Sep
14
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par la Vieille Garde le 14-09-2012

http://www.youtube.com/watch?v=An6MG7jjk5cBeaucoup de nos chers nouveaux zélèves de media se sont exprimés quant à leurs premiers pas en cette auguste option. Je vais donc m’autoriser la possibilité de faire, moi aussi, part de mes premières impressions, si tant est que l’on me laisse briser le carcan silencieux dans lequel je ne suis que trop souvent enfermé, privé que je suis d’un droit légitime à l’expression, ostracisé et relégué dans les limbes de ce Torchon que j’aime tant…comment cela “j’abuse”? Soit, oublions.

J’avoue que ce groupe me fait parfois penser à celui d’il y a deux ans, époque à laquelle j’eus grand plaisir avec cette option. Il me semble voir se lever le voile des ténèbres et une aurore nouvelle éclairer à la fois mes espérances, mes attentes et la salle 107 en laquelle nous travaillons. Du travail, je sens qu’il va y en avoir côté prof., entre la syntaxe, l’orthographe et quelques velléités de disperssion chez certains et certaines, mais, je sens aussi qu’il devrait y en avoir du côté des zélèves, du moins le désiré-je ardemment. Pour être honnête, je l’ai en fait déjà vu.

Je ne voudrais donc pas mettre la pression sur le groupe, mais il me semble que nous pouvons espérer et leur faire confiance, il me semble que nous pourrions voir de belles, très belles choses, se faire et se vivre au sein de cette option cette année. Et le fait que des références passéistes telles que la chanson “destinée” de Guy Marchand, moment culte dans le film le père noël est une ordure, soient connues des zélèves, n’y est pour rien! (par respect pour l’image que ces derniers veulent donner d’eux, je ne citerai pas de nom)

Puissé-je être entendu, quant au travail, n’être pas déçu et continuer à poser sur ce groupe le regard positif et plein d’espérance qui, au sortir de cette seconde séance, est encore le mien.

Sep
14
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Abderrahman le 14-09-2012

http://www.youtube.com/watch?v=0rQSH0D9BpYJ’écris pour vous parler de l’attentat en Libye où un ambassadeur américain a été tué. Cela s’est passé le 12/09/2012 à cause d’un film anti-islam, un extrait est disponible sur Youtube. La dernière caricature est celle du prophète Mahomet qui brandit un sabre et hurle que “tous les non-croyants sont des infidèles”.

Ceci n’est pas toléré par les musulmans car -Le prophéte ne doit pas être dessiné ou illustré. Mais ce n’est pas pour autant que les musulmans ont le droit de tuer car, dans la religion musulmane, il n’est pas toléré de tuer. Mais chacun sa vie, comme on dit. Cependant nous vivons dans une société et les coupables doivent payer leurs crimes (ceci est ma façon de voir les choses) .

vidéo :  http://www.youtube.com/watchv=BJqhCKyLOvE                                                                                            

                                                                                                                                           Lefouse

Premier jour dans l’option media , tout se passe bien jusqu’ici, je commence vraiment à comprendre que je suis vraiment intéressée.

On m’en avait déjà parlé pour me dire que c’etait bien, que je devrais essayer et quand je lisais Le Torchon,  j’aimais beaucoup !

On rigole bien avec la Vieille Garde et A. Dibot. On a commencé à discuter d’articles.

J’espère que mon année va bien se passer dans l’option média! 🙂

Sep
09
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Emile le 09-09-2012

Je suis content d’être rentré dans l’option media. Il y a une bonne ambiance, on

s’entend bien et on a deux professeurs super: Mme Dibot et M. Mastorgio qui nous fait

bien rire. Ma mère voulait que je rentre en media. Moi qui ne voulais pas, en fin de compte

je trouve ça génial. J’espère passer une très bonne année et donner tout ce que j’ai.

(mon pseudonyme LeGeek donné par lefouse je ne sais pas trop pourquoi) 😉

Sep
07

Et oui, c’est un premier pas dans la classe media, donc un premier pas dans le journalisme ;).

Cette classe est vraiment sympa, un bon groupe, avec des élèves très différents

et aussi des professeurs géniaux (je dois les flatter, ils vont relire mon article)

Donc voila j’espère aller loin dans cette classe et j’espère que tout le monde s’investira.

