!!! Nouveau !!!
Pour avoir les ressources sous la main, une application smartphone:
https://empty-governor-6260.glideapp.io/dl/d8fc49
Les fiches y sont classées en trois entrées :
- APQ et APSA (à mobiliser sur les temps d’EPS)
- APQ en récréation
- APQ en classe ( et notamment des fiches “mouvement et apprentissage” dans différentes disciplines)
Et toujours…
Des cartes pour un jeu créatif à partir de contraintes aléatoires (objet, action, joueur) :
Cartes-1-2-3-jouez-bougez_AEFE
Des fiches d’activités (adaptables du cycle 1 au cycle 3 pour celles de Paris) :
APQ30_Livret fiches activités_Paris
APQ30_Fiches activité par famille d objet_DSDEN Nord
Des pauses actives façon “circuit” :
Des idées pour une pause active et/ou un jeu de récréation :
Retrouvez les autres ressources sélectionnées par l’équipe EPS16 sur la page “30 minutes d’APQ” de l’espace pédagogique, et notamment :
– les pratiques corporelles de bien-être utilisables pour les pauses “détente”
– les fiches “aisance corporelle” de l’équipe EPS16
– les fiches “courir, lancer, sauter, danser” de l’Académie de Créteil
– les fiches “A mon école on s’active” élaborées par le Québec
– des ressources pour la récréation (aménagement de l’espace et activités)
et bien d’autres encore !
En 1965, Roman Opalka a une idée qui orientera sa création durant quarante-six années. Sur des toiles de 196×135 cm, il inscrivit sans relâche la suite numérique. Les chiffres font environ 5 mm de haut, peints avec un pinceau taille 0. Il commença à peindre (le nombre 1 donc) en blanc sur fond noir et à partir de 1972, il ajouta 1 % de blanc à chaque fond de nouvelles toiles. En 2008 arriva le moment où il finit par peindre en blanc sur blanc. Il appela cela le « blanc mérité ». Parallèlement à cela, Roman Opalka se prit en photo, toujours avec le même cadre et la même pose après chaque journée de travail. À partir de 1968 il commença également à enregistrer sa voix prononçant en polonais les nombres qu’il était en train de peindre. L’œuvre de Roman Opalka aura duré 46 ans, se compose de 231 toiles, de milliers d’autoportraits et d’heures d’enregistrement. Elle s’est conclue sur le nombre 5 607 249, inscrit le jour de sa mort, le 6 août 2011.
” Ses toiles nous font ressentir les traces du temps. L’œuvre matérialise, dans son fond et dans sa forme, le temps passé à sa réalisation et le temps virtuel que nous passons à la lecture/contemplation. Cette tentative d’épuisement est évidemment toujours vaine, l’infinité de la progression numérique et du temps nous dépassera toujours.”