Nov
23

Il s’agit d’un dessin animé produit, avec un immense succès, par un chanteur populaire pakistanais : au Pakistan, la série fait fureur. L’héroïne en est une institutrice, dissimulée sous une burqa pour échapper à ses ennemis, barbus. Son combat ? L’égalité de droits pour les garçons et les filles, l’ouverture culturelle pour tous. Ses armes ? Du papier, des livres, des crayons.

Naïf, présenté comme cela : mais les pakistanais semblent raffoler de cette super-héroïne brisant les tabous jusque dans le religion.

Oui, mais il y a paradoxe : pourquoi affubler d’une burqa une héroïne émancipée ? Par respect pour les religieux ? (on ne doit pas voir les “formes” de la damoiselle : on es loin de Lara Croft) Pour faire vendre ? (le choix de la burqa serait un compromis) Pour faire seulement semblant d’avancer tout en reculant ? (point de vue personnel, oups).

 Lisez l’article ci-dessous : vous le constaterez, cette burqa fait parler, notamment les filles pakistanaises : et ce qu’elles en disent est édifiant.

http://www.liberation.fr/monde/2013/11/17/la-fantomette-d-islamabad_947610

Ensuite, lisez, si vous êtes intéressé(e)s, le très beau livre de Chahdortt Djavann, une écrivaine iranienne : son propos sur le voile est très intéressant.

Nov
23

Call of Duty: ghosts comporte plusieurs modes de jeu (comme certains le savent déjà) : le mode campagne (l’aventure) et le mode multijoueur (en ligne ou justement en multi). Mais d’abord, il nous faut vous présenter le jeu.

  • Intro:

Call of Duty: gosts est un jeu vidéo de tir dévellopé par le studio Infinity ward et édité par Activision. Il est sorti dans les magasins français le 5 novembre. Activision annonce que la première journée de lancement, ils ont vendu aux revendeurs mondiaux pour un milliard de dollars.

  • scénario :

En 2018, un cataclysme sans précédent ravage les Etats-Unis. 10 ans plus tard, une Fédération sud-Américaine contrôle tout le sud des Etats-Unis et toute l’Amérique du Sud affaibli par le cataclysme. Une unité d’élite avec pour nom “gosts” (fantômes pour ceux qui ne parlent pas anglais), formée par Elias Walker, est composée de membre comme Logan Walker (personnage principal, le joueur) et son frère aîné, David “Hesh” Walker ainsi que Riley, résistent dans l’ombre à l’occupation pour restaurer la souveraineté des Etats-Unis. Pour cela, ils vont parcourir le continent américain armés de drones, véhicules, missiles, torpilles, navires, etc…, mais surtout de leurs volontés.

  • campagne :

Le mode campagne de Call of Duty: ghosts est composé de 18 missions et se  passe exclusivement sur le continent américain. La particularité de Call of Duty: ghosts réside dans le fait que l’histoire se modifie pour donner une fin différente selon les choix du joueur, donnant ainsi 7 fins différentes. La carte est aussi plus grande, donnant au joueur plus de possibilités de déplacement. Plusieurs missions sont inédites comme une mission dans la jungle, ouverte, sans carte, sans l’objectif, ou encore sous-marine et… dans l’espace !

  • multijoueur :

Le système est assez semblable à celui de MW3 (toujours Call of Duty). Il compose 14 maps, 30 armes inédites dispersées dans différentes classes : armes de poings (pistolets), fusil d’assaut, pistolet mitrailleur, mitrailleuse, fusil de combat rapproché (fusil à pompe), fusil de précision (sniper) et lance roquette.

Voilà, bon jeu !!!