Alors bonne lecture du Torchon et à bientôt ;).

Sep
07
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Abderrahman le 07-09-2012

Bonjours, nous sommes pour la première fois en classe média avec Mme Dibot et M. Mastorgio nous avons deux heures où nous pouvons écrire et lire des articles. Premièrement, nous avons parlé du Torchon et de comment il fonctionne, ensuite nous sommes partis sur les ordinateurs, et c’est à ce moment que j’ai commencé à vous écrire ces quelques lignes. Je ne sais pas comment faire mais j’essaierai d’apprendre . Merci à tous, je vous souhaite à tous une bonne lecture et j’espére que l’on pourra vous faire plaisir avec nos articles.

Sep
07
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par zzeghlache le 07-09-2012

Je trouve l’entrée dans le monde du journalisme passionnante, nous sommes une

sorte de relève des ancien élèves qui nous ont précédé dans  la classe média, je m’entends très

bien avec les élève de cette classe et je leur souhaite une très bonne année scolaire.

journaliste du grenier.

Août
10

Ce 5 août, les 5O ans de la mort de Marilyn Monroe ont été célébrés. 50 ans, de gloire même à travers la mort. Elle restera l’une des plus grande personnalités et actrices de l’histoire d’Hollywood. Elle était la blonde parfaite, la sulfureuse, la bombe. Celle qui faisait rêver un monde entier par sa beauté légendaire et son talent. Elle incarnait le sexe, les plaisirs.

 « L’idée d’être un symbole me déplaît, mais si je dois être le symbole de quelque chose je préfère que ce soit du sexe.  »

Mais n’était elle vraiment que ça ? Juste une femme qui se contentait de sa plastique ? Non. Elle était bien plus. Elle était cette fille qu’on connait tous, celle qui veut être aimée par dessus tout. Celle à qui il manquait un environnement famillial pour s’épanouir. Elle était celle qui était malheureuse en amour. Celle qui faisait tout pour atteindre ses rêves.  En elle, chacune de nous peut se retrouver par des fragments de son existence. Elle voulait paraître parfaite, mais au fond, elle était l’imperfection incarnée. De son vrai nom Norma Jeane Baker, elle se crée ce personnage, Marilyn. Celui derrière lequel elle s’est cachée durant toute sa vie, derrière ce masque ont pouvait entrevoir cette petite fille fragile qui avait peur de la folie héréditaire de sa famille. Tant est si bien qu’elle ne savait plus qui elle était. Elle fut en quête d’elle même grâce à des psychologues. Elle se droguait de médicaments, buvait bien trop. Changer de conquêtes comme de robe, chercher un bonheur abstrait. Mais elle était dotée d’une aura spectaculaire ! Elle illuminait l’écran, on ne voyait qu’elle. Beaucoup de ses films ont été acclamés avec ferveur. Elle était acclamée avec ferveur. Elle était l’icône, celle qui ne portait que du parfum Chanel pour dormir.

“L’argent ne m’intéresse pas. Je veux juste être merveilleuse.”

Il y aurait tellement à en dire. Je l’admire, vraiment. Pour avoir été une enfant de foyer, aux songes torturées, qui est devenue la plus belle femme du monde. 

Film à voir :

Le vendredi 30 mars 2012, notre classe  Media a eu la chance d’accueillir M.Joseph (Fédération Nationale des Anciens Combattants d’Afrique du Nord, Algérie, Maroc, Tunisie) et M.Laborda ( responsable G.A.J.E : Guerre d’Algérie Jeunesse et Enseignement). Ils sont venus pour nous parler en nous racontant comment et quand la guerre d’Algérie avait eu lieu. C’était très intéressant car  nous avons appris les causes de cette guerre et  bien  d’autres choses. Le vendredi 23 mars, nous étions allées visiter l’exposition sur la Guerre d’Algérie, à la mairie de Châtellerault.

Ils nous ont raconté leur jeunesse pas comme les autres, « une jeunesse gâchée », a même dit M.Laborda. Leur jeunesse, ils l’ont vécue durant la guerre d’Algérie, appelée avant “Maintien de l’ordre” puis “Événements d’Algérie”. Aujourd’hui, on parle de guerre. A l’époque, il n’était pas question de guerre puisque l’Algérie étant française, on ne concevait pas une guerre dans un même pays.

