En ce moment, une heure par semaine, nous étudions un livre qui s’intitule L’ingratitude des fils. Ne pouvant pas raconter l’histoire, car toute la classe n’a pas fini de lire le livre, je vais vous faire une biographie de l’auteur.

Pierre D’ovidio est né le 20 juillet 1949  à Paris dans les débuts de la IVe République. Il s’est installé dans la Vienne en 1997. Il est enseignant depuis 1972.  Depuis le début de sa carrière, il a publié 5 livres:

“LA VIE EPATANTE” 1995 Editions Phébus

“DEMAIN, C’EST DIMANCHE” 2001 Editions Phébus et  2002 Editions Feryane

“PERTES ET PROFITS” 2002 Éditions Phébus

“LES CAHIERS AU FEU ” 2004 Éditions Phébus

“LES ENFANTS DE VAN GOGH” 2007  Editions Phébus

Voila une biographie de l’auteur mais sachez que dès que je pourrai faire un résumé du livre, je le ferai. Je vous conseille de lire ce livre.

Manon.

Décidément, il est des années scolaires fastes ! Jugez plutôt : un second projet de lecture de roman policier est offert aux élèves de George sand cette année !

Cette fois-ci, après les classes de 3è1 et de 3è4 (voir article sur le roman L’Ingratitude des fils), c’est la classe de 5è1 qui est invitée à lire le roman L’Ogre de la couronne et à rencontrer son auteur, Stéphane Tamallion, qui encadrera un atelier lecture.

Ce projet, initié par Vincent Olivier, médiateur culturel de la ville de Châtellerault, permettra aux élèves de lire ce roman, qui leur est offert, de l’étudier en classe (moins drôle, mais c’est le lot de tout élève !) et d’en discuter avec son auteur : quelle chance !

Dans cette rubrique, on invitera donc les 5è1 à  écrire ce qu’ils pensent de leur lecture, afin qu’ils nous fassent partager leur sentiment.

Et un grand bravo à Abderhamane qui a lu ce roman en une soirée, et l’a aimé ! D’autres ont déjà bien avancé dans la lecture : félicitations !

Chers zélèves,

Encore des absents aujourd’hui, malgré une séance annoncée d’ouverture du projet lecture de polar… Vous devez être bien malades, pour manquer un cours aussi intéressant !

Pour vous, et au cas où cela se reproduirait, nous créons cette nouvelle rubrique : à chacun de vous d’y écrire, d’ailleurs ! Alexandre le grand pourra y raconter comment il a bravé l’interdit cher à l’éducation nationale “on ne lit pas en classe” en se faisant surprendre à dévorer ce roman en cours d’espagnol (ce qui ne fut pas du goût de ma chère collègue, cela se comprend !), il pourra aussi raconter ce qui lui plaît dans ce début de roman.

Je l’ai lu en entier, je vous recommande cette lecture : lisez, mais avec attention, les indices ne manquent pas, nous entrons dans un polar !

Nous avons, aujourd’hui, observé la première de couverture et formulé des hypothèses, notamment quant au photo-montage : le visage de Pétain nous renvoie aux périodes de guerre. Kévin émet une hypothèse d’interprétation du titre : “L’ingratitude des fils” ne serait-elle pas celle des “enfants” de celui qu’on appela le “père de la nation” avant de le frapper d’indignité nationale à la Libération (comme Louis Ferdinand Céline, ajoute le même Kévin, décidément toujours à la pointe de l’info, ce qui vaut à votre professeur des digressions insensées !) ? Bien réfléchi. La lecture vous apportera d’autres hypothèses, mais je trouve celle de Kévin très pertinente : et une question à poser à l’auteur, une !

Hanène juge la citation belle : celle qui dit qu’on ne doit pas oublier le passé, sous peine de se condamner à le revivre…

On se quitte en se promettant de lire ce roman : trois chapitres pour vendredi, imposés. “On peut pas lire plus, m’dame ?” Si, mais si : lisez, lisez, lisez ! Mais pas dans les cours de mes collègues !