 Monin Hugo et Brun Léo

Nov
22
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 22-11-2013

Nov
20
Classé dans (Santé) par Agnès Dibot le 20-11-2013

Prenez un groupe de spet élèves de quatrième inscrits en option media. Mixte, le groupe : deux garçons, cinq filles (les garçons sont minoritaires : et alors ? Rassurez-vous, en classe, on les entend comme s’ils comptaient pour deux chacun…). Faites-les se placer autour d’une table, ouvrez la discussion sur un sujet tabou : le Sida. Et vous obtenez très vite une discussion, un échange, des sourires gênés, des pouffades (rires étouffés : ah non, le mot n’existe pas ? ), de belles phrases, et… des énormités. Mais les énormités sont justement ce qui nous intéresse dans cet article. Jugez plutôt. Il suffit de laisser la parole circuler, et de prendre des notes (vite, parce qu’une fois lancés, on ne les arrête plus !)

Sadia (sage, avisée) : Le sida, on n’en a pas peur ! On est trop jeunes pour avoir des relations sexuelles, on n’est pas des drogués. Pour nous, le seul moyen de risquer d’attraper le sida, c’est une transfusion sanguine avec une seringue infectée (pas de chance).

Le-Garçon-qui-veut-rester-Anonyme : Ou ceux qui mélangent leur sang pour être “frères de sang” ! (pratique ancestrale visant à mêler symboliquement son sang avec celui de son ami le plus cher : danger de transmission du sida !)

Walid (fantasque) : Admettons que je tombe de vélo dans une flaque de sang infecté par le virus, que je m’écorche le bras ou le genoux. J’attraperai le sida !

Tous (moqueurs) : Oui, bon, Walid, admettons…

Walid (insistant) : Et si je m’assieds sur une punaise infectée ?

A. Dibot (prof) : En parlez-vous avec vos parents ?

Tous, en choeur (sauf Kheira) : Non ! Ce serait gênant !

Kheira (mûre) : Moi, j’en parle avec ma mère, elle m’informe, et elle me met en garde.

Debiah (tout sourire, comme d’habitude : vous connaissez le sourire de Débiah ? Magnifique.) : Mais le sida, on ne va pas en mourir ! (Debiah, avec ce sourire enjôleur, nous vendrait le Sida comme un petit virus mignon mignon, inoffensif, une petite maladie qu’on apprivoiserait avec douceur… NON ! Le Sida, on en meurt.) Ca se soigne, non ?

Salma (petit air angélique, enfantin) : Combien de temps on a avant d’en mourir ? A quel âge on peut l’attraper ?

A. Dibot (prof, mais pas spécialiste du sujet) : Il y a la séropositivité (le fait d’être porteur du virus, mais qui ne se développe pas) et le Sida (une fois que la maladie se développe) avéré. Une femme enceinte porteuse du virus peut, lors de l’accouchement, transmettre le virus au bébé : les médecins veillent à protéger l’enfant. Sinon, la réponse est simple : à part Walid, qui peut tomber dans une flaque de sang infecté ou s’asseoir sur une punaise infectée (!), si vous ne vous piquez pas avec une seringue infectée ni n’avez de rapports sexuels non protégés par un préservatif, vous n’attraperez pas le Sida.

Le-Garçon-qui-veut-rester-Anonyme (rêveur…) : Heureusement que ça ne se transmet pas par les smacks !

Sadia (passant du coq à l’âne) : Le Sida, c’est moins grave chez nous qu’en Afrique.

Debiah (professorale : je vous le prédis, elle finira prof) : Il n’y en a presque pas au Maghreb.

Walid (pour causer) : En tous cas, il y en a plus au Maghreb qu’en France.

Debiah (pédagogue : sourire + réponse ironique) : Ah bon ?

Walid (pris au piège, il s’est fait avoir comme un bleu par le Sourire) : Euh, ben, je crois…

Debiah (abat sa carte) : J’ai vu un reportage sur le sujet.

A. Dibot (amusée) : Je préfère ça : un reportage, c’est une source d’information. J’ai eu peur que vous ne vous échangiez des idées reçues sans fondement ni preuves. Savez-vous de quels moyens vous disposez pour éviter d’attraper le Sida ?

Tous : Le préservatif !

