue

Vie du personnage: 3/10 on n’a que 3 points de vie pour un jeu super.                            

Difficulté du jeu : 8/10 mais il faut s’y habituer

Musique: 10/10 des belles musiques et très entrainantes                                     

Maniabilité: 10/10 Mario répond au doigt et à la wiimote

Note du jeu: 40/50

En mode multijoueurs le jeu est très décevant: le 2ème joueur n’est qu’un curseur sur l’écran!!!!

Points forts: Mario se contrôle parfaitement bien!

Points faibles: Le jeu a une fin , on cherche encore!

Notre avis: la difficulté fait son intérêt mais un regret: son prix

JEU EXCLUSIVEMENT SUR WII

Editeur: NINTENDO , Date de sortie: Le 16 novembre 2007 (déjà en vente)

Auteur: Masahiro Sakurai; Prix : 50€

Anthonyn Bouchet & Axel Carteron

La Wii attitude

Classé dans: Culture & Loisirs — Antoine Guillot @ 11:53 le mardi 27 mai 2008

 Bon anniv’ la Wii !!

Il y a déjà un an au Japon, Mr Miyamoto a conçu une console de dernière génération pour faire découvrir une nouvelle technologie.

Le 8 décembre 2006 est une date qui marque la sortie de la dernière console made in Nintendo. La Wii est une petite révolution.On a le pouvoir de contrôler les personnages en faisant des gestes avec la manette et elle peut fonctionner en réseau via Internet avec le monde entier .Mais tout ça a un prix : 250 € la console et en moyenne 50 € par jeu. A l’achat, il y a déjà un jeu d’inclus ( Wii Sport ). De plus il vous faudra une grande pièce où mettre la console pour pouvoir vous déplacer en jouant.

Quels sont les accessoires Wii :

– La télécommande Wii

-Le Nunchuk ( pour diriger les personages…)

– Manette classique

– Wii Zaper ( Fusil )

– Pack Sport 4 en 1Wii ( petit matériel sportif )

– Sharp Shotter Wii ( Pistolet )

  • Coques et Skin Wii pour relooker votre console

  • La dragone : lien accroché au poignet pour ne pas laisser tomber la télécommande

Avec la Wii on se croit vraiment dans la peau du personnage. Cette nouvelle fonction gestuelle change des autres consoles : celle-ci permet de faire du sport devant sa console, on bouge mais c’est plus fatiguant qu’une autre console, c‘est en revanche plus interactif !

Nos recommandationsIl faut bien accrocher la dragone pour que la manette ne tombe pas, acheter le nunchuk après avoir acquis la console.

Notre avis : La Wii est cool mais elle est un peu cher et il y a toutes sortes d’accessoires.

Antoine et Bastien

Une reine de la BD à Ayron

Classé dans: Culture & Loisirs,Non classé — gaetan.penaguin @ 16:35 le jeudi 22 mai 2008

Depuis 6 ans, Juliette Derenne exerce le métier d’illustratrice. Venue du Canada, elle travaille désormais à Ayron.

 Dans son métier d’illustratrice Juliette Derenne est à la fois dessinatrice de bande dessinée et graphiste. A partir d’un scénario qu’elle reçoit, elle réalise une mise en image. Grâce à son site internet elle contacte les scénaristes et son éditeur, mais aussi “je rencontre beaucoup d’autres auteurs dans les salons, festivals, pour des dédicaces, la rencontre avec un scénariste est souvent fortuite, il faut un coup de coeur, être au diapason pour travailler ensemble”. Pour réaliser une BD il faut minimum 8 mois. Juliette Derenne, avant de dessiner une planche, se documente beaucoup. Cela représente 50% de son travail, elle utilise internet, les bibliothèques et visite des chateaux et des musées. Elle ne réalise pas que des bandes dessinées, elle est aussi graphiste. Elle crée des affiches, des cartes, des logos pour les entreprises.

   Avant d’être illustratrice, Juliette Derenne était ingégnieur dans les matériaux au Canada. Elle a toujours dessiné pour son plaisir, elle a pris des cours de dessins pendant deux ans. En arrivant en France, elle a découvert la BD et s’est lancée dans ce métier.

      Tout d’abord, elle a illustré la bande dessinée: “les Oubliés, l’Ogre d’Ouganda” écrit par Bionet et Bonifay, aux éditions Bamboo. Cet album a été réalisé avec l’assosiation humanitaire MEDAIR. Il raconte la vie tragique des enfants soldats recrutés de force en Ouganda. Ensuite elle a dessiné les deux premiers tomes de La Reine Margot:” Le Duc de Guise” et “Le Roi de Navarre”. Elle est en train de finaliser le 3 éme et dernier tome, les scénaristes sont Cadic et Gheysens, aux éditions Theloma. Parmi tous ses albums Juliette Derenne nous précise:”j’ai préféré dessiner les Oubliés et La Reine Margot tome 2″.

Ces auteurs de BD préférés sont Christian Lax, Gosciny, Uderzo, Hergé, Rabatte et Chaboutté. Elle aime aussi la bande dessinée indépendante.

    Cette année, elle n’a pas participé au festival d’Angoulême, mais elle sera présente l’année prochaine. Peut être gagnera-t-elle un prix?

            Charlène Rousseau, Typhaine Le daéron, Amandine Delamare

puce informative: http://j.derenne.free.fr