Sep
13
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 13-09-2014

Cache-cache Info spécial pour Sileymane.

Libé du 13 septembre 2014

Sep
09
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 09-09-2014

http://www.liberation.fr/photographie/2014/09/09/quand-hollande-regarde-le-ciel-l-internaute-regarde-le-cadrage_1096715

Cet article de Libération nous alerte sur ce que nous pouvons faire dire à une photo : le sujet en question, François Hollande, notre Président. Regardez bien ces photos : selon le cadrage, on peut faire dire ce que l’on veut à une photo. Intéressant.

Sep
08
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 08-09-2014

La rentrée littéraire a, chez certains libraires, le goût amer de la déception : un certain livre, écrit par une certaine journaliste-Ex-Première-Dame, éclipse tous les romans en vente (Mme Le Nezet vous parlerait du dernier Olivier Adam qu’elle attend patiemment de lire : elle prend le temps de se laisser envoûter par la couverture du livre dans les vitrines des libraires : les lecteurs d’Olivier Adam ont des comportements rituels, comme ça, dont il faut respecter la valeur ;)…). A tel point que certains font de la résistance : Voir l'image sur Twitter On a promis de ne pas écrire sur VT dans ces colonne,s mais notre cher Inconnu s’est moqué de nous dans un commentaire, raillant ce comportement boudeur : et au nom de quoi, d’ailleurs, avons-nous décidé de censurer VT ? C’est simple : ce n’est pas l’autobiographie du siècle… Peu importe, les zélèves ne semblaient pas particulièrement intéressés par cette actualité de “rentrée littéraire”… Notons simplement que, chez le libraire, samedi, le téléphone sonnait : une cliente se positionnait pour être la 41 ème lectrice commandant le livre de VT sur liste d’attente. Tous les exemplaires ont été vendus en moins de temps qu’il ne faut pour le lire. Et, comme il est écrit dans les journaux, les clients trouvent toujours un prétexte pour se  défendre de tout voyeurisme : “C’est pas pour moi, je l’achète pour ma belle-soeur, ma belle-mère, ma femme, ma fille, mon gendre… !” Petit sujet pour mes zélèves : une interview des libraires de Châtellerault à ce sujet. Mais pas un mot sur le contenu de ce livre… On censure, au Torchon, en cette rentrée sous le soleil…

Et, à propos de la rentrée littéraire, un petit article sur les dessous du Prix Goncourt qui ne nous dit pas (pas encore) qui aura le Goncourt, mais qui ne l’aura pas (en plus de VT) :  http://www.liberation.fr/livres/2014/09/05/emmanuel-carrere-n-aura-pas-le-prix-goncourt_1094230

Sep
06
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 06-09-2014

“Secte extrémiste” n’ayant en aucun cas le droit de parler au nom de l’Islam, puisqu’elle en foule tous les préceptes. C’est ainsi que parle de l’Etat Islamique l’auteur de cette tribune, Asiem EL DIFRAOUI, politologue, publiée dans Libération. Voici un article intéressant à lire au sujet du djihad et de la façon dont les medias relaient l’information au sujet de l’EI.

http://www.liberation.fr/monde/2014/09/04/le-jihad-de-l-image-comment-nous-jouons-le-jeu-de-l-etat-islamique_1093704

Sep
05
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 05-09-2014

Sep
05
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 05-09-2014

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Communes/Ch%C3%A2tellerault/n/Contenus/Articles/2014/09/03/Rentree-en-douceur-pour-les-6-e-a-George-Sand-2031846

“Rentrée en douceur pour les 6èmes de George Sand”… Et une visite éclair du journaliste sur le terrain. Pour un bref, très bref article informatif dans les colonnes de la Nouvelle République.

Si bref …

Sep
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-09-2014

Libé du 4 septembre 2014

Sep
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-09-2014

Mes ex-troisièmes se souviennent très certainement de la Une du magazine Valeurs Actuelles sur les Roms… sur l’Islam… Voici leur dernière cible (dont nous parlions ce matin dans les colonnes du Torchon) :  notre ministre de l’Education Nationale.  http://www.liberation.fr/politiques/2014/09/03/une-campagne-politique-assez-ignoble-contre-najat-vallaud-belkacem_1092751

Mardi, c’était le journal Minute qui provoquait à la Une : la nomination d’une femme jeune, d’origine marocaine au poste de ministre de l’Education Nationale suscite des réactions fortes dans certaines rédactions…

Sep
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-09-2014

Première séance d’option media demain matin à 8 heures, pour les troisièmes : sujet à travailler, peut-être, le métier de grand reporter… La seconde décapitation d’un journaliste américain nous renvoie hélas à la réalité du terrain : informer au risque de sa vie.

http://www.liberation.fr/monde/2014/09/02/l-etat-islamique-revendique-dans-une-video-la-decapitation-d-un-2e-otage-americain_1092362

A relire, un article composé par des zélèves d’option media à l’occasion d’une conférence de grands reporters, dans le cadre des assises du journalisme, à Poitiers, voici trois ans :

Le jeudi 10 novembre nous avons eu la chance d’assister à une conférence de presse animée par deux grands reporters (Lucas Menget, grand reporter à Envoyé Spécial sur France2, et Mathieu Laurent, grand reporter pour Radio France) qui nous ont parlé de leur métier.

 » Reporter n’est pas un métier, c’est une façon de vivre « .

Grand reporter, c’est à la fois un titre, et une notion, selon eux. Quand on est reporter, on voyage beaucoup et longtemps. On peut couvrir des sugets très importants et en vogue, et  des fois beaucoup moins, mais cela reste tout autant enrichissant. On peut parler dans ses articles de la guerre, ou parfois simplement des résultats d’un dernier scrutin. Quand ils sont ailleurs, ils travaillent hors de toute information, comme coupés du monde. Ils sont parfois seuls, ou en petit groupe. Dans des pays où le français n’est pas courant, des fixeurs et interprètes sont là pour faciliter les échanges.

Il faut certaines qualités pour pratiquer ce métier à risques, comme posséder une curiosité permanente, être discret, débrouillard, persévérant et avoir de l’humilité. Il faut être présent, mais distant dans sa tête à la fois. Un reportage peut durer jusqu’à plusieurs semaines. Un suget envoyé de Kaboul par exemple, qui dure simplement une minute trente, coûte entre 5 et 10 mille euros pour la télévision.

Egalement, le métier se féminise grandement, dans tous les domaines des média. Cela a rendu le métier moins matchiste, et a permis d’ouvrir de nouveaux horizons. Cela peut peut permettre, par exemple,  d’entrer dans des maisons avec une femme dans des pays en d’Orient. En faisant ce métier, on peut avoir peur pour sa survie, et bien sur, on ne sort pas indemne, psychologiquement du moins, de tout ça. On voit de tout au quotidien, mais il faut passer outre.  » La peur devient à force une amie », confie Mathieu Laurent. Quand ils sont dans des pays étrangers, la barrière de la langue peut déranger, et la frustration est grande. Peur de manquer d’informations, de ne pas être bon, des questions qu’ils se posent vraiment souvent. Mais quand ils réfléchissent, il est assez grisant et marquant de vivre des moments en direct, qui vont grandement marquer l’Histoire. « C’est simplement incroyable d’être payé pour exercer sa passion » dit Lucas Menget.

L’énorme problème de cette vie de cavale, c’est bien sûr la vie de famille compliquée. Rester loin de ses proches est vraiment très dur.  On rate des évenements importants, naissances, mariages d’amis, et d’autres choses, mais cela fait partie des difficultés du métier. Mais au moins, on n’entre pas dans un cycle de monotonie ! Ce qui est bien, c’est que, quand ils restent longtemps en France, parce qu’ils ne sont appelés nulel part, une souplesse horaire importante s’installe.  Il y a aussi des régles : ils ne diffusent rien si cela peut mettre en danger des personnes, et il faut tout faire pour ne pas mettre en danger les gens qui les ont aidés à survivre sur certains territoires. Informer à  tout prix n’est pas leur but. Pour exercer ce métier, on peut être formé sur le tas, ou bien faire un parcours classique, c’est-à-dire les écoles de journalisme (13 sont reconnues) qui se font en deux ans. Soit 3 ans après le bac, soit plus tard, il peut être important d’avoir une autre formation que le journalisme. Personnellement, j’ai appris que c’était un métier vraiment complexe,  mais qui a de nombreux avantages.

Océane L.

 

Sep
03
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 03-09-2014

Nous avions évoqué, l’an dernier, le cas de la Garde des Sceaux, Christiane Taubira, victime d’insultes racistes. Voici à présent que notre toute nouvelle Ministre de l’Education Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, l’est à son tour.

A lire dans Libération aujourd’hui, une tribune en soutien à celle qui est notre ministre :

http://www.liberation.fr/politiques/2014/09/01/l-education-nationale-et-sa-ministre-face-aux-discriminations_1091509

Pour notre part, nous aimerions qu’on la laisse travailler en paix : il est des priorités, la gestion de notre Education Nationale en est une. Et on le sait, on ne travaille bien que lorsqu’on est en paix. Qu’au moins les attaques bêtes et méchantes cessent, et que la communauté adulte donne un exemple plus raisonnable à nos chères têtes blondes ou brunes. Sans quoi, c’est tout notre travail à nous, enseignants, auprès des zélèves, qui est à refaire…