A. Dibot : Obligatoire. Toujours. Ne faites confiance à personne : protégez-vous. Evidemment vous ne risquez pas d’attraper le Sida si votre petit(e) ami(e) n’est pas séropisitif(ve), mais on n’est jamais trop prudent.

Une-Fille-qui-sur-ce-coup-là-préférerait-rester-anonyme : Ah bon ? Moi, je croyais qu’à chaque fois qu’on avait des relations sexuelles sans préservatif, on attrapait le Sida !

Rires. Comment ferait-on des bébés alors, s’il fallait toujours mettre un préservatif, même à l’âge adulte, en couple, quand on a décidé de fonder une famille ?

Non, quand même, la très grande majorité des petits copains ou petites copines qui seront amenés à partager avec vous une sexualité ne seront pas porteurs du virus : mais il suffit d’une rencontre… Le Sida n’a rien de honteux, attention, et la maladie se soigne (on n’a pas dit qu’elle se guérissait). Mme Askari nous dit qu’il faut sept litres de salive infectée pour transmettre le virus à quelqu’un, on n’a donc pas de risque, si on côtoie un séropositif, d’attraper le sida en lui parlant.

La sonnerie retentit : il est l’heure d’aller en cours. La suite de notre conversation mardi prochain…

Nov
20
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Alison GIRARD le 20-11-2013

Le sida est un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus (virus à ARN monocaténaires, de polarité positive, infectant les vertébrés) .
Le logo de la lutte contre le sida est un ruban rouge. (source wikipédia)

Les voies de transmission du sida sont :
– par relations sexuelles
– par voie sanguine
– de la mère à l’enfant pendant l’accouchement si la mère est porteuse du virus

Le sida est encore là en Europe, en Afrique, aux États-unis d’Amérique, en Amérique du sud, en Asie, au Canada et au Moyen-Orient .

Les associations et les organisations de la lutte contre le sida sont :
– L’agence ONUSIDA (organisation des Nations Unies)

– Le fond mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme

– L’association AIDES

– L’association Act Up

– L’association Sidaction

– L’association sida info service

– Le Kiosque infos sida toxicomanie

– L’association ruban rouge

– Le centre régional d’information et de prévention du sida

– Les mouvements de malades

– L’association Libérons les Capotes

– L’association Terrence Higgins Trust

Les symptômes sont semblables à la grippe, par exemple de la fatigue, de la faiblesse, de la fièvre, des maux de tête, une perte de poids…

Le sida se soigne généralement au moyen d’une polythérapie antirétrovirale, il est très important de suivre le traitement du médecin.

Si une personne pense avoir le sida rien qu’un test de séropositivité au VIH révélera la présence du virus dans le sang. Il faut prévenir notre entourage si on a le sida, car ça évitera de les contaminer.

Nov
19
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 19-11-2013

Oh, le beau sujet que voici : http://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2013/11/18/les-profs-des-zones-prioritaires-decharges-au-detriment-des-enseignants-de-prepas_3515386_3224.html

Trop complexe pour être déchiffré sans aide ? Il s’agit simplement d’une petite pensée émue du ministre de l’Education Nationale (Vincent Peillon) pour les profs de ZEP : erreur de langage, les dits profs de ZEP n’existent plus, ou du moins, les profs, si, mais les ZEP, non. ZEP = Zones d’Education Prioritaires. On dit, en 2013, les profs des ECLAIR (Ecoles, Collèges et Lycées pour l’Ambition, l’Innovation, la Réussite).

Euh, non, on ne dit pas “profs”, mais “enseignants”.

Bref, vous l’aurez compris, notre ministre semble s’intéresser à notre cas (oui, nous sommes concernés, les “profs de ZEP”, c’est nous.) : sommes-nous, comme il le dit, trop peu reconnus financièrement pour l’implication que nous mettons dans la tâche qui est la nôtre, au quotidien ? Entendez : sommes-nous suffisamment rémunérés pour le métier particulier que nous exerçons, en comparaison avec les enseignants qui font face à un public favorisé   ?

