Fév
08
Classé dans (Non classé) par Mazarine le 08-02-2011

J’ai trouvé le premier sujet de mon article en solo: ma phobie.

Je vais vous parler de ma phobie : j’ai peur des araignées.

Je trouve ça vraiment laid…

Avec leurs pattes toute poilues, leurs yeux qu’on ne voit pas à l’œil nu mais ils sont quand même présent. En plus de ça, elles en ont huit : cela me rend vraiment mal. Je n’arrive même pas à les regarder en photo tellement elles m’écoeurent, je ne vois pas pourquoi elles existent. Si j’en vois une, je crie très fort et je m’éloigne le plus vite possible. Pour moi, elles ne servent pas à grand chose, juste à nous faire peur.

Vous savez maintenant une partie de moi, surtout celle qui me fait le plus peur. Je vous fais confiance, ne jouez pas avec ça…

Je vous ai parlé d’une de mes plus grandes phobies ; et vous, c’est quoi, votre phobie ?

Mazarine.

Fév
07
Classé dans (Non classé) par Agnès Dibot le 07-02-2011

Bleu, rose : François et Mazarine ont donc leur rubrique ! Que ne ferait-on pas pour forcer un ado à écrire…

Courage : vous avez du coeur !

En effet, en Inde les filles manquent à l’appel.

L’ Inde, le pays aux mille couleurs,  se voit en manque de filles, les femmes indiennes ne peuvent pas connaître le sexe de leur enfant avant la naissance, par peur d’avortement forcé si le fœtus est une fille.  Nous pouvons voir que dans ce pays, 5 million de fœtus féminins sont avortés chaque année. La pratique de cet avortement est devenue tellement courante qu’on parle de foeticide.

Pourquoi, parce-que les indiens préfèrent avoir un garçon  plutôt qu’une fille, soit disant le garçon est une force de travail chez eux, c’est celui qui hérite du patronyme du père, lui qui sera en charge du rituel : en gros, l’honneur de la famille.

Quant à elle, la fille est inférieure à l’homme, soit disant, charge économique aux yeux de ses parents, par rapport à la dot lors de son mariage. Le manque de filles ne se voit pas que dans la classe pauvre de l’Inde. Un proverbe indien dit “Élever une fille c’est comme arroser le jardin de son voisin” . Je me demande bien où est passée l’égalité entre la femme et l’homme dans ce pays.

http://www.rfi.fr/actufr/articles/075/article_42801.asp

Un autre lien : en Chine, les filles sont elles aussi abandonnées à la naissance : les garçons sont préférés.

http://www.rue89.com/chinatown/2011/02/07/des-meres-chinoises-racontent-labandon-de-leurs-filles-189286

Julie.

Fév
04
Classé dans (Pink Paillettes) par Agnès Dibot le 04-02-2011

Parce que François est persuadé qu’il ne sait pas quoi écrire : tous nos encouragements !

Fév
04
Classé dans (Pink Paillettes) par Agnès Dibot le 04-02-2011

M. Varenne, notre cher professeur de SVT,  passe une commande d’article aux Pink Paillettes : un sujet sur les bébés filles en Inde. Il vous a parlé de ce sujet en classe : en Inde, on préfère avoir un fils plutôt qu’une fille. Comment la société en est-elle arrivée là  ? Au point de refuser une grossesse quand le foetus s’avère être une fille ?

Mes chères Pink Paillettes ? A vous ! C’est, assurément, un sujet à ne pas manquer. Et puis, pour les beaux yeux de monsieur Varenne, que ne ferait-on pas ?

Le Torchon héberge Pink Paillettes : si les rédacteurs du Torchon souhaitent également traiter ce sujet, ils le peuvent, bien entendu !

Fév
03
Classé dans (Pink Paillettes) par Agnès Dibot le 03-02-2011

Le n°10 de Pink Paillettes marquera un anniversaire : non pas les dix ans de ce petit journal de filles écrit pour les garçons, mais une dixième édition, ce qui est déjà signe de longévité.

Pour l’occasion, votre animatrice émet un souhait : réunir les premières, les deuxièmes et les troisièmes Pink Paillettes avec les quatrièmes… Autour d’une table, autour d’un sujet : être fille, être jeune fille, être lycéenne, être jeune femme active, quelles réussites, quelles difficultés, quel avenir, quels espoirs, quelles désillusions ?

Alors, avant d’envoyer des cartons d’invitation, si vous croisez ici ou là Rania, Lucie, Ihsane, Sabrina, Clémence, Raby, Hasniya, Nadera, Maïllie, Zineb,  Chahinèze, Sabah, Salma, et celles qui ont participé à cet atelier journal de façon régulière ou épisodique : n’hésitez pas à leur transmettre cette invitation. Restent à déterminer une date, et un lieu pour cette séance exceptionnelle qui devra donner naissance à un numéro spécial rose, et à paillettes !

