Au lendemain de la Journée de la femme, on peut lire dans Libération un article qui paraîtra futile (nous évoquerons l’Ukraine en séance media : avec l’aide éclairée de Mister Aimé, ou bien Docteur Jules…) : la poupée Barbie se métamorphose !
Après des années de dictature de la Grande Blonde, voici qu’on s’attaque à l’irréaliste taille 32 de Barbie pour proposer sur le marché une Barbie à taille humaine (un bon 38 ?).
Cette information n’a l’air de rien, pourtant, elle aura un certain intérêt à être analysée par nos zélèves, ces zados en pleine mutation physique et en quête d’eux-mêmes : non pas l’avenir commercial de cette future Barbie nouvelle génération, mais l’image de la femme et donc, le modèle, l’idéal sur lequel fillettes et jeunes filles s’appuient pour grandir, et les garçons pour rêver… Alors, finie, la dictature de la perfection plastique de Barbie ?