Jan
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Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 01-01-2012

Chères zélèves, chers zinternautes entorchonéidés de longue (ou récente) date,

Bonne et heureuse année à toutes et à tous, et, ainsi que le disait feue mon arrière-grand-mère : “Bonne réussite dans vos études” (ça ne peut pas faire de mal)

Je souhaite (oh, un “je”, cela ne se fait pas dans un article !) à chacune d’entre vous, mes chères zélèves, une belle et heureuse année 2012 : qu’elle vous soit douce. Et, ainsi que M. de la Vieille Garde vous l’écrit dans ces colonnes, pensez que l’effort  est nécessaire pour réussir brillamment votre année scolaire : la dernière au collège, et celle que nous espérons vous aider à réussir. C’est notre métier, et nous aimons que les zélèves quittent le collège avec le Brevet en poche, et une certaine culture, une certaine maîtrise de la lecture et de l’écriture : les seuls bagages qui vous permettront de voyager loin (oui, savoir compter aide aussi, certainement, mais je ne saurais donner de conseils en la matière…) et de devenir des citoyennes éclairées.

Enfin, que cette année soit riche en articles, en réflexion, en prises de position, en recherche d’information : ainsi, nous aurons rempli notre part du contrat qui nous lie à vous jusqu’en juin…

Pourvu que cette année ne passe pas trop vite tout de même…

Jan
01
Classé dans (Musique) par la Vieille Garde le 01-01-2012

Aux zélèves, passés et présents (gardons nous un peu de temps pour ceux de l’avenir), à leurs parents, à leurs professeurs, à l’Humanité lectrice du Torchon et aux quelques moines tibétains ou ermites du Larzac qui n’ont pas (encore) accès à cette merveille, je souhaite une très bonne année 2012. Pleine de tout ce que vous pouvez en attendre et en espérer, mais plus encore emplie d’une capacité à s’émerveiller et à s’ouvrir, à l’autre, à l’inattendu, à la différence.

Travaillez  et prenez de la peine, cela aide beaucoup lorsqu’on espère des réussites, au brevet ou ailleurs.

Cultivez votre jardin autant que votre apparence, souvenez vous de ce qui dure et de ce qui sera éphémère.

Et car un nouvel an n’est pas un nouvel an sans bal de l’empereur, Strauss!