L’an dernier, en février, un article de journal publié dans la NR, écrit par un journaliste professionnel, avait choqué la communauté scolaire de George Sand. Les élèves de la rédaction de Pink Paillettes avaient pris la plume pour défendre leur point de vue, et dire leur émotion à la lecture de l’article.

Leur article a intéressé le CLEMI, qui le publie cette année dans sa revue nationale. Merci aux anciens élèves de cette rédaction pour avoir rempli leur rôle de rédacteurs : leur texte montre à quel point ils avaient compris le sens du mot “éducation à la citoyenneté”.

Cet article peut être retrouvé dans son intégralité dans le Pink Paillettes n°8.

Comme tous les élèves de 3ème (Tous ? Presque : trois irréductibles recensés en 3ème option media… On le saura…), les rédactrices de Pink Paillettes ont effectué un stage d’une semaine hors des murs du collège.

Retour sur une expérience tantôt enrichissante, tantôt décevante… voire catastrophique !

Stage en école maternelle : Henri Matisse (Lakanal)

“J’ai fait mon stage à la maternelle Henri Matisse. Ce que j’ai aimé dans ce stage, c’était d’être avec les tout petits. Les aider, et discuter avec la maîtresse. Ce que j’ai détesté, c’est habiller les petits, les accompagner aux toilettes. Quand ils vont dormir au dortoir, c’est tout calme…

J’ai aidé les maîtresses à distribuer les goûters, à habiller les enfants, à la emmener dans la salle de danse ou dans la salle de jeux. Les enfants sont sages, ils écoutent bien la maîtresse, ils font de la peinture, des jeux sans parler : que du calme dans leur classe !”

Fatoumata Diaby.

Stage chez Dessange

“J’ai effectué mon stage chez Dessange, coiffeur. J’ai totalement détesté ! Au début, je pensais  que ça allait être une bonne expérience, j’étais pressée. Mais dès le premier jour, dès le moment où je suis entrée dans le salon, j’ai su que ce n’était pas pour moi, mais c’était trop tard.

Je suis partie poser mes affaires et ils m’ont expliqué quelques règles : je me suis dit :”Allez, peut-être que je vais bien m’amuser, si ça se trouve, le premier jour va être pourri (!) et après ça ira.” Mais, en fait, je me suis totalement ennuyée, toute la journée, debout, à observer les coiffeurs faire des shampoings et autres. Je donnais les magazines à des clients. une fois, une coiffeuse m’a demandé de laver des tasses à café, j’ai cru que ce n’était pas sérieux, que c’était une blague, mais non, elle voulait vraiment que je le fasse. Je lui ai dit : “Non, je ne peux pas faire ça, quand même !”.

Les journées se ressemblent toutes, je restais debout, à la fin de la journée, j’avais des crampes partout ! Je ne retournerai jamais  en stage dans un salon de coiffure : cette expérience m’a au moins appris que je ne serai jamais coiffeuse !”

Fatoumata.

Stage dans un office notarial

“J’ai fait mon stage dans un office notarial, chez un notaire, donc. J’ai aimé car je ne restais pas sans rien faire et les gens étaient gentils avec moi. J’ai rangé des actes, j’en ai rédigé, j’ai fait des demandes d’état civil. La plupart du travail se faisait  sur ordinateur, il y avait beaucoup d’observation, comme la rédaction d’un acte notarié.”

Ihlame.

Stage dans un magasin de prêt à porter

“J’ai fait mon stage en ville, dans un magasin de vêtements. J’ai aimé, parce que les filles (les vendeuses) étaient gentilles, mais j’en avais assez de faire la même chose toute la journée. Sinon c’était bien. J’ai vu que les vendeuses avaient toujours les mêmes choses à faire : ranger, faire la caisse. J’ai fait les étiquettes des soldes. Je ne me vois pas du tout vendeuse ! “

Zohra.

Stage en école maternelle : Lavoisier.

“J’ai effectué mon stage à la maternelle Lavoisier. J’ai beaucoup aimé car les élèves étaient trop mignons. Je faisais le goûter le matin puis je le distribuais. J’aidais à faire les activités : je partais à La Tisane (lieu de pause des enseignants), je buvais du thé et mangeais des gâteaux.

Des enfants que je connaissais venaient me voir pendant la récréation. Je suis allée au cirque avec les enfants. C’était superbe ! La plupart de temps, on était dans la classe. dans l’espace bibliothèque, j’ai lu des histoires aux élèves. Il y a des enfants à qui je me suis attachée…”

Aïssatou.

Quant à Goundoba, son expérience fut tellement malheureuse qu’on n’aura pas de témoignage… Du moins, pas dans l’immédiat.

Déc
12

Campagne de communication association NPNS

Tirée de la collection d’Asterix le gaulois (référence peu littéraire j’en conviens ! Quoique…) cette citation est une sorte de pied de nez. On aimerait que, quand vous venez vous promener sur ce blog, vous en profitiez pour cliquer sur les liens que l’on a insérés (au bas, à droite !) à votre attention..

Le dernier en date est autant pour les garçons que pour les filles autant pour les torchonéidés que pour les Pink Paillettes : Ni Putes Ni Soumises, un site à visiter : que son nom ne vous effraie pas, surtout. Il est volontairement choisi pour accrocher.

Cette banderole, quel commentaire vous inspire-t-elle, par exemple ?

Informez-vous, on en parle dès mardi !

Votre (vieille) rédaction.

Déc
08


M & J:
Pour toi que veut dire L’amour?

Jofrey : Pour moi, c’est ressentir un sentiment plus fort envers une personne qu’envers une amie. Quand on est amoureux, on veut lui faire plaisir, être à ses côtés, être attentif. etc…
Moustoifaïni : Le véritable amour, pour moi c’est quand tu ressens de l’attirance envers une personne : l’envie de la revoir de prendre soin d’elle….

Lukas : Pour moi c’est quand une personne sent qu’elle a plus que des sentiment pour une personne. Et qu’il tient énormément à la personne qu’il aime.

Julie : Moi, je pense que c’est de l’amour quand ce sentiment est partagé : qu’il est beau ! Je suis en couple en ce moment, je peux vous dire que c’est le bonheur de pouvoir aimer la personne qu’on aime, de pouvoir partager des moments avec celle-ci. Savoir qu’il sera là pour moi, qu’il est là quand je vais mal et que je serai là pour lui. Quand on ne se voit pas pendant plusieurs jours, il nous manque. Quand tu l’as devant toi, tu as envie de le prendre dans tes bras. La liste serait longue… Mais c’est une attirance et l’envie de partager une partie de sa vie avec la personne qu’on aime, pour moi, pour l’instant, c’est Lukas. Il est devenu une partie de moi, c’est lui à qui je me confie et lui à qui je veux faire plaisir… Quand je le vois heureux, ça me rend heureuse… etc.

Anissa : C’est passionnel, c’est une fusion avec la personne qui t’aime, c’est comme si tu ne faisais qu’un avec, il se sent bien avec toi et toi aussi. Quand tu vas mal il est là pour toi et toi pour lui. Il est là pour te rassurer, même si on se voit toujours. A chaque rencontre, c’est comme si on se voyait pour la 1ère fois. L’amour, c’est unique.

Ibrahim: C’est deux personnes qui s’aiment, qui ne se trahissent pas, qu’il y ait une fusion entre elles, quelque chose d’unique entre elles. Etre soudé même dans des moment difficiles !

Mazarine: Pour moi, c’est deux personnes, homme-femme, femme-femme ou même homme-homme, qui ont des sentiments l’un pour l’autre. Un sentiment exceptionnel qui est aussi magnifique à mes yeux. Pour moi, ressentir ça pour une personne quelconque, ça me rend heureuse. C’est aussi une alchimie entre deux personnes, pour moi, ça veut dire être aux soins  pour “la” personne qu’on aime. Toujours être présent l’un pour l’autre.  Certaines personnes disent que l’amour passionnel n’existe qu’une seule fois dans la vie amoureuse d’une personne. Moi, je dis qu’on peut le rencontrer plusieurs fois mais juste que ce ne sera pas le même avec la personne avec qui on partage un ou deux mois qu’avec la personne avec qui on partage toute la vie.



M & J: As-tu déjà ressenti un sentiment aussi fort, envers une personne?

Jofrey: Non, je pense que cela dépend. Moi je pense que je ne peux pas sortir avec une fille maintenant, car ce n’est pas vraiment mon objectif, et puis si je la rencontrais, je le ressentirais comme une drogue.
J’ai  peur d’être déçu et blessé et de ne plus pouvoir ressentir un tel sentiment . Ce sentiment-là que je ressentirais  comme une drogue me mettrait en extase, je serais dans un monde parfait (utopie). Et s’il partait, je serais déçu de ce sentiment que je pensais si parfait.

Moustoifaïni : Oui, je suis déjà tombé amoureux .  Cela a fait  vivre en moi un sentiment dont j’ignorais  l’existence.

Lukas : Bah oui  ! Je suis en ce moment en couple et je l’aime plus que tout.

L’amour c’est a peu près ça ...

Mazarine et Julie.