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Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Alexandre Le Grand le 19-03-2011


L’air soft est un sport qui nous vient du Japon et qui consiste à éliminer l’adversaire en lui tirant dessus des petites billes en plastique de 6mm ou 8mm grâce à une réplique d’arme (simulation de guerre). Contrairement au Paintball où l’on tire des boules de peinture, les billes ne laissent aucune marque, c’est pourquoi un « air softeur » doit être très fair play car on peut  tricher très facilement quand on se fait toucher.

Ce sport peut devenir dangeureux si un certain nombre de règles n’est sont pas imposé et respecté, le port des lunettes de protection ou d’un masque couvrant l’intégralité de la tête est la seule obligation durant le jeu, ce grâce à quoi les accidents restent très rares.

Le jeu demande de la stratégie, technique, rapidité, endurance, réflexe, discrétion, observation, concentration, courage, précision et patience. Mais le plus important, c’est l’esprit d’équipe et le fair-play pour une bonne pratique du jeu. Si on prend l’exemple du hockey sur glace ou du football, le nombre d’accidents par année est élevé, sans compter le nombre de blessés ou morts qui sont dû indirectement à ces sports.

En air soft, l’adversaire, n’est pas notre ennemi ou celui qui risque de nous prendre la médaille à la fin du match, c’est un ami que l’on ne veut pas blesser. Maleureusement, l’air soft a une mauvaise image. On raconte que ça rend violent de se tirer dessus avec des répliques d’armes, que ça inscite à commettre des meurtres ou des massacres etc.

Ce qui est absurde : on presse seulement sur la détente quand on est certain que la personne en face ne risque absolument rien. En résumé, on est une bande d’amis qui nous retrouvons pour passer une bonne journée et bien rigoler. Nous sommes actuellement 6 amis à nous retrouver pour pratiquer notre loisir, que l’on pratique soit dans une grande cave ou alors sur un terrain privé et aménagé par nos soins.

Ce que j’aime dans ce sport, c’est l’adrénaline provoquée par le simple « clic » de la détente de l’adversaire. Cela me permet de m’évader, de me dépenser et de m’amuser. Nous ne jouons pas avec des jouets, nos répliques sont achetées dans une armurerie et considérées comme une arme.

Alexandre Le Grand (photo Dennis B.)

Vous trouverez ci-joint le document que je recherchais pour vous hier, à la fin du cours : ici :

attestation-palier-3_117738_JUIN82010 (lisez attentivement les compétences 6 et 7 : vous constaterez que l’option media vous aide à valider ces compétences)

Votre réaction à l’annonce des séances de remédiation programmées est intéressante : vous devenez de véritables jeunes citoyens capables d’évaluer un dispositif. Vous découvrez la complexité de la tâche : si je résume vos propos, vous convenez que l’offre de soutien est une chance pour vous de remédier (enfin !) à vos difficultés en orthographe (puisque c’est sur l’orthographe qu’on mettra l’accent) mais vous estimez injuste que cette chance ne soit pas offerte à tous ceux qui en ont besoin.

La discussion d’hier était un vrai débat, vos arguments sont justifiés. Vous êtes de vrais jeunes citoyens : bienvenue dans  le monde adulte !

Quant à savoir s’il est juste ou non d’opérer ainsi, dites-vous que vous devez vous ruer sur l’opportunité qu’on vous offre, quitte à venir au collège équipé d’un kit de survie (je pense à une “musette” gastronomie  pour Lukas qui ne tiendra jamais le coup sans suppléments sucrés et/ou salés !) pour la journée…

Celles et ceux qui s’estiment laissés pour compte  (je pense à Moustaoifaïni, dont la réaction m’a sincèrement touchée), nous réfléchissons à un moyen simple de les laisser rejoindre le dispositif. L’argument de l’égalité des chances ne peut être ignoré : votre réaction est louable. Pour autant, n’oubliez pas que la première des chances est celle-ci : suivez les cours, tous les cours, sans retard ni absences : travaillez avec régularité et méthode. L’essentiel est dans le cours. Et dans le travail personnel.

Mar
19
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 19-03-2011

Sur Rue89, un reportage auprès d’un conseiller général : lisez, vous saurez ainsi quel rôle jouent ces femmes et ces hommes politiques dans notre vie de tous les jours.

Un simple exemple : la vie quotidienne d’un collégien !

Bonne lecture, ici :

http://www.rue89.com/2011/03/18/elections-cantonales-cest-quoi-etre-conseiller-general-195797