Juil
10
Classé dans (Le Torchon en vacances) par la Vieille Garde le 10-07-2013

Une belle journée, une belle visite, dans un château ouvert et avec une propriétaire fort sympathique. Le trajet fut “cool” avec le passage répété à l’aller et au retour par la ligne verte, ce qui nous valut un terrain plat et de l’ombre. On ne déplore que quelques égratignures, chez des élèves habitués à bien plus grave te quelques piqures de bestioles diverses et non identifiées sur le territoire desquelles nous empiétâmes assurément sans nous en rendre compte.

Demain  Vaux le Vicomte, avec, pour chauffeur, monsieur Bouthier, pour un château royal il nous fallait une escorte de prestige!

Juil
09
Classé dans (Le Torchon en vacances) par la Vieille Garde le 09-07-2013

Les Ormes, château maudit!

Après une route éreintante, il faut le reconnaitre, nous trouvâmes grille close à notre arrivée, une mauvaise communication dans les services de réservation semble en être la cause, certes, mais c’est nous qui dégustons, si je puis me permettre, enfin, surtout les élèves, fatigue et coups de soleil. J’enrage, d’autant que c’est la seconde fois que l’on nous inflige cela.

Le château est beau et intéressant, mais, comme d’autres, il me faut le rayer de ma liste à l’avenir. Il me faut donc féliciter encore plus ceux qui affrontèrent ce temps et la route pour un bien maigre résultat, enfin, au retour nous sommes allés voir la tombe de Creuzé-Latouche, dont le principal mérite, ce jour, fut de se trouver dans les bois, frais, ventés et ombragés.

Quelles seront les surprises de demain… la réponse dans le prochain volet de notre passionnant feuilleton de ce début d’été.

Juil
08
Classé dans (Le Torchon en vacances) par la Vieille Garde le 08-07-2013

Le soleil tant attendu illuminera notre semaine école ouverte, je ne me plaindrai donc pas de sa présence, cependant, on souffre un peu de cette arrivée tout aussi soudaine que puissante. Ce jour, le   Vieux Poitiers, toujours guidés par une ancienne élève de GS qui rentre en licence d’histoire de l’Art, ce dont je suis très fier. Lors de notre chantier de fouilles expérimental, les traits de caractère se sont révélés, Kevin et Axelle, patients et silencieux, Marius et Gabriel, impatients et grognon, surtout Gabriel en fait, Salim, terrifié à la vue de tout ce qui vole, rampe, marche et fait moins d’un centimètre.

Retenons que ce fut l’occasion rêvée de faire des révisions sur 4 chapitres de notre merveilleux programme d’histoire vu cette année.

Demain, autre siècle, le XVII/XVIIIème siècle français, aux Ormes, 45 km aller retour, j’espère que les provisions d’eau et de biscuits que je transporte seront suffisantes!

Juin
27
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 27-06-2013

Chers zélèves,

Alors ? Ces premières zépreuves, dites-nous ! Le texte, en français, était beau, n’est-ce pas ? Les questions pas difficiles, vous en conviendrez ? Et le sujet de rédaction, intéressant ?

On espère que vous réussirez ces trois zépreuves : et que vous nous raconterez vos zimpressions ici… Avant de laisser retomber, tel un Mastorgio drappé dans sa vacance juilletiste, le rideau.

Juin
05
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 05-06-2013

Chers zélèves,

Vendredi 14 juin, à 18 heures 30 au Nouveau Théâtre (Châtellerault), venez nombreux applaudir la petite troupe du Théâtre de Poche : Aya, Julia, Servane, Clémence et Estella interpréteront pour vous quelques scènes de la comédie de Molière Le Bourgeois gentilhomme. Dans le rôle du Bourgeois, M. Mastorgio !