Ils nous ont raconté leur histoire avec beaucoup d’émotion et de tolérance.”Le temps est venu de nous réconcilier et de nous accepter, différents les uns  des autres. Cette histoire est aux historiens maintenant” a dit M.Joseph. Avec beaucoup de pudeur, M.Laborda nous a avoué qu’il ne s’était confié qu’à sa petite fille ! Et qu’il faisait son devoir de mémoire en recherchant des anciens combattants de la région depuis 10 ans.

Mais comment vit-on après cette guerre ?

M.Joseph est retourné deux fois en Algérie depuis le cessez-le-feu. Quand il y est retourné, les jeunes Algériens lui expliquaient qu’ils ne comprenaient pas pourquoi les français, après la guerre, les avaient abandonnés. Mais l’accueil était toujours chaleureux !

M.Laborda, lui, n’y est jamais retourné car il reste encore des endroits dangereux, et il a peur de ne pas retrouver le pays qu’il a appris à connaître. Mais il garde en mémoire un souvenir merveilleux, un magnifique coucher de soleil à Djidjelli. Rien que d’en parler, ses yeux brillaient. « L’Algérie est un pays magnifique », ont-ils tous deux déclaré.

M.Laborda terminera par un conseil ou même une morale :” Surtout, ne faites pas du mal autour de vous, même si on vous en a fait ! ” Il explique que la violence est un cercle vicieux, et qu’il ne faut pas garder de rancoeur.

Stella Rivière.

Deux témoignages

On ne peut percevoir aucune rancœur dans les yeux, seulement l’envie d’inculquer. Enseigner une histoire, une vie, une guerre et tout ce que cela engendre. Cette guerre a longtemps été tue, appelée simplement « les événements d’Algérie”. Mais, vu les innombrables vies prises pour le prix de la liberté, il serait peut-être temps de voir la réalité en face ? (ndlr Le Torchon)

M.Joseph et M.Laborda sont des “Appelés”. Aucune carrière militaire, on leur demande de se battre. Ils exécutent les ordres. L’Algérie était un pays avec un coeur français mais souhaitant son  indépendance, tel ses deux voisins, le Maroc et la Tunisie. Qui aurait enfin le pouvoir ?

“50 ans après, ça peut paraître ridicule de s’être tiré dessus, mais quand on est dans le contexte, tout est différent, nous dit M.Joseph. La guerre ne brise pas seulement des corps et des os, mais aussi des vies. »

“J’ai perdu toute ma jeunesse. J’étais un cycliste prometteur, et je voulais être agriculteur. Et puis je fus blessé, il ne me reste que 20% d’autonomie” poursuit M.Laborda. Une balle  a ricoché et traversé son bassin. Adieux les rêves de cyclisme…

Sujet encore tabou : beaucoup ne connaissent rien de cette guerre, peut- être parce que ses combattants ne veulent pas remuer cette période difficile, on ne dit rien de ce qui s’est passé là-bas. ” C’est à ma petit fille que j’ai réussi à me livrer” confie M.Laborda.

“Dans ces postes isolés, c’était la vie la plus spartiate possible, mais d’autres ont connu pire,” explique M.Joseph “Là-bas, en deux ans, je n’ai jamais connu de lit!” ajoute M.Laborda.

Et puis, la différence de coutumes est de taille : alors l’Algérie, si française que ça ? (ndlr Le Torchon) “Ici, tu n’as pas à dire quoi que ce soit aux femmes, ni à molester les hommes!”, dit un officier au soldat Laborda, qui s’était vu reproché son intervention auprès de villageois par le conseil du village. Un jour, le jeune soldat Laborda avait vu des femmes porter des charges lourdes sur le dos, et il y avait un homme sur un âne. Il a donc demandé à l’homme de descendre pour faire porter les charges à l’âne et donc soulager les femmes, en bon gentleman qu’il était. Mais là-bas, ce n’est pas acceptable.  Entre hommes, plus tard, l’officier avait félicité le soldat Laborda pour ce geste galant. Mais l’armée devait respecter les coutumes des algériens.

