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Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 31-03-2011

C’était le premier titre envisagé pour l’autobiographie de Roland Gaillon, né Goldenberg, pour son autobiographie : une expression que son père utilisait en guise de formule d’au revoir dans les lettres qu’il adressait à sa femme, depuis les camps d’internement où il était interné parce que juif.

Ensuite, ce fut plutôt : “Silence, on vit !”. Mais les maisons d’édition sont ce qu’elles sont, et voilà le titre définitif de ce récit d’une vie dont l’auteur vient ce jour vous présenter le début : son enfance cachée pendant la guerre.

Roland Gaillon, c’est cet enfant caché qui a bien grandi, et dont la barbe a fini par pousser (son père s’inquiétait, dans ses lettres, de ne le revoir qu’une fois qu’il aurait de la barbe…). Ida Grinspan, avec son humour heureux, dit de lui qu’il était “mieux caché qu'(elle)”…

Vous recevez un témoin de l’Histoire, mais également un auteur : Roland Gaillon  a, en effet, écrit le récit de sa vie : c’est sa démarche qu’il vient vous présenter ce matin.

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Plus difficile de composer une nouvelle policière qu’une page pour la Nouvelle République ? Il semblerait…  Quand les 3èmes option media se frottent à un (vrai) écrivain (vivant) et à l’angoisse de la page blanche… Ca donne ça :

Synopsis fantaisiste de Wahiba !

Alors, c’est l’histoire d’une bande de filles (délinquantes) qui, pour accueillir Shéhérazade (la belle) en son sein, lui impose des épreuves de plus en plus audacieuses, jusqu’à l’ultime : l’épreuve du sang ! Shéhérazade ira-t-elle jusqu’à verser le sang (et risquer la prison) par volonté de se faire accepter dans le groupe ? Mais que fait la police, dans cette nouvelle ? A lire prochainement, quand Wahiba aura mis, disons, un peu d’ordre dans ses idées !