Mar
01
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 01-03-2016

Lu ce matin dans Rue89 un petit article très intéressant au sujet de jeunes accro à la vérification de l’information tous azimut : quel bonheur ! Lisez le blog de Klaire fait grr (en lien dans l’article de Schneidermann) : cliquez, savourez, c’est non seulement très spirituel mais, en plus, c’est bien écrit ! On en parle ensuite ?

http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/01/face-a-zemmour-enfin-anti-zemmour-263321

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Si vous ne comprenez pas la pertinence du choix de cette illustration, c’est que vous n’avez pas (encor) lu l’article dans le blog de Klaire fait grr 😉

En guise de rentrée médiatico-torchonesque, un petit sujet soumis à la (plus haute) réflexion de mes zélèves : la femme est-elle l’avenir de l’homme dans les paroles des chansons d’Orelsan ?

http://www.liberation.fr/debats/2016/02/28/pour-ou-contre-la-relaxe-d-orelsan_1436360

 

Fév
22

http://www.liberation.fr/planete/2016/02/21/alep-vivra-lettre-ouverte-a-francois-hollande-sur-la-syrie_1434911

Fév
04
Classé dans (Revue de presse) par PtitBlevin le 04-02-2016

Dans de nombreux journaux de science fiction on parle d’une éventuelle source d’eau sur Mars peut être même de la vie ?

Tous ces films qui parlent de Mars ou bien d’une vie sur Mars ou ces romans de fiction pourraient voir leur thème de prédilection se réaliser aujourd’hui.

Les scientifique de la NASA a découvert des traces d’eau (salées) sur Mars, ils prétendent même que dorénavant l’aventure scientifique pourrait  avoir lieu sur Mars. C’est du moins ce qu’affirme une équipe dirigée par Lujendra Ohja un jeune chercheur américain. Après leurs nombreuses recherches ils ont émis des hypothèses comme quoi de l’eau salée coulait auparavant sur Mars, ils ont aussi  affirmés avoir pu utiliser la spectroscopie : une technique qui permet de distinguer sur une image un minéral selon la quantité de lumière solaire qui réfléchit.

Une vie sur Mars est pour l’instant impossible certes de l’eau a été découverte mais pour l’instant aucune trace de vie n’a été descellée. Si pour certains chercheurs il est impossible pour le moment que de la vie sur Mars est été possible, ce n’est pas le cas du cinéma. Ainsi hasard du calendrier “Seul sur Mars un film qui fait l’actu est sorti dans les salles juste après que de l’eau sur Mars soit découverte le 2 septembre 2015.

 

Mon hypothèse est qu’auparavant il existait certainement de la vie, de la verdure, de l’eau sur Mars. Il a pu se passer la même chose que pour les dinosaures : une exaction générale due à une météorite.

Voici une image qui représente une ancienne coulée d’eau sur Mars:

Des "traces" suggérant la présence d'eau sur Mars, photographiées en janvier 2014.

 

 

 

Fév
03

SOS Méditerranée, cette association dont nous vous parlions voici quelques mois, a réussi à affréter  un navire pour sillonner la Méditerranée dans le but de secourir d’éventuels migrants en danger dans de frêles embarcations. A (re)lire dans nos colonnes (ici : https://blogpeda.ac-poitiers.fr/coll-sand-media/?s=sos+mediterranee) et là : Notre navire l’Aquarius sera à Marseille le 20 février pour une escale technique avant de partir en mission de sauvetage. Vous serez invités à monter à bord.
Nous reviendrons vers vous avec tous les détails.
#TogetherForRescue

Fév
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-02-2016

Une directrice d’école mène une croisade contre les parents d’élèves qui ne prennent pas le temps (et défient les règles de la bienséance !) de se laver et de s’habiller avant de déposer leurs enfants à l’école : ils sont en pyjama ! Bel  exemple pour notre jeune génération 😉

http://tempsreel.nouvelobs.com/l-histoire-du-soir/20160127.OBS3532/une-directrice-d-ecole-part-en-croisade-contre-les-parents-en-pyjama.html

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Fév
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-02-2016

Décidément, il ne fait pas bon être caricaturiste, de par le monde…

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/02/02/en-arretant-un-caricaturiste-le-regime-egyptien-veut-montrer-ses-muscles_4858045_3212.html

Le président Abdel Fattah Al-Sissi : "Je n'aime pas qu'on me dessine". Légende : arrestation d'Islam Gawish, pour avoir dessiné le président.

Dimanche 31 janvier, la police égyptienne a arrêté Islam Gawish sur son lieu de travail, au site d’information Egypt News Network (ENN), officiellement parce qu’il gérait « un site Internet sans permis ». Sur sa page Facebook, un communiqué évoquait cependant une arrestation à cause de ses dessins critiques du gouvernement. Le jeune homme de 26 ans est surtout connu pour ses dessins satiriques qu’il publie sur sa page Facebook « Al-Warqa » (« La feuille »), suivie par plus de 1,7 million de personnes (1,5 million dimanche dernier).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/02/02/en-arretant-un-caricaturiste-le-regime-egyptien-veut-montrer-ses-muscles_4858045_3212.html#5tmv8aHSX6admg8d.99
Fév
02
Classé dans (Revue de presse) par jaime le 02-02-2016

Très bon article de la Nouvelle République sur le passé migratoire des Châtelleraudais

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Communes/Ch%C3%A2tellerault/n/Contenus/Articles/2016/02/02/Le-Pays-chatelleraudais-une-vraie-terre-de-migrants-2610885

Chinois, Italiens, Portugais, Slaves, Mosellans, Américains, Hongrois, Harkis. Le Châtelleraudais a connu huit vagues de migrations au siècle dernier.

Arrivée des migrants mosellans dans le Châtelleraudais fin 1939. - Arrivée des migrants mosellans dans le Châtelleraudais fin 1939. - (Photo d'archives, CCHA)

Ces huit « épisodes » ont été recensés par le Centre châtelleraudais d’histoire et d’archives. Les voici par ordre chronologique.

Chinois

En février 1916, la France signe un contrat avec la Chine pour le recrutement de travailleurs chinois. En décembre 1916, la Manu emploie 295 travailleurs chinois. Ils sont 295, accompagnés par des interprètes qui logent avec eux à la Brelandière dans des baraquements construits à cet effet. Ils connaissent de grosses difficultés d’intégration.
Quand la guerre se termine, la Manu n’a plus besoin d’eux. Mis progressivement au chômage, ils quittent la ville en mars 1919.

Italiens

Des opposants au régime politique de Mussolini prennent le chemin de l’exil dans les années 1920. Ceux qui s’installent dans le Châtelleraudais viennent du Nord de l’Italie. L’année 1936, avec la montée du fascisme, marque la plus grande immigration dans notre région. Un grand nombre s’y installe définitivement.

Portugais

Une première vague de travailleurs portugais arrivent en France après la Première guerre mondiale. On en dénombre un demi-millier à Châtellerault, où ils travaillent comme manœuvres, terrassiers dans trois entreprises du bâtiment (Bachmann, Labasse, Labrousse). Une seconde vague, plus difficilement quantifiable, débarque à la fin des années 1950.

Polonais

La France connaît une phase d’immigration forte lors de la période d’expansion économique 1920-1929. Des travailleurs polonais, mais aussi tchèques, yougoslaves, arrivent en masse, recrutés pour faire face aux besoins en main-d’œuvre de l’État Français.
Le Châtelleraudais accueille quelques milliers de ces migrants qui trouvent surtout des emplois dans l’agriculture, le bâtiment et comme personnel de maison. Certains s’établissent définitivement dans la région.

Mosellans

En 1939, face à la menace de l’Allemagne hitlérienne voisine, les habitants de l’Est sont contraints de fuir. A partir du 3 septembre, 18.000 réfugiés de la Moselle sont accueillis à Châtellerault, surtout dans les communes alentour, qui voient soudain leur population augmenter d’un tiers en moyenne.
L’hôpital de Boulay-Moselle est transporté à Châtellerault. La ville aménage également un foyer d’accueil pour permettre aux soldats de rencontrer leur famille pendahttps://blogpeda.ac-poitiers.fr/coll-sand-media/wp-admin/post-new.phpnt leurs permissions. Après quelques difficultés d’adaptation, les Lorrains s’acclimatent plutôt bien.
Les opérations de retour sont lancées le 23 juin 1940. Les trois-quarts retournent au pays, les autres font souche. Des noms de rues, de places évoquent le souvenir de cet « exil intérieur ».

Américains

En 1951, les États-Unis recherchent, en France, des bases logistique pour leur armée présente en Europe de l’Ouest. En 1952, ils s’installent à Saint-Ustre, près d’Ingrandes. Ils en font un centre de stockage, de répartition de fournitures et d’entretien d’équipements mécaniques.
Entre 1953 et 1966, les effectifs militaires américains oscillent entre 900 et 1.300 personnes, plus un millier de salariés civils recrutés dans le bassin d’emploi.
Même si la plupart des Américains vivent entre eux à Saint-Ustre et au village La Fayette, leur présence est manifeste localement : mariages mixtes, clientèle des bars et dancings, accidents et faits divers, participation aux cérémonies commémoratives…
Les derniers départs s’effectuent en 1968.

Hongrois

En 1956, des Hongrois fuient leur pays en pleine insurrection. Le 1er décembre, 1.000 débarquent à Châtellerault, à la caserne de Laâge alors désaffectée. Les difficultés sont nombreuses : barrière de la langue, literie de la caserne en mauvais état. Des essais d’emplois, de logement en centre-ville sont entrepris. Mais Châtellerault manque de logements vacants et le contexte économique local n’est pas bon. Les réfugiés quittent rapidement la région : dans la caserne, ils ne sont plus que 494 après six semaines et 60 après six mois. Les derniers s’en vont en juillet 1957. Seuls trois réfugiés hongrois décident de rester et y font souche.

Harkis et Pieds noirs

Les rapatriés de la guerre d’Algérie arrivent en masse après la ratification des accords d’Evian au printemps et à l’été 1962. Sur les 4.575 recensés dans la Vienne fin 1962, un quart est à Châtellerault, ville la plus industrialisée du département, donc susceptible d’offrir un travail.
La quête d’un logement et d’un emploi par ces rapatriés, notamment les Harkis, correspond à l’édification du quartier de la Plaine d’Ozon, où un certain nombre de familles s’installent.

Source : groupe de recherches du CCHA d’après leurs travaux sur le thème des migrants (2009-2013).

Fév
02
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 02-02-2016

Voici quelques jours, une institutrice de Marseille dénonçait dans les medias les conditions dans lesquelles ses élèves (et elle-même) devaient travailler : l’absence de chauffage dans les classes.

http://info.arte.tv/fr/maitresse-jai-froid-une-institutrice-marseillaise-denonce-letat-desastreux-de-son-ecole

 

Fév
02
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 02-02-2016

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Le Journal du dimanche publie un sondage dans le but d’estimer le degré de racisme et/ou d’antisémitisme en France. Petite analyse des questions qui fâchent :

http://www.liberation.fr/france/2016/02/01/racisme-et-antisemitisme-malaise-au-jdd-apres-un-etrange-sondage_1430394

Cette manie de vouloir à tout prix faire entrer les gens dans des cases…

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