Fort heureusement, il n’y pas que des mauvais souvenirs…

“Je revois cette mer avec le soleil qui s’y enfonce. Magnifique. Je revois chaque détail lorsque j’en parle” dit M.Laborda. M. Joseph est retourné en Algérie, ce pays aux magnifiques montagnes et aux délicieuses dattes : “Quand j’y suis retourné, peu de choses avait changé. On m’a très bien accueilli, mais les jeunes algériens ne comprennent pas pourquoi nous les avons abandonnés. Aujourd’hui, poursuit-il, tout est pardonné. Je n’ai pas de rancœur : ils défendaient juste leurs convictions indépendantistes ! » Il ajoute qu’eux, soldats, obéissaient.

 Aujourd’hui est une nouvelle ère, aujourd’hui est un nouveau jour, un nouveau lever de soleil, le même en France, le même en Algérie. 50 ans après, il faut accepter.

Océane Legrand.

Article rédigé pour Le Torchon, journal en ligne du Collège George Sand.

« Pour la nouvelle génération : tournez  la page et partez de l’avant » 

Interview de Kenza Mahmoudi, née en Algérie en 1968.

Kenza Mahmoudi est responsable de formation à ODA-formation, à Châtellerault : c’est une association qui aide les primo-arrivants à parler et écrire le français..

En 1970, à l’âge de ses deux ans,  Kenza  entre en France avec sa famille grâce à son père qui est venu juste après l’indépendance de l’Algérie pour travailler. Kenza est fille d’un ancien combattant de la guerre d’Algérie, un « Moujahid » FLN.

Durant cette Guerre, son père était le seul Moujahid parmi toute sa famille dans laquelle le climat était tendu : eux étaient des Harkis. Pour lui et sa famille, cette guerre a été horrible, il a été emprisonné en France et en Algérie pendant sept ans dans des conditions très  dures, puis condamné à mort juste avant l’indépendance : grâce à l’indépendance, il a échappé à la mort. Durant toute cette période, toute sa famille croyait qu’il était décédé.

«  Ma mère l’a attendu toute cette période avec beaucoup d’espoir,  dit Kenza. La vie était très dure durant cette période, surtout pendant les Rafles (pour les moudjahidine).   Ma mère s’enlaidissait  pour pouvoir aller chercher de l’eau et du bois sans avoir de problèmes avec l’armée française ».

Après la fin de la guerre, Kenza et sa famille sont venus vivre en France à cause du manque de biens en Algérie. Cela n’a pas était facile, surtout pour la maman de Kenza, cela a formé un froid dans la famille, « Sujet tabou ».  De plus, son grand père a été reconnu en France en tant que Harkis.

« Cela s’est passé il y a maintenant 50ans, il est temps de tourner la page des deux cotés.   Pour la nouvelle génération, tournez  la page et partez de l’avant ».

Je remercie Kenza pour cette interview qu’elle m’a accordée. Mon propre grand-père était un Moudjahid…

Imène.

Mai
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par olegrand le 11-05-2012

Le président des Etats-Unis, Barack Obama, interviewé par la ABC, affirme être en faveur du mariage homosexuel, à six mois des nouvelles élections. François Hollande a également dit, pendant sa campagne, ne pas être contre. Le mariage homosexuel n’est accepté que dans seulement 6 états sur 50 aux Etats Unis, mais cela risque de grandement changer. La moitié de la population américaine est contre, l’autre pour, mais pourquoi pas, au fond?

Les droits de l’Homme et du Citoyen, je cite, affirme que : “Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits.”  Le mariage en est un. Les hommes et les femmes peuvent se marier, mais deux hommes ou femmes entre elles, ne le peuvent, c’est une forme de discrimination. L’amour est unique et universel, rare et précieux, aucun ne peut dire qu’un amour réel ne peut exister entre deux personne du même sexe. Les femmes se sont battues pour obtenir le droit de vote, les gens de couleurs se sont battus pour être, reconnus égaux aux blancs, les résistants se sont battus pour préserver la République, et d’autres encore se sont battus encore et toujours pour obtenir ce qui leur semblait juste, et cela depuis toujours. Chaque combat mérite d’être soutenu.