Nous découvrons avec plaisir le palmarès du concours académique de journaux scolaires : Le jury académique du concours de médias scolaires et lycéens “Médiatiks” s’est réuni mercredi 27 avril au réseau Canopé de Poitiers. Il était composé de Mme Quella-Villéger (directrice de l’atelier Canopé de Poitiers), Mme Picoche (association “Jets d’Encre”), M. Gandon (OCCE), Mme Delgado, Mme Lenhard, M. Louiche, M. Larret, M. Segura, M. Arfeuillère, M. Billon (formateurs Clemi).
Chaque membre du jury avait lu 4 ou 5 journaux, et a pu lire l’ensemble des journaux pendant la matinée du jury. Des journaux avaient aussi été envoyés à des formateurs Clemi qui ont renvoyé leurs avis par écrit au jury.
Malgré une participation en baisse cette année, tous les membres du jury ont passé un agréable moment à lire les productions, très variées, aux finalités et moyens très différents, mais toujours intéressantes. Bravo à toutes les équipes !
Regardez, on est là :
K’eskon attend , collège Descartes de Châtellerault (1er prix)
Proposé au palmarès national.
Post-it , collège G. Sand de Châtellerault (prix “citron” du jury)
Tâche 2 K’encre , collège Descartes de Châtellerault (prix de “l’engagement”)
Est-ce à dire que Post’it fait montre d’une écriture acidulée ? Nous le saurons peut-être en menant notre petite enquête. Merci à nos zélèves : ce n’est pas un premier prix mais ce petit clin d’oeil de nos aînés du CLEMI à ce petit journal nouveau né, succédant à Pink Paillettes, est peut-être signe de bienvenue dans le paysage de la presse scolaire.
“Nous écrirons jusqu’à détruire ces histoires à dormir debout dans vos têtes, qui rendent nos vies invivables et détruisent nos pays. […] Nous écrirons jusqu’à ce que nous puissions tous vivre en paix, dans l’amour et en liberté.”
C’est l’une des dernières phrases écrites sur son blog par Omar Batawil, un jeune yéménite (habitant du Yémen) sur son compte Facebook, avant d’être assassiné.
“Omar Batawil, un jeune homme de 18 ans qui critiquait le fondamentalisme religieux sur Facebook, a été assassiné à Aden. Sa mort rencontre un écho inattendu à travers le monde arabe. il est devenu une figure emblématique pour une jeunesse de plus en plus nombreuse qui en a marre des hommes de religion, non seulement au Yémen, mais aussi en Egypte, en Irak, au Maroc, au Liban et ailleurs. La photo de son cadavre, jeté dans la rue, le sang ruisselant de sa tête, a été largement reprise sur les réseaux sociaux.”
http://www.courrierinternational.com/article/yemen-forte-emotion-apres-lassassinat-dun-blogueur-pour-atheisme?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1461764897