Chers zélèves qui semblez toujours venir de la lune quand on prononce les mots ZEP, RAR, ECLAIR, sachez que votre collège est ainsi nommé, et que tout enseignant qui y est en poste en a terriblement conscience. Terriblement ? Terriblement. Mais, paradoxalement, c’est cette spécificité qui rend votre collège aussi attachant : regardez, après 15 ans de services, que j’espère bons et loyaux, impossible d’envisager ne serait-ce que de le quitter. Et j’ai promis hier, à deux anciennes zélèves de Pink Paillettes croisées en ville, l’une poussant un landau dans lequel dormait une jolie petite fille, l’autre enceinte de son premier enfant, d’être là pour l’entrée en sixième de leurs petits chérubins… Et une promesse est une promesse.

Alors, selon vous, chers zélèves, vos enseignants exercent-ils un métier difficile, à George Sand ? Pour le savoir, ne demandez pas à vos parents, qui vous diront probablement qu’avec toutes les vacances qu’on a, on n’a vraiment pas à se plaindre, on connaît la chanson. Non, vous seuls, ainsi, je le crois, que les parents d’élèves élus à siéger aux conseils de classe, aux conseils d’administration, aux conseils de discipline, pouvez mesurer le quotidien de notre établissement : pour répondre à la question, interrogez votre conscience. Lenny, tu peux interviewer ta maman, élue représentante des parents d’élèves. Christelle, notre plus fidèle lectrice, également élue pour représenter les parents d’élèves, peut elle aussi exprimer son point de vue. Que font pour vous-même et votre réussite, vos professeurs ? Et en quoi enseigner ici peut-il, de fait, représenter une certaine difficulté ?

Ce sont vos impressions que l’on attend, mais également les commentaires de nos chers collègues lecteurs de ce Torchon.  La parole est ouverte.

Nov
19

Libé du 19 novembre 2013

Vendredi, c’est la rédaction de BFMTV qui était la cible du tireur : le même que celui qui a blessé hier un homme à Libération. Information à suivre.

http://www.bfmtv.com/societe/paris-tirs-siege-liberation-un-possible-blesse-648358.html

http://www.liberation.fr/societe/2013/11/18/libe-attaque-chasse-a-l-homme-dans-tout-paris_947939

 

Nov
18

Chers zélèves,

Je parlais l’autre jour à une classe (mais laquelle était-ce donc ? ) de ce fait divers : le suicide d’une adolescente, harcelée par ses “camarades” sur les réseaux sociaux, Facebook pour ne pas le nommer.

Lisez l’info ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20131114.OBS5469/traitee-de-pute-de-boloss-marion-13-ans-s-est-suicidee.html?xtor=RSS-17

Vous pouvez réagir, en apportant votre propre témoignage : ce fait divers n’est pas unique, loin de là. On me demandait en début d’année pourquoi je n’aimais pas facebook. Lenny, voici un argument de plus à ma démonstration.

Nov
18
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Messaouda HENNI le 18-11-2013

Le film Le Pantalon est tiré d’une histoire vraie, se déroulant en 1915 pendant la 1ère guerre mondiale. Le personnage principal est Lucien Bersot, soldat dans la 8ème compagnie. Il était père de famille et vivait dans le village de St.Servin près de Besançon. Il a été mobilisé et envoyé au front. Tout au long du film, on découvre les conditions de vie des soldats ainsi que celles dans lesquelles vivaient les officiers. Ces derniers vivaient dans le luxe, la fête, les bons repas, le confort… Le soldat Bersot fut fusillé pour l’exemple pour un motif dérisoire et injuste : il avait refusé de porter un pantalon d’uniforme pris sur un soldat mort. Le film respecte très bien la biographie du soldat Bersot. Le réalisateur prend parti pour Bersot et dénonce l’horreur de la guerre tout au long du film.

Le film Le pantalon montre de nombreuses sortes d’injustice pendant la première guerre mondiale de 1914-1918. La première injustice envers le soldat Lucien Bersot survient lorsqu’on lui ordonne de porter un pantalon provenant d’un compagnon tombé au combat, qu’il refuse, logiquement. Il n’avait pas eu, lors de son incorporation dans son régiment, le pantalon rouge réglementaire, faute de grandes tailles disponibles. Cette simple histoire remonte aux oreilles du Colonel Auroux,qui s’empresse d’aggraver la situation pour faire un exemple : il ne veut pas laisser un acte de désobéissance non puni. Il souhaite réunir le conseil de guerre spécial pour ce motif dérisoire. L’injustice survient une seconde fois lors du conseil où figurent, en tant qu’accusés, Lucien Bersot et ses deux camarades soldats qui ont voulu prendre sa défense auprès du lieutenant André. De nombreux vices de procédures se mettent en place. Au conseil siègent des personnes non qualifiées désignées par le colonel Auroux, qui préside lui même l’assemblée et est l’accusateur : il est donc juge et partie. Lucien Bersot et son “avocat” n’ont aucun moyen d’expression, tout ce qu’ils disent ne sert à rien car le juge étant l’accusateur, son choix est déjà fait. Le fait de fusiller Lucien Bersot pour l’exemple est sans doute la plus grosse injustice, le colonel ne devrait pas avoir le droit de tuer quelqu’un et encore moins pour un motif faux : l’acte d’accusation est mensonger : “refus d’obéissance en présence de l’ennemi” (or, l’ennemi était à onze kilomètres !). Les deux camarades du soldat subissent la même injustice, bien que plus faible, car ils sont condamnés aux travaux forcés et non exécutés.

Le film est basé sur une histoire vraie car c’est dit à la fin du film et Lucien Bersot a été réhabilité : on voit son nm gravé au bas du monument aux morts de son village natal. Lucien Bersot était le père d’une fillette prénommée Aurélie.C’est une famille unie, heureuse et croyante à laquelle on arrache le père de famille. Tout au long du film, on voit l’évolution de la famille, on alterne entre les scènes au front et celles à l’arrière. Avant son exécution, Lucien avait reçu une permission, sa femme et sa fille attendaient son arrivée mais il n’est jamais venu…

A t-on trouvé ce film triste ? En soit le film est dramatique tout au long, mais il y a des scènes où l’on a vraiment les larmes aux yeux comme quand il se fait tuer et que l’on vient l’annoncer à sa famille impatiente de le revoir, sa femme éclate en sanglots à cette annonce. Un homme défendit sans relâche Lucien, cet homme est le capitaine Guérin. A l’annonce de la décision du conseil de guerre, le capitaine est allé voir le général afin de lui faire signer un recours en grâce. Sur la route du retour, après avoir obtenu le recourt en grâce, sa voiture est bombardée par les Allemands et il meurt sans que personne n’aie pu voir le papier. Cette nouvelle enlève la lueur d’espoir de sauver Lucien au spectateur. La veille de sa mort, on ne le laisse pas écrire une lettre à sa famille, il est triste. Au contraire on voit sa femme heureuse qui prépare son arrivée.

Nov
15
Classé dans (La cuisine de Delphine) par dgoncalves le 15-11-2013

Voici une idée de recette de dernière minute qui ne nécessite pas de cuisson … et qui peut être réalisée avec ce que l’on a dans le frigo ou dans les placards … ( enfin, tout dépend de votre frigo ! )

IMAG2708

Il vous faut :

– des jolis verres,

– de la crème dessert vanille ou praliné toute prête,

– quelques bananes,

– du caramel liquide tout prêt ou mieux du sirop d’érable

– des biscuits sablés ou des spéculoos.

PRÉPARATION :

Verser la crème au fond des verres, découper quelques rondelles de banane, napper de caramel ou de sirop et émietter des petits gâteaux !

C’est tout ! Et c’est bon ! Et c’est rapide ! ….Et bonne dégustation !