Quand un élève de 4ème m’apostrophe dans les couloirs pour me décrire la Une d’Un Charlie Hebdo que je n’ai même pas acheté (shame on me !!!) et pour recueillir mon assentiment (il n’était pas en option media l’an dernier, ce grand élève-ci ;)), je me dis que tout n’est pas perdu : le dialogue est ouvert, et mon petit prophète de papier de janvier dernier, toujours crucifié sur son panneau en liège dans ma salle de cours, n’est peut-être pas pour rien dans cette ouverture.
Charlie Hebdo a osé la Une sur Aylan et la rentrée des classes ? Provocation, humour : que mon élève comprenne que le dessin de presse existe pour donner à réfléchir…