Vous connaissez le bourgeois gentilhomme ? M. Jourdain, bourgeois de sa qualité, aspire à apprendre les us et coutumes de la noblesse, afin de séduire Dorimène, une marquise aux beaux yeux (je vous laisse deviner qui endosse le rôle de la dite marquise aux beaux yeux…). Pour jouer à l’apprenti-noble, M. Jourdain s’entoure de maîtres  divers et variés dont la mission (impossible) est de faire de ce ridicule ignorant un homme lettré, un danseur émérite, un duelliste virtuose, un chanteur de salon. Le tailleur relooke notre cher M. Jourdain à la mode de la cour : venez assister à la métamorphose sur les planches de ce bourgeois en véritable homme du monde, vous ne regretterez pas le déplacement (l’entrée est gratuite !).

Nos petites zélèves de sixième n’ont pas froid aux yeux : elles donneront la réplique à M. Mastorgio, lequel, vous pouvez compter sur lui, nous prépare un jeu de scène digne des plus grands comédiens. Imaginez-le déguisé en bourgeois du XVIIème siècle : perruque et bas de soie, habit de cour… Le ton est donné.

Notre petite troupe a vécu, cette année, un coup de théâtre qui aurait pu être fatal, quand son premier rôle, Julien, nous a quittés pour tenter l’aventure dans un autre établissement. Nous devions monter Le Petit Prince, la magnifiquo-sublime histoire imaginée par Saint-Exupéry : les rôles étaient appris, Julia connaissait son rôle du renard sur le bout de la langue : et nous avons perdu notre petit prince. Catastrophe ? Que nenni : notre petite troupe  a du ressort, et voici qu’en deux mois, un nouveau texte était mémorisé, un nouveau jeu de scène appris.

Cher public, venez nombreux : l’entrée est gratuite, ouverte à tous, élèves, enseignants, parents, frères et soeurs, oncles et tantes,  oncles d’Amérique.. Tout le monde peut venir rire aux larmes du ridicule du bourgeois. Croyez-moi, en répétition, les larmes me viennent souvent aux yeux tant le jeu est drôle : imaginez ce que sera la représentation quand M. Mastorgio donnera à la mise en scène tout son art… Vous l’avez vu en cours, venez le voir sur les planches : fou rire assuré !  Et nos petites zélèves se débrouillent plutôt très bien : la petite troupe a peut-être un bel avenir…

Ouverture du théâtre à 18 heures, on joue à 18 heures 30. Venez nombreux encourager nos petites comédiennes !

 

 

 

Mai
30

Depuis 7 mois, 70 courageux lycéens des filières différentes S,ES,STIDD et STMG, ont découvert et bravé les difficultés et les joies du théâtre.

En effet, en ce mercredi 22 mai 2013, dans une salle bondée (environ 200 personnes) et après un discours de Monsieur Alaphilippe et de Monsieur Cordeboeuf sur le travail fourni par les élèves durant l’année, le narrateur entre en scène.

Et c’est parti pour 2h30 de spectacle. Entre les papys sur leur banc qui discutent argent, le JT qui annonce 78,3 degrés à Coussay-les-bois, et une pièce à mourir de rire sur la mafia sicilienne, sans oublier un début de bagarre dans une salle des profs entre la prof de français et la prof de maths, le spectacle était magique. Le public très enthousiaste a été conquis par cette production artistique très joyeuse.

Un grand bravo à eux et un grand merci pour cette inoubliable soirée, qui s’est terminée sous une pluie d’applaudissements avec deux célèbres chansons : une de P. Sébastien, « Les Sardines », et des Enfoirés, « Attention au départ ». Nous ne pourrons dire qu’un seul mots aux élèves : « Chapeau l’artiste ». Et nous pouvons également dire bravo à tous les professeurs qui ont eu le courage d’encadrer ce projet pendant toute une année.

Manon. (avec l’aide de deux élèves de Seconde : Antonin et Nicolas Barrault)

Mai
14
Classé dans (Des nouvelles des anciens) par Manon le 14-05-2013

Et voilà, le projet touche pratiquement à la fin avec une représentation prévue pour le mercredi 22 mai à la salle de la Gornière, et pratiquement tous les groupes de la classe de Première S sont au point. Concernant les autres classes, je ne peux pas en dire autant car je n’assiste pas à leurs répétitions mais je pense qu’ils le sont aussi . Dans les autres classes, les pièces jouées sont plus axées sur des parodies de jeux télévisés, mais il y a également d’autres thèmes.

Il reste néanmoins quelques détails à régler car tous les groupes ont le même problème : ils ne parlent pas assez fort et pour le jour de la représentation, ils devront faire l’effort de parler fort. Lors de la répétition, des fous rires ont échappé mais le metteur en scène a dit que, dans ces cas-là, si un fou-rire provient lors de la représentation, il faut l’utiliser dans la pièce jouée.

Sinon des points positifs reviennent souvent comme : « pièce très dynamique » ou encore « personnages bien interprétés ». Les saynètes durent entre 4 et 10 min donc elles ne sont pas très longues et elles sont également très intéressantes. Une après-midi entière a été réservée pour toutes les classes de premières à la Gornière pour tester toutes les petites pièces. Malgré quelques petits problèmes car il manquait des personnes, tout s’est bien passé et pratiquement tout le monde a pu passer devant les différents professeurs présents.

Pour terminer, une dernière chose à dire : mobilisez le plus de monde possible pour venir voir les élèves qui sont prêts à tout mettre en œuvre pour que cela soit parfait.

Manon.

Mai
06
Classé dans (Correspondance) par Badjoo le 06-05-2013

Les gens disent qu’être narcissique est un défaut mais moi, je ne trouve pas : on peut être narcissique et le garder pour soi et non pas le répéter à longueur de journée. Moi, je ne trouve pas que je le suis. Je passe mes journées à complimenter les gens que je côtoie, je m’aime comme tout le monde car,de toute manière on ne peut pas changer son apparence mentale ou physique (sauf par chirurgie) et donc autant s’accepter  tel que l’on est. Ce n’est pas un gros défaut tant qu’on ne l’exhibe pas . En nous, on a tous un côté narcissique, au moins une fois dans notre vie on s’est aimés plus que la norme.

Pedro et Badjo

Avr
29
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 29-04-2013

Chers zélèves de troisième,

Bon courage à vous toutes et tous pour ce second volet de préparation à l’examen du DNB. Travaillez bien !

Avr
23

Bonjour chers amis terriens ! Aujourd’hui j’ai une fois de plus découvert une chose parfaitement inutile… quoi que, elle peut être utile si vous savez vous servir d’un moteur … Ce qui n’est pas vraiment mon cas… enfin bref… Pour ce faire il vous faut :

– Une pile 4.5 volts

– Un aimant assez puissant

– Une bobine de cuivre (trouvable en démontant une petite voiture électrique, de vieux écouteurs… ou sur les fils d’un chemin de fer… mais nan je plaisanteuh)

– Un rouleau de scotch.

Tout d’abord, coupez deux brins de cuivre. Pliez un bout de chaque fil en forme de u, un peu comme un crochet, puis fixez le bout opposé d’un brin de cuivre sur la borne positive, puis l’autre brin sur la borne négative. Ensuite, avec  le reste de la bobine de cuivre,  faire ce que j’appelle un guidon à champs magnétique (voir photo, c’est trop difficile à expliquer). Placez le en équilibre sur les fils de cuivre fixés aux bornes et placez l’aimant en dessous. Faite tourner le guidon avec votre doigt (il suffit juste de le pousser un peu) et il ne s’arrêtera pas de tourner tout de suite ! Voilà, on a une hélice qui qui tourne à environ vingt-cinq tours minutes (oui, c’est un peu long, mais bon), et une alimentation qui permet le mouvement. Rappelez-moi la définition d’un moteur ?

Si votre moteur ne fonctionne pas c’est parce que :

– la pile est peut-être déchargée

– l’aimant est démagnétisé ou pas assez puissant.

Note : certains écouteurs peuvent contenir de l’aluminium au lieu de cuivre, matériau qui l’a remplacé puisqu’il est moins cher et plus conducteur. Voilà pourquoi il faut découper de VIEUX écouteurs. Repose tes ciseaux petit zélève et prends plutôt l’antiquité de tes parents plutôt que le nouveau skull can… ahem le nouveau casque de marque que tes parents viennent de t’acheter. Le guidon à champ magnétique c’est le morceau de cuivre cette forme-là : —O—

source : Google image, youtube