Il y a 15 ans disparaissait Monique Serf, plus connue sous le pseudonyme de Barbara.
Pour tous ceux que sa voix fait trembler d’émotion, pour tous ceux qui pensent à quelqu’un en l’écoutant, pour tous ceux qui vivent dans l’espérance et dans l’attente, quelques notes de musique, quelques mots, en vibrant hommage à une merveilleuse artiste, à la diction si particulière et à une chanson très proustienne.
Magnifique chanson pour se détendre…http://www.youtube.com/watch?v=Ut2_-84pO6A
http://www.youtube.com/watch?v=P8a4iiOnzscC’est une magnifique chanson qui aborde le thème du voyage. Vous l’avez sûrement entendue car elle a fait la publicicté d’un apareil photo dont je tairai le nom.
A consommer sans modérations !
Bonjour cher(e)s zinternautes ! Aujourd’hui, je suis là pour vous parler d’un chant engagé qui date des années 2000 ! Signé Mc Solaar, cette musique aux accords venus des Antilles lutte contre les conflits armés dans le monde. C’est une chanson pacifiste dont voici les paroles :
Refrain : Wada da deng (x2)
Pour régler leurs problèmes ils utilisent leurs flingues
1er couplet : C’est un conte philosophique, basé sur des faits historiques
Depuis le Jurassique, jusqu’aux suites, et les assedics,
Pour le pouvoir, le trafic, le sous-sol ou les narcotiques,
Certaines personnes utilisent le Clic-clic.
Sur toute la Terre, en Afrique, comme dans le sud de l’Amérique,
On utilise la même logique, même si ce n’est pas démocratique.
Quand s’en mêlent les politiques, on met des gamins dans des jeepts,
Qui, sans esprit critique, utilisent le clic.
Refrain
2eme couplet : Par amour d’une métisse ou par amour de l’ametyste,
Parfois où tu habites, pour une insulte dite en public,
Pour une simple histoire de fric,
Sans aucun scrupule, on utilise le clic-clic.
Refrain
3eme couplet : En 40, près de Munich, sur les côtes du Mozambique,
On a établi des listes, un gestion mathématique.
Le fascisme, l’esclavagisme, sont envoyés au casse-pipe,
Pour les humains, un certain BEEP, en usant du clic-clic.
C’est une question de principes, c’est même une question d’ethnie,
Car cette fois ça n’est pas hip’ les jeux vidéops les clips.
Ce qu’il faut c’est que l’on participe, en deux mots : Former l’équipe
Pour ne pas rendre glamour l’utilisation du clic-clic.
C’est un conte philosophique, c’est aussi une auto-critique.
J’était fasciné par les guns, tout en restant pacifiste.
Voir ce qui se passe dans le monde, cela m’a donné le déclic,
Ca commence par la haine et ça finit par clic-clic.
Le déserteur (Boris Vian)
Le dormeur du Val (poème d’Arthur Rimbaud) + Le déserteur (Serge Reggiani)
Le déserteur (version de Mouloudji)
http://www.youtube.com/watch?v=zLDtSCT0Dsc
Le déserteur (adaptation par Renaud)
http://www.youtube.com/watch?v=ZzYvtL1tUI0
Le Chant des Partisans
Le Partisan (Léonard Cohen, Noir Désir)
Le chant des Partisans (Troïka)
Motivés (Zebda)
Bella Ciao (chant de résistance italien)
Bella Ciao (par le Choeur de l’armée rouge)
C’est une musique que j’apprécie vraiment car (pour ceux qui ne sont pas billingues), cette chanson parle d’un monde meilleur que le chanteur espère visiter. Ce groupe de new metal est assez connu en Amérique, pour avoir fait un featuring avec Katy Perry, lors de Goodbye For Now, et pour la chanson Sleeping Awake qui a fait partie de la bande son de Matrix.
Je ne sais pas vraiment si le lien Youtube marche, alors si vous ne pouvez pas lire la vidéo, allez sur youtube et tapez le titre de mon article dans le moteur de recherche (baissez le son avant le début…)^^
Le conservatoire Clément Janequin de Châtellerault fut inauguré il y a à peu près un an, point de repère aisé, nous étions en Espagne. Plusieurs fois depuis, j’avais projeté de m’y rendre. On m’en avait vanté l’esthetique, la qualité du mobilier et de l’aménagement etc. Naturellement, lors des journées du patrimoine, j’avais trouvé mieux à voir, ensuite, lors de certaines manifestations, j’avais trouvé les horaires trop “ci” ou trop “ça”, au final, on l’aura compris, jusqu’à ce jour, je ne m’y étais jamais rendu. C’est chose faite, pourtant, le temps n’était pas de la partie, mais je profitai du fait, rare, de me trouver du bon côté de la rivière, afin de faire procéder à une révision de mon vélocipède préféré, pour pousser jusqu’en ce qui fut autrefois le bâtiment administratif de la Manu.
Majesté du bâtiment, rigueur des lignes, grandeur des quartiers de pierre, élégance des arcades, teinte douce du calcaire, à peine altérée par la pluie, alors qu’un peu plus loin le canal et le jadin du directeur sont en travaux. J’entre, en lisant les diverses affiches et les plaques explicatives sur quelques grands noms de la musique.
Pas de cohue, mais un va et vient permanent, de parents, de très jeunes enfants, d’ado, d’adultes, tous avec des housses, des étuis et autres contenants bizaroïdes renfermant leurs instruments. Ce fut presque une visite à une annexe du collège, dès mon arrivée sur les lieux je fus salué et pris en charge par un ancien élève, puis un second, puis un 3è qui me fit faire le tour complet, je saluai des connaissances adultes, des élèves du primaire, des élèves du collège, de futures stars, auxquelles je fis alors la bise, pour mes futurs potins à vendre à gala : “oui, je la connais, on se faisait la bise au conservatoire.”
Il est vrai que les locaux sont bien restaurés, qu’ils semblent adaptés au travail qui s’y fait, je fus très surpris de voir ces différentes salles, dévolues à tel ou tel instrument, amusé de les entendre résonner de leurs accords plus ou moins mélodieux et de percevoir, au final, si peu la voix humaine, seul “instrument”, dont je sache jouer.
Ce fut donc pour moi une agréable découverte que ce parcours au royaume d’Euterpe. Je remercie mes guides d’un moment et souhaite à tous le plein épanouissement dans leurs activités artistiques.
Maria Callas, encore et toujours, pour illustrer l’opéra auquel on pouvait se rendre hier soir, au ciné A, pour une retransmission en direct de New-York. La Traviata est un opéra de Verdi, fort connu, qui a vu ses principaux airs illustrer un certain nombre de…publicités ou passages de films. Cette histoire d’amour, inspirée de la Dame aux camélias, de Dumas, romantique à souhait, au sens XIXème, donc, dramatique et funeste, était servie hier par la grande Natalie Dessay, qui, comme à son habitude, fut grandiose, alors qu’elle se produisait pour la première fois dans ce rôle au Metropolitan.
Le décor m’a marqué. En premier lieu je fus navré de la secheresse toute contemporaine faisant ressembler la scène à un parking souterrain. C’était avant que je ne constate la présence d’une grande horloge, laquelle se trouva au centre de tout, durant la représentation. Ainsi, le Temps remis à sa juste place, au centre, tout se déroula à merveille, mes névroses étant satisfaites.
A noter, ou plutôt, à déplorer: les vieillards assoupis (comment font-ils?) et leur respiration sonore, les vieillards qui grignotent et leurs froisssements de papiers, les vieillards qui ne respectent pas les horaires et font se lever des rangées à la fin de l’entracte, les vieillards qui discutent et ceux qui parlent encore plus fort afin de leur signifier de se taire. Allons, ne critiquons pas ces personnes d’un autre âge, il sera nôtre un jour, enfin, il faut l’espérer.
Avant de s’endormir … :