Pour départager tout le monde : une recette de crêpes (il semble que vous ne soyez pas d’accord ?). Si vous faites des crêpes, gardez-m’en une ! Merci !
http://www.linternaute.com/femmes/cuisine/magazine/dossier/0501crepes/crepes07/1.shtml
autre nouvelle énorme, la cuisine française portée au pinacle. ce soir, l’UNESCO a officiellement inscrit au patrimoine immateriel de l’humanité la cuisine française à travers le modèle que représente son repas gastronomique. ces repas de famille autour de la table ornée de sa nappe blanche, avec un repas constitué de : apéritif, hors d’oeuvre, entrée, poisson, viande, salade, fromage, dessert, liqueur. ces repas autours desquels toute la famille se rassemble, pour partager un moment de pur amour, car cuisiner pour nourrir sa famille c’est du pur amour. cela n’empêche pas les discussions politiques, les débats et tout le reste, je vous renvoie à la célèbre caricature de Caran d’Ache sur l’affaire Dreyfus, cf le programme de 4è….
véritablement, cette nouvelle me ravit.
JU : Hey Jo (tiens, Julie connaît-elle Hendrix ?), ça te dit un MacDo entre potes ?
JO : Non merci, les nourritures chimiques, ce n’est pas pour moi.
JU : Mais de temps en temps, entre potes, ça ne fait pas de mal !
JO : La cuisine américaine, c’est de la malbouffe, il n’y a que la cuisine française qui est bonne. (Hey, Jo, et l’italienne : la pasta ????)
JU : Tu devrais sortir un peu de ta cuisine française et faire des sorties entre potes, comme un grec, une pizza ou un Mac Do après un ciné ou un laser-game, ça te permet de passer une bonne journée entre potes.
JO : C’est de la nourriture sans goût, sans plaisir. Ca ne permet guère de développer ses papilles gustatives. En plus, c’est chimico-toxique, pire que la cigarette !
JU : Je ne suis pas d’accord avec toi. La cigarette, c’est bien pire ! Un mac Do, pour moi, c’est une bonne sortie entre amis. Un Macflury de temps en temps, ce n’est rien !
JO : Comment peut-on prendre plaisir à aller dans un lieu bourré de monde (on dit “bondé”, Jo, “bondé”, c’est plus soutenu…) et qui nous pourrit le nez par l’odeur de friture ? En plus, on fait une demi-heure de queue au lieu d’être confortablement assis à déguster un petit apéro. Là-bas, on commande et c’est tout de suite arrivé pour satisfaire l’impatience des gens, même plus le plaisir d’attendre ! Là-bas, quand on mange, on se goinfre, on ne prend même plus le plaisir de déguster !
JU : Pff, sors le nez de tes bouquins, mon p’tit Jo !
Par Julie et